t u r n   o v e r

 

 

 
         

 

 

 

   
Debord(el) 

       
A propos des réactions à 'Debord(el) 2004-2006' suite
       
       
       
         

 

 

Lors de deux messages précédents (cf. ‘Debord(el) 2004-2006’ et ‘A propos des réactions…’), j’ai rappelé que le Debord(el) est un site où la liberté d’expression est interdite par un droit à la falsification. J’ai accusé les principaux intervenants de ce site Internet. Car s’exprimer en pleine connaissance de cause sur un média qui proclame ce genre de censure, c’est déjà en être complice.

Bien que plutôt bavardes sur mes interventions, aucune des personnes que j’ai compromises n’a eu le courage de répondre à cette grave accusation de malhonnêteté, le plus souvent doublée de la lâcheté des résignés. Les uns, en cyniques, ont fait le choix de tricher pour leur cause, ou pour la cause de leurs maîtres, mais ils n’ont pas encore osé s’en vanter. Les autres, en miséreux affectifs, s’accrochent à la seule parcelle où ils peuvent espérer faire illusion ; ils ne peuvent plus se permettre d’être honnêtes. Voici comment se créent les complicités du conservatisme chez les pauvres. Voici comment et pourquoi la middleclass, à laquelle appartiennent tous ceux qui sont cités ci-dessous, sans exception, est un territoire ennemi.

Mon avis sur Guy Debord est partagé. Je méprise certaines de ses faiblesses, par exemple le silence embarrassé qu’il a conservé face aux critiques de son valet Voyer. Mais son courage et son intelligence n’ont pas mérité d’être insultés par un cloaque comme celui appelé Debord(el), qui est à peine au niveau de l’impudence sans borne, mais aussi sans pertinence, de ce valet. Debord, à lui seul, en savait plus sur la liberté que toute cette basse-cour de misère qui use de son nom comme s’il en faisait partie.
 

 

 

 

 

 

 

 
       
    Franck Einstein, webmaster  
         

 

 

J'aime assez bien le terme "debordologie" utilisé par Kalydre pour tenter de cerner l'objectif de l'ancien Debordel encore que je préfererais peut-être "situationnistologie" mais comme ce dernier mot est franchement long, va pour "debordologie". Malheureusement ou heureusement ccomme l'on voudra de par la volonté ou de par l'évolution des participants du Debordel, cet objectif s'est estompé et finalement a sombré corps et biens et donc fermeture du Debordel. Les rubriques subsistantes visaient à revenir à une debordologie plus "technique" ou plus académique basée essentiellement sur des échanges d'informations. Là encore, cet objectif me semble être en voie de se dévoyer, voire, est déjà dévoyé: il suffit simplement de lire les messages sur le The board news qui redevient peu à peu un Debordel bis et corrélativement l'insuccès du Radeau.
Pour dégager le The board news et lui rendre sa vocation initiale, j'ai pensé , peut-être à tort, qu'une formule plus thématique sans références debordologiques, inutiles et illusoire car la debordologie me semble morte et bien morte, pourrait être intéressante d'où la création du Café du Commerce structuré en "tables" de discussion, ces tables se construisant autour d'un thème ou d'un animateur.
L'existence de ces tables devrait permettre de
- mieux structurer les discussions
- allèger le The board news des thèmes qui y sont abordés
Trois tables sont dressées pour l'instant
- une sur les élections thème d'actualité s'il en est qui ne nécessite pas d'explications
- une autre sur les téléos qui est probablement un signe d'énervement de ma part comme l'a noté Kabouli: ceux-ci à l'inverse des voyéristes ne jouent pas vraiment franc jeu; au début ils sont intervenus à visage découvert sur le Debordel puis ont décidé de plus y intervenir, ce qui est leur droit le plus strict; par la suite, ils ont projeté une sorte de congrès à Toulouse je crois, projet qui ne sést pas réalisé et l'Observatoire de Téléologie s'est déclaré dissous, c'est toujours leur droit le plus strict;

Nos « droits » apparaissent ici comme beaucoup plus stricts que les connaissances et le récit très fantaisiste de la crapule.

Rétablissons donc : ce qui est ici appelé « visage découvert » est la signature OT dans le sens de l’étiquette OT. Nous avons là affaire à un webmaster qui ne sait pas ce que c’est qu’un visage découvert, qui ne sait pas ce que c’est qu’une parole, qui ne sait pas à quoi peut servir la parole, quand on en use : somme d’incapacités assez réjouissante pour quelqu’un qui a en charge un lieu de parole.

Le congrès de Toulouse n’a jamais eu lieu pour l’excellente raison que c’est une invention pure et simple de Franck Einstein. L’OT avait réalisé un congrès de téléologie à Madrid, en septembre 2002, une époque où les téléologues s’exprimaient sur le Debord(el). Un compte rendu de ce congrès avait d’ailleurs été publié le mois suivant (cf. ‘Premier Congrès de téléologie’).

La dissolution de l’OT a eu lieu fin 2003. Elle a été annoncée et expliquée sur le Debord(el) (cf. ‘Fin de l’observatoire de téléologie’).

j'apprécie nettement moins est le fait que cette dissolution n'est apparemment devenue effective et qu'un ou plusieurs de leurs séides, que je nomme l'exécuteur testamentaire, est revenu sévir sur le Debordel en utilisant un des pseudos publics et a crié au scandale quand un de ses messages a éte falsifié alors qu'il me semble qu'il devait être conscient que les messages postés sous un pseudo public peuvent être falsifiés sans la moindre difficulté (je serais presque tenté de croire que l'exécuteur testamentaire a couru très consciemment ce risque, voire s'est auto-falsifié pour pouvoir crier au loup voyeriste et pour faire bonne mesure m'accuser de collusion avec J-P Voyer ce qui a dû faire rire Toto et consorts et je suis encore tout étonné qu'ils n'aient pas envoyé un bordée d'enculés à l'exécuteur testamentaire pour avoir osé envisager une telle chose).

La dissolution de l’OT a été effective. Peut-être que Franck Einstein a cru que cette dissolution signifiait le suicide collectif de tous les téléologues, en tout cas leur silence définitif et total ? La Ligue des communistes a existé de 1847 à 1852. Marx n’aurait donc pas joué « franc jeu » en se disant encore communiste après 1852. Comment a-t-il osé ne pas se suicider, ne pas se taire ?

Franck Einstein fait dans son froc quand il me traite de séide « adepte fanatique d’une doctrine, d’une personne, prêt à exécuter aveuglément tous les ordres de son maître ». C’est sans doute l’habitude de la fréquentation molle avec les esclaves voyéristes. Question : qui est le maître dont je serais le séide ? Deuxième question : pourquoi ne m’a-t-il pas traité ainsi, en 2004, lorsqu’il a répondu à mon apostrophe, qui lui demandait de prendre position sur les falsifications variées et multiples qui sévissaient sur le site dont il a la responsabilité ?

Il semble à cette basse crapule que je devais savoir « que les messages postés sous un pseudo public peuvent être falsifiés sans la moindre difficulté ». Non, je ne le savais pas. Ni moi ni mes amis n’y avions pensé. Dans les deux années entre la création de ce forum et ce moment-là, il n’y avait pas eu un seul exemple d’une telle saloperie intellectuelle, tout au moins à ma connaissance. Je ne suis pas allé dans ce lieu en commençant par explorer les possibilités de trucage. Il est vrai que partout où je donne ma parole on peut truquer et tricher, mais on ne le fait pas partout, parce qu’il existe des endroits où l’importance des enjeux a installé des coutumes au-dessus de ces pratiques ; ou parce que, tout simplement, le respect de la parole de l’autre est une banalité de base. C’est beaucoup d’altitude, je crains, pour la gomina de Franck Einstein.

Ce que cette petite enflure semble appeler, par ailleurs, « fausse naïveté  », c’est que je n’aurais pas eu l’idée, depuis, d’utiliser une signature autre que ces pseudos publics apparemment donnés par Franck Einstein pour permettre de falsifier, car il n’en explique aucun autre intérêt. Mais, évidemment, entre la falsification et le moment où j’ai sommé Franck Einstein de prendre position, moi et d’autres téléologues avions utilisé d’autres signatures, un peu plus difficiles à manipuler. Pétri de mauvaise conscience et de petite lâcheté cet abruti de webmaster continue de vouloir faire croire que c’est de la facilité technique de la triche que dépendait le départ des téléologues. Voilà, pour le compte, de la vraie fausse naïveté !

Mais ce que ce fourbe démuni a de plus minable, c’est qu’impuissant sur les arguments, il recourt à la calomnie. Lui qui a accès aux IP des intervenants feint de s’interroger sur le fait que j’aurais pu commettre une autofalsification ! Enculé confusionniste ! Les voyéristes les moins au courant avaient utilisé le même argument au début de la
Leçon de falsification de leur maître sur le même site de Franck Einstein, croyant ou voulant faire croire que le trucage monté par leur petite coterie pouvait émaner des téléologues. Cette Leçon de falsification avait pour seul but de faire taire quelqu’un, moi, qui affirme avoir critiqué le falsificateur Voyer de fond en comble, en rappelant, régulièrement, son incapacité à répondre à la critique des téléologues (cf. Liste ouverte). Même ce menu fretin de la secte de Voyer avait abandonné l’hypothèse complotiste de l’autofalsification avant même que les cadres du troupeau ne revendiquent pleinement cette belle falsification, Sticky Thread en prime. Pendant plusieurs mois après le départ des téléologues, la Leçon de falsification a ainsi trôné comme une marque de honte sur le frontispice du site de Franck Einstein  ! Et le crapaud insinue que c’est moi qui aurait initié cette honte, juste pour le commettre avec la valetaille du falsificateur ! Il occulte tout ce qui le dérange, ce collabo raté qui gouverne ses fils et ses tableaux dégoulinants de sa merde et de son innocence de victime !

Evidemment, si l’esclave Toto, qui ricane même quand on lui met une balle dans le cul, s’est abstenu de ses petits raclements de crécelle éraillée par lesquels il feint généralement l’hilarité, c’est que l’alliance Voyer-Franck Einstein est une vérité qui accuse les deux, même si apparemment le second nommé n’en a pas encore conscience. En effet, ce poupon de ball-trap ne sait pas encore que, quand deux partis se battent et qu’on se trouve entre les lignes, s’en laver les mains c’est choisir un des deux camps. Eh oui : en signant POUR la falsification, il a choisi le camp de Voyer, Franck Einstein. Et les voyéristes auraient eu raison de dire qu’il a choisi le camp des téléologues s’il avait signé CONTRE la falsification. Eh oui, quand on décrète un droit à la falsification, sur des règles qu’on a établies tout seul comme un grand, on choisit le camp de ceux qui appliquent ce droit contre ceux qui le combattent. Dura lex sed lex.

Bien entendu, cela s'est fait comme l'édition de la correspondance de Debord, unilatéralement: au lieu de venir s'expliquer sur le Debordel en tant que téleos, ils sont allés couiner leurs subtils ratiocinements sur leur site (Je note que l'infect Baudet utilise exactement le même procédé cést dire qu'ils sont tombés bien bas depuis l'époque où ils avaient fait l'analyse la plus intelligente et la plus raffinée jamais faite du Debordel): avec ce tableau, les choses sont parfaitement claires: ils ont quelque chose à dire, qu'ils viennent le dire même de manière très sommaire via un lien vers leur site et que ceux qui ont envie de leur flanquer un volée de bois vert et rivaliser avec eux dans l'art de couper les cheveux en quatre viennent aussi (Attention! Les téléos sont encore plus redoutables dans cet art que le trotskyste le plus érudit)! Et que les téléos ne viennent plus se plaindre d'une quelconque déloyauté à leur égard

Maquereau de la falsification, confusionniste, calomniateur à la petite semaine, qu’est-ce qui manque encore à ce pantin dans les vapes ? La plus grossière récupération. Il voudrait que j’exprime mon mécontentement sur son site, le petit commerçant qui vote Voyer. Mais il oublie que je l’ai fait ! Et que mes opinions ont été effacées, modifiées, que mes signatures ont été usurpées, contrefaites, que les particuliers auxquels j’ai répondu et qui m’ont répondu ont été dépossédés de leur parole également. Je suis peut-être un peu limité intellectuellement, mais j’ai compris la leçon de falsification qu’il légalise de son petit pouvoir de propriétaire. Lui, apparemment, il n’en a même pas encore compris la raison.

Quand nous parlons d’un média truqueur, d’un média ennemi, comme Le Monde, CNN, TF1, Indymédia, et maintenant le Debord(el), ce n’est certainement pas sur ce média que nous en parlerions. Ce serait bien un comble que mes commentaires sur le Debord(el) devraient se faire là où l’éditeur accorde un droit à la falsification – à partir d’une falsification contre moi –, m’insulte et me calomnie.

Je défie bien sûr ce crétin de désigner mes « subtils ratiocinements » avec lesquels il croit renverser son incapacité à comprendre, et en quoi ils auraient été « couinés ». De même, « flanquer une volée de bois vert  » aux téléos est un rêve que partage toute la petite secte voyériste, Jean-Pierre Voyer compris, depuis maintenant presque dix ans. Rêve non encore exaucé, comme on a vu : il manque le talent, dont je parlais dans mon dernier message. Enfin, appeler la falsification déloyauté, c’est de l’euphémisme made in Kalhydre qui, lorsque je disais « esclave d’un maître », traduisait « prisonnier d’un rôle » !

A propos de proclamation unilatérale, en voici une authentique : celle de Franck Einstein proclamant un droit à la falsification sur son site. Cette déclaration est une censure. Elle signifie que de nombreux thèmes  – ceux qui nécessitent un niveau d’exigence au-delà de la dispute formelle sur l’intégrité de la parole – ne sont plus possibles en ces lieux ; et elle signifie un interdit pour quelques très rares participants : ceux qui ont quelque chose à dire. Quand on a quelque chose à dire, l’intégrité de la parole est un présupposé, qu’il est hors de question de remettre en cause.

- le tableau Kalhydre qui est un tableau centré sur un animateur ou plutôt une animatrice: avec tout le respect que je lui dois et toute la sympathie que j'ai pour elle malgré ses crises d'engouement pour De Benoist et sa bande (désolé, c'est viscéral et peut-être idiot mais je ne peux pas piffer ce récupérateur), ce n'est pas un tableau consacré à Kalhydre, c'est un tableau pour Kalhydre et j'espère qu'il deviendra bien vite un tableau "DE" Kalhydre et elle est invitée à y aborder toute débat qu'elle souhaite ... et on verra ce que cela donnera
D'autres tableaux de ce type sont envisageables: Omar Wysiam pourrait être tenté d'en avoir un pour venir y réciter ses poèmes, peut-être que cela sera l'amorce d'une table italienne ... Idem pour Nemo qui semble parti pour une croisière prolongée sur le Nautilus, pour le subcommandante Bueno qui s'est replié au confins du Matto Grosso, pour Bartleby ou tout autre que j'aurais oublié ... Il suffit de demander.
Je vais ouvrir sous très peu un tableau Radio Kaboul à l'intention du Kabouli et de ses frères banlieusards. A tout seigneur, tout honneur, il sera suivi dès que j'aurai un peu de temps par un tableau Signé Franck Einstein pour mes lubies personnelles.
Conclusion: Kalhydre, Kabouli, Toto et les autres tâchez de jouer le jeu et de faire plaisir à Papy Einstein ou Tonton Franckie, comme vous voudrez, et désencombrez le The board news ou à défaut embarquez sur le Radeau et bon vent.



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La table de la Téléologie

Le byzantinisme et la fausse naïveté des téléos me surprendront toujours! S'ils ont des reproches à faire à l'un ou l'autre sur le Debordel qu'ils viennent le faire ici (et sans utiliser de pseudos publics car ce faisant ils donnent un droit d'accès à leurs interventions et donc un droit à les falsifier, évidence technique qu'ils ne semblent pas encore avoir comprise mais c'est sans doute trop simple pour qu'ils comprennent).

Voici une seconde proclamation unilatérale qui, d’ailleurs, réaffirme brillamment la première. Cette « table de la Téléologie » est évidemment une façon de s’exprimer contre les téléologues, mais avec des moyens de webmaster seulement, c’est-à-dire coercitifs, c’est-à-dire auxquels les téléologues ne peuvent pas répondre avec des moyens égaux. Et ce merdeux qui fantasme que chacun s’exprime dans ses petites cases ineptes et gadgetisées prétendrait vraiment que des téléologues véritables viendraient, sous un tel exergue malveillant, parquer quelques petits reproches soumis à la grâce d’un pareil censeur ?

Non bien sûr, c’est là qu’on voit que ce petit manipulateur tordu parle de lui quand il prétend salir les autres : la fausse naïveté, évidemment, est la sienne qui tend la main en insultant, et qui fait semblant de ne pas comprendre ce pour quoi il mérite la colère ; et le byzantinisme est le meilleur résumé de ses arguties qui font mine de survoler tout ça du haut des cimes des coiffeurs belges, et de ses petits clapiers à thèmes choisis par lui seul. Du reste, il sait bien combien les téléologues sont opposés à une pareille « table » : il avait déjà institué le même type de séparation lorsque l’OT venait encore sur son site. Lors du seul échange que nous avions eu avec lui avant la
Leçon de falsification, nous avions réussi à convaincre ce consommateur de culture et à le faire changer d’avis : et la mention de téléologie, qu’il avait déjà cru opportune, avait alors disparu des intitulés de « tableaux » de son site. Il faut donc mettre le retour d’une « table de la Téléologie » sur le compte du bas revanchisme qui ressemble tant à ce rusé lent et grossier, perfide et borné.

D’ailleurs, les buts et les méthodes des téléologues sont tellement peu faits pour être discutés dans quelque « café du commerce », que cette seule mention, sur un site même honnête, aurait déjà entraîné notre départ.

Quant à l’utilisation de « pseudos publics » que nous n’aurions pas comprise, l’abruti occulte un peu vite que dès que les téléologues ont été falsifiés sur son site, ils ont bien sûr utilisé d’autres signatures, à peine plus difficiles à truquer. Mais une fois de plus, il fait l’imbécile, le petit propriétaire du lieu : ce n’est pas à travers une de ces signatures communes, donc faites pour interdire le débat, que j’ai interpellé son inventeur et donateur Franck Einstein, et ce n’est pas à cause d’elles, mais à cause de l’orientation qu’il donnait à son site que je lui ai demandé sous le nom Fantomas More, signature « privée  », de se déterminer en 2004 : ce qu’il a fait, en lâche, en ordure, en protecteur du trucage, du faux, et de la censure.

 

 

 

 

 

 

 
       
    Omar_Wisyam, limace et ration  
         

 

 

noi siamo teleologi

Vorrei, senza ordine ma non senza ragione, commentare e discutere, in questo forum, qualcuna delle idee, delle parole e delle tesi dei teleologi.


Io sono TELEOLOGO, se è vero che la teleologia appartiene a TUTTI, giacché nessuno ha mai avuto bisogno di ricorrere ad un Ufficio Informazioni per riconoscere alla propria coscienza il diritto di costruire le proprie ragioni.

Avis : le téléologue Omar Wisyam a été, est et sera toujours un ennemi de la téléologie moderne.

Herz : tous ceux qui consentent à s’exprimer sur « La table de la Téléologie » du Debord(el), que ce soit en faveur ou contre la téléologie moderne, sont des ennemis de la téléologie moderne.
 

 

 

 

 

 

 
       
    LUKACS, bidon vil  
         

 

 

Ce qui est nouveau c'est la "méthode" de calligraphie.
Longtemps leurs textes ont ressemblé à ce que pourrait être le travail d'un service de "désinformation" qui vient de recevoir un nouveau PC et décide d'utiliser une variante mécanisé de "l'écriture automatique" à partir de sources aussi plaisantes que le Catalogue de la Redoute, l'annuaire des PTT et autre fichiers mixés de façon aléatoire.
On sent presque désormais une présence humanoïde...

Le faux Lukacs se garde bien, évidemment, de fournir un exemple de « l’écriture automatique » qu’il stigmatise dans nos textes. Ne s’agirait-il pas plutôt d’une « lecture automatique » ayant pour but une « désinformation » du pixel embrumé qui sert à la fois, miracle de la nature, de cervelle et de poubelle à faux Lukacs ?

En attendant que ce point capital soit éclairci, je nie fermement toute présence humanoïde dans les textes que j’écris.

Et je réfrène, non sans violence, ma curiosité de savoir ce que cette lumière appelle « calligraphie », dont j’utiliserais une nouvelle méthode. Aurait-il deviné en moi l’invention d’un nouveau nashki, ou me voit-il même en Wang Xizhi de l’époque d’après Lukacs, le vrai ? Suspense.
 

 

 

 

 

 

 
       
    Kalhydre, coco cucul  
         

 

 

J'aimerais qu'on s'élève un peu du niveau "tu m'as falsifié! non c'est toi!". Ca devient assez pesant cette manie de prendre prétexte du déplacement d'une virgule pour lancer des malédictions éternelles. Ne s'exposent à ce genre de déboires que ceux qui sacralisent leur parole. Après tout l'adresse du site des téléos avait été donnée en même temps que le texte, chacun pouvait donc, s'il était si soucieux de vérité, se reporter à l'original - ce que j'ai fait.

Il est assez plaisant d’entendre que cette fureur contre la falsification au niveau de la virgule vienne de cette même Kalhydre qui justement m’accusait dans son message précédent d’« injustice » parce que j’avais mis des guillemets à son nom !

L’injustice, qui est un acte grave, n’est sans doute pas une malédiction éternelle, et je n’ai pour ma part lancé aucune malédiction « éternelle  », comme j’en suis maintenant soupçonné. Ne serait-ce parce que, en tant que téléologue, je réfute tout ce qui est éternel. Et, parce que je me revendique de cette appartenance, je ne suis pas utilisateur de malédictions.

Par ailleurs, je voudrais bien qu’elle me cite un seul endroit où moi, ou d’autres téléologues non wisyamiens se seraient plaints du déplacement d’une virgule. Je tiens cependant à avertir tous ceux qui sont agacés par les rigueurs qu’exige la vérité qu’on peut fort bien crier à la falsification pour une virgule déplacée, si cette manipulation attente au sens de ce qui est cité.

J'avais bien compris qu’on est bien moins regardant sur le Debord(el), à condition qu’il ne s’agisse pas des guillemets au pseudo de sainte Kalhydre, mais je voulais seulement montrer que le niveau d’exigence du Debord(el) reste en dessous de celui qui est nécessaire pour participer au débat que proposent les téléologues ; et c’est la raison pour laquelle mes amis et moi ne venons plus sur un site qui tolère des procédés seulement adéquats aux buts ratatinés et résignés d’un Debord(el)  : se faire des copains, se faire mousser dans la résignation, blabla sans conséquence avec des esclaves, jeux de paons impuissants, etc.

Mais la raison pour laquelle Kalhydre ne veut plus qu’on parle de falsification, à la virgule près, c’est que, en restant sur le Debord(el), elle cautionne toutes celles qui s’y pratiquent ou s’y sont pratiquées, par gros bouillons (pas les virgules, mais les falsifications). Or la falsification est un préalable, une constante, une façon de penser généralisée sur le Debord(el). Ce préalable vaut pour elle comme pour les autres : soit elle participe en complice à cette corruption du débat, soit elle s’oppose en ennemie. Et s’en laver les mains les salit de même, voyez Franck Einstein. Sa position fera sa réputation.

Je souligne encore, en passant, la grossière erreur qui consiste à imputer au Capitaine Haddock le changement de C*i*r*e*t en Barte, alors que c’est un programme qui l’opère automatiquement.

J’aimerais bien savoir ce que cette Kalhydre en sait. Car à moins d’avoir elle-même programmé ce « changement automatique », comment Kalhydre pourrait-elle garantir que Capitaine Haddock a plutôt été la victime d’une aliénation informatique qu’il a endossée (il ne s’en est ni excusé ni expliqué depuis qu’elle est reconnue) que le complice, voire l’auteur de ce qui serait un trucage systématique ?

Mais ce qui semble bien le plus typique de ce forum d’esclaves et de moutons middleclass, c’est que la Kalhydre « souligne » l’erreur présumée de l’imputation, et non le procédé, qui aurait fait saliver un Staline et bandouiller un enculé comme Voyer : un système qui fait qu’un mot est automatiquement interdit et remplacé par un autre, toujours le même. Voilà effectivement une crapulerie que je n’aurais jamais même osé supposer ! Quel sera le prochain mot éradiqué du vocabulaire et remplacé  ? Franck Einstein par Père Courage ? Voyer par Grand homme ? Kalhydre par Tante Clarabelle ? Censure par bienfait ? Vérité par plaisanterie ? Provocation par liberté ? Rien ne les gêne plus, ces soumis qui pataugent docilement dans les restrictions, qu’ils acceptent tant qu’elles ne les visent pas directement, sans même imaginer ce que cette acceptation signifie contre eux.

Mais assez de ces histoires, venons-en au fond.

Je crois que nous voudrions tous, ici, que les thèmes qui défilent dans ce forum contribuent à l'intelligence générale, au cheminement de chacun qui amènerait, à terme, à des formes de pratique collective et concertée.

On voit comment le communisme middleclass de Kalhydre est tout près de l’œcuménisme béat et de l’humanitaré. La « pratique collective et concertée » est bien la feuille de vigne et l’horizon de la misère affective ; encore devrais-je en exempter ceux, si nombreux sur le Debord(el), qui croient pouvoir dissimuler leur misère dans un cynisme de préau de collège.

Mais toujours nous constatons que ce n'est jamais le cas, ni sur le debordel ni partout ailleurs. Je ne sais pas, par exemple, que les téléos ou leurs amis aient initié un mouvement, ou au moins un basculement de la critique vers des zones plus dangereuses pour l'ordre établi.

Si elle ne sait pas ce que les téléos et leurs amis ont initié, alors qu’elle évite d’en parler comme d’une évidence à sa petite échelle.

La misère affective de l'internaute est bien connue, qui donc s'en étonne encore? Il ne me souvient même pas d'avoir cru, la première fois que j'ai participé à un forum internet, pouvoir y faire quelque chose de mieux que de nouer une amitié, et ce serait beaucoup que cette amitié ne soit seulement virtuelle.

Est-ce que cela signifie que c'est le seul intérêt d'un forum? Certainement pas, mais quoi, songerait-on sérieusement à opter pour cette forme d'échanges si l'on voulait se donner tous les moyens de progresser dans l'intelligence critique? En ce qui me concerne je chercherais bien au contraire à en prendre le contre-pied, et pour commencer la moindre des choses serait de supprimer l'anonymat, qui sur internet vaut toujours irresponsabilité.

L’une des caractéristiques infamantes de la middleclass est bien l’usurpation du nom sur la parole. Et, parallèlement, un des points d’appui critiques contre l’organisation présente de l’humanité, consiste à rétablir la primauté de la parole sur l’individu, et sa ridicule fierté du nom, dans le débat public. C’est pour nettoyer la parole du digest que représente une signature, et pour éviter qu’elle soit subordonnée aux rêves de reconnaissance individuelle, que les téléologues ont toujours pratiqué l’anonymat, ont changé de nom, dès qu’une signature donnait l’essentiel du sens, a priori, au contenu d’une prise de parole. Il ne s’agit pas de nier l’importance du « je », il s’agit seulement de le soumettre à ce qui est dit, pour peu que ce qui est dit a un sens, c’est-à-dire se définisse par rapport à un but, et de la valeur, c’est-à-dire par rapport à l’idée de l’échange.

La primauté de la parole, dans un débat public, est la primauté du projet. C’est ce qui est insupportable pour tout le petit peuple middleclass, qui n’a pas de projet, et qui surtout, n’en veut plus. Que la parole doive donc être débarrassée des intentions non dites contenues dans une éventuelle signature, est tout à fait incompréhensible pour ceux qui ne parlent que pour se mettre en avant, en tant qu’individus. La responsabilité de la parole s’oppose à la mise en avant de la signature, tant que cette parole n’est pas destinée à tromper ceux à qui elle s’adresse.

Les minables de la middleclass, de Kacem à Voyer, qui se disent aujourd’hui « philosophes », via le sac à compromis Kalhydre, veulent aujourd’hui se faire un nom. On a vu que leur parole n’est qu’un moyen publicitaire pour arriver à ce noble but, et qu’ils n’en ont pas de plus élevé. Cette ambition misérable empêche de concevoir qu’on peut être parfaitement responsable de sa parole en effaçant son nom ; tout comme on peut être parfaitement irresponsable de sa parole en étalant fièrement son nom.

Dans la middleclass, il y a deux écoles : ceux qui se servent de l’anonymat pour tromper, avec des degrés de cynisme variés, voyez les esclaves voyéristes ; et ceux qui mettent en avant leur vrai nom (pas Kalhydre donc) ou qui y aspirent, comme Kalhydre donc. Evidemment, quand on vise la reconnaissance, il est nécessaire, à un moment donné, de vouloir interdire, comme Kalhydre donc, l’anonymat, et il devient impossible d’agir comme les téléologues, voyez Kacem. Ceux-là sont donc responsables. Mais ils ne sont pas pour autant responsables de leur parole, mais seulement de l’image de leur nom. Leur parole est le cire-pompe de leur personne, voyez Voyer. Ils ne sont responsables que dans les limites fixées par des Franck Einstein complaisants, où le trucage est permis, ou contre des limites similaires, et passe alors pour un acte de négativité exemplaire : ainsi, on a vu ce même Voyer signer et publier des listes de messages du Debord of directors, retouchées et truquées. L’enculé Voyer a joué là de la réversibilité, qui est une permissivité d’irresponsabilité d’Internet : il a retiré la publication, au bout d’un moment, pas vu, pas pris. Il y a donc ici irresponsabilité de la parole sans anonymat ; alors qu’à l’inverse les téléologues ont toujours combattu pour le respect de la parole, quelle que soit la signature sous laquelle ils l’ont délivrée. Par où l’on voit que l’anonymat peut servir à combattre la middleclass quand bien même celle-ci tente de récupérer l’anonymat.

Tant que la responsabilité de la parole est désertée au profit de la gloriole personnelle, il y aura des carrières de « philosophes » ou d’écrivains, mais pas de projets pour réaliser le monde. Et tant qu’il en sera ainsi, le discours ne peut venir que de ceux qui protègent la parole, non pas dans les règles, mais dans l’intégrité que nécessite leur projet. Voilà qui est tout à fait incompréhensible pour la middleclass, et en particulier son petit noyau mou du Debord(el).

Le garant de la parole, dans la critique de la middleclass, tient dans une forme de responsabilité qui porte un nom, qu’on risque d’ailleurs de salir quand on l’utilise sur l’Internet : l’honneur. La noblesse avait fait de l’honneur du sang son code de conduite. L’honneur du sang s’est trouvé résumé dans l’honneur du nom, et c’était déjà une réduction au nom. Puis la révolution a détruit l’organisation par le sang, mais pas l’honneur. L’honneur est affranchi du nom. Mon honneur n’est pas dans mon nom ; mais dans ma parole. Et il n’y a personne d’autre que moi, les yeux dans les yeux, anonyme, juge peut-être insuffisamment sévère mais juge suprême, qui puisse répondre de cette parole.

Voici une anecdote qui résume bien comment la middleclass pense pouvoir récupérer même l’honneur, qui est heureusement un peu mieux représenté là où on incendie des voitures. C’était un voyériste. Il était entré en conflit avec une petite pute intellectuelle qu’il méprisait publiquement. Sur l’Internet, le voyériste a défié cette pute intellectuelle en duel. Quelle honte ! Comment peut-on défier en duel quelqu’un qu’on méprise ! C’est d’étaler le défi qui intéressait le voyériste, pas l’honneur. Même si son adversaire n’avait pas été quelqu’un qu’il méprisait publiquement, le voyériste aurait dû aller le défier les yeux dans les yeux, car l’honneur exige cette vérification, et son affaire faite, se taire, quelle qu’ait été l’issue, sauf si l’autre rendait publique cette rencontre. Mais ce qui intéressait le voyériste n’était pas l’honneur, mais la pose de l’honneur. « L’honneur  », ici, a servi de petite monnaie à la frime. Car si son honneur avait été véritablement sali, c’est la honte de ne pas le laver qui aurait paru uniquement, puisque le duel n’a pas eu lieu. Mais non : le voyériste s’est pavané, comme s’il s’était battu avec un égal, et comme s’il l’avait vaincu parce que l’autre, le méprisé, s’était dérobé. Ce voyériste était voyériste parce qu’il était en cela comme son maître : trou du cul. Etroit de surcroît.

Le debordel suinte de misère affective, je l'ai vu dès le premier jour, mais sa supériorité sur les autres forum c'est qu'ici la misère se connaît si bien que souvent elle se cache ou se prend pour cible de sa propre ironie. Il est admis par tout notre petit monde, je crois, que le debordel compte un nombre de lecteurs sans commune mesure avec la poignée d'intervenants habituels. J'ai eu moi-même la surprise d'entendre parler de ce forum chez des gens qui n'y ont jamais écrit une seule ligne.

Il y a aussi ceux qui voudraient y écrire plus souvent mais ne le font pas, car ils savent ici aussi leur misère et cela est dur à assumer, surtout pour un post-para-ex-etc-situ. Ceux qui font grand cas de la "vie pleine" passent leur soirée derrière l'écran? Je vais te la montrer ma vie pleine alors! Pleine de merde et d'ennui oui!

Est-ce que les thèmes me sont "parfaitement indifférents"? Certes pas. Mais ils ne sont rien sans la possibilité de s'incarner dans notre quotidien. J'ai par exemple longuement contemplé dans ma chambre l'idée d'une magnifique émeute, j'ai retourné cette idée dans tous les sens, j'en ai savouré la beauté, la violence, à travers elle j'exprimais une part de mon insatisfaction, de ma misère. Seulement voilà, pour passer à l'étape d'après il me manquait tout de même quelques centaines de complices. Et alors j'ai allumé la plaque et je me suis fait cuire un oeuf, en me demandant cette fois si l'huile d'olive ne conviendrait pas mieux que le beurre. Les idées pratiques chassent les idées abstraites.

Il faut donc prendre le debordel pour ce qu'il est: non pas le laboratoire où s'inventent les critiques de demain, mais le lieu d'une disponibilité qui à notre époque n'a pas d'emploi, ou si peu. Il n'existe pas de liberté en dehors de son exercice, or celui-ci même est hautement problématique sitôt que l'on veut en définir le contenu.

La « disponibilité qui à notre époque n’a pas d’emploi » est celle de Kalhydre, de la limace Wisyam, ou du sans talent Nemo, peut-être. Mais si les thèmes sont restés aussi bas et aussi indifférents sur le Debord(el), c’est aussi du fait de ceux qui ne sont pas dans cette situation. Le webmaster, la crapule Franck Einstein a un emploi sur ce site. Ciret a un emploi. Les esclaves voyéristes ont un emploi de leur disponibilité.

Il faut prendre le Debord(el) pour ce qu’il est ? Mais ce média n’est pas, en et pour soi, de toute éternité. Il est devenu ce qu’en ont fait les intérêts de ceux qui ont un emploi, et ceux qui n’en ont pas ont suivi pour ne pas être éjectés. En premier lieu un média qui proclame le droit à la falsification, ce qui est assez nouveau, mais bien de notre époque. En second lieu un forum où est pratiquée la falsification voyériste, c’est-à-dire où la critique de Voyer et du monde indigne dont il est le représentant est attaquée hors de tout argument, parce que sur le plan des arguments, cet enculé a été réduit au silence. En troisième lieu un empêchement de débat sur le négatif. En quatrième lieu un vide-ordure affectif. En cinquième lieu une galerie de nombrils.

Sur ce site qui se réclame tout de même de Debord, on en est arrivé à papoter de faits divers (cf.
Le fait divers), et à choisir entre différents récupérateurs, comme des midinettes choisissent leurs stars favorites, entre deux courbettes au sénile Voyer.

Tout est si compliqué, en vérité. Les téléos ou leurs amis (je ne sais plus et de grâce, qu'on évite à l'avenir le couplet sur "la falsification") disaient dans leur texte debord(el) 2004-2006 que même parmi [la corporation] des voleurs, qui m'a paru la plus estimable, j'avais remarqué que la survie occupait plus de temps, d'efforts et d'attention que chez la plupart des pauvres cotisants. Je pourrais reprendre ces mots à mon compte, je les partage entièrement. Mais peut-être que si je n'en étais pas convaincue alors j'aurais amené davantage de grain à moudre à la thématique du debordel, en espérant qu'il en sorte dieu sait quel miracle théorique.

Je n'ai pas les opinions de ma survie, et le forum n'est pas ma vie. Il s'y exprime donc, assez naturellement, des attentes qui ne peuvent pas faire honneur à l'idée d'une plénitude, d'une vie qui aurait dépassé son aliénation.

Au fond je crois que c'est la non-résignation par rapport à ce défaut de vie du forum qui creuse une si grande et irrespectueuse distance entre les téléos et les intervenants. C'est cela qui explique qu'ils ne veulent pas y participer activement, comme l'enfant boudeur rejette le jouet qui le déçoit en attendant que le monde des adultes veuille bien faire un miracle, et lui en apporter un autre à la hauteur de ses désirs.

Non, salope. Ce qui explique que les téléologues ne veulent pas participer à ce forum, c’est que la falsification y a été soutenue par le webmaster au point qu’il vient de l’ériger en droit. C’est la seule raison.

Les téléologues ont montré qu’ils ne craignent pas de tenir le pavé même sur des médias où leurs ennemis les falsifient. Mais si le média approuve officiellement le principe du faux, alors la critique, même celle qui va au-delà de ce média, est dégradée en apparence de critique, parce que son premier effet est de cautionner le média, et son principe du faux. De même, la première chose que disent un Durn ou des terroristes, c’est que les médias parlent de tout – même du pire dont ils figurent le pôle spectaculaire –, sont libres, disent la vérité. Le reste des actes de Durn et des terroristes est subordonné au cadre des médias qui modèlent la vérité présumée en fonction de leurs intérêts. La fausse critique – celle de Durn et des terroristes – est celle qu’un média hostile à la vérité met en scène pour prouver qu’il rend compte même du négatif, dans toute son horreur, et par conséquent, de la vérité.

Pour la même raison, les téléologues ne vont pas sur d’autres médias sur lesquels ils ont été invités, de France Culture à Canal+ en passant par Marianne : la ligne de partage n’est plus entre deux opinions dans un même média, mais entre un désaccord avec ce monde et le média en entier, quelles que soient les opinions, même contraires, qui s’y expriment. Cette distinction entre une capacité critique et sa récupération, élémentaire depuis le début de critique situationniste des médias, est aux antipodes des compromis de complaisance affective dans lesquels est engluée une Kalhydre.

Du reste, quand Kalhydre rêve de sa célébrité sur France Culture sous un concert d’insultes, elle est visiblement en train de se cuire le même œuf que quand elle fantasme une émeute : elle n’aurait atteint aucune célébrité sur cette belle radio, et personne ne l’aurait insultée, pas même moi.

C'est l'exigence impossible de ces désirs que l'auteur du texte à propos des réactions à "Debordel 2004-2006" sur le Debordel (ça va, je n'ai rien oublié au titre, je n'ai rien falsifié?) veut appeler "un autre talent". En fait cet autre talent c'est l'amour du vrai, il n'a que peu à voir en vérité avec ce dont il était question auparavant, à savoir le talent d'écriture. Untel en a, tel autre en est dépourvu, celui-ci veut le montrer, celui-ci le montre en s'en jouant, etc etc etc. Et alors, qu'est-ce que ça peut foutre, n'y a-t-il pas de la vanité jusque dans la manière de tenir une fourchette? Ah mais non attendez, je ne vous parlais pas de cela, voyez Hegel, voyez Wittgenstein, madame monsieur moi je cherche la vérité.

Allons allons allons, coupons court à ces simagrées. Monsieur l'auteur du texte, vouloir poursuivre la vérité, nous arracher vers elle, cela vous honore véritablement à mes yeux, et je vous redis l'intérêt qu'a suscité en moi la lecture d'un texte comme celui sur le modedevitisme. Cet intérêt vous vaudra mon attention aussi longtemps que votre lucidité se tiendra aussi loin vers les lignes ennemies. Si par ailleurs vous pouvez y attacher des qualités littéraires, ce ne sera pas perdu pour tout le monde - je préfère lire Debord que Lefebvre quand les deux disent la même chose (et cela arrive assez souvent).

Je ne suis pas comme ces pourritures maos dont parle Rollin dans un de ses livres, qui n'aimaient pas la beauté (des femmes, des talents littéraires) parce qu'elle divise et révèle les différences. Je ne sais pas si mon communisme est indulgence, mais ce qui est vrai en tout cas c'est que je sais en avoir de l'indulgence. Pour tous ceux qui me semblent mériter le titre d'ennemis de ce monde.

Salutations

La différence entre le talent littéraire et le talent est la différence entre Sollers et Debord. Une idée fondamentale sera souvent bien écrite si elle peut être comprise, même si c’est par le plus laborieux des écrivains, comme Reich ou Kant auxquels on peut finir par accorder de l’esthétique, si j’ose dire. Une idée bien écrite n’est que rarement fondamentale, sauf pour les sophistes. Avec le recul, Voyer s’avère plus proche de Sollers que de Debord. Bien écrire, comme Sollers ou Kalhydre, est quelque chose qu’on peut apprendre dans les écoles de journalisme ou dans le goût de la vanité. Il faut de bien autres exercices et écoles pour avoir des idées fondamentales.

La vérité, dont Kalhydre me félicite sans y réfléchir, est une exigence, le contraire d’une indulgence au sens où j’entends son communisme. La vérité est que Kalhydre, par lâcheté ou par misère ou pour une autre raison, peu importe, est complice des falsifications du site sur lequel elle s’exprime comme s’il n’y avait que de temps en temps un guillemet de trop, une virgule mal placée, niveau au-delà duquel Kalhydre est bien élevée. Son indulgence de collabo consiste à ne même pas oser s’exprimer sur les falsifications de Voyer, comme s’il n’en avait jamais commis la moindre ; de même, quand elle dialogue avec les esclaves Toto et Kabouli en feignant de croire leurs simagrées d’hommes libres, elle insulte la vérité et la liberté. Ou pour le dire autrement : il n’y a pas de vérité sur un lieu d’expression où est proclamé un droit à la falsification. La vérité, en effet, commence dans la guerre à ce droit.

Personnellement, je suis sensible à la beauté des femmes. Je peux assurer à tous ceux qui ont des fantasmes en ce sens que la beauté des femmes est absente sur le Debord(el).

Une dernière chose, "ce caniche de petite célébrité", cela m'est valu j'imagine par mon intérêt pour l'émission radio de Barte?
Il m'aurait apporté la célébrité sous un concert d'insultes. Vous n'avez pas vu cela, mais il est vrai que vous en avez vu d'autres.

Il a suffi qu’un espèce de Brl, ou quelque chose comme ça, vaguement célèbre dans le petit milieu postsitu qui publie, se présente sur le Debord(el) pour que, tout comme avec Ciret, la Kalhydre court après l’os en vociférant des petits cris issus, j’en ai peur, d’une forme très archaïque de rut extatique. La petite célébrité courtisée a eu une réaction de grande salubrité : sauve qui peut !



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Définir la middle-class

Il faudrait pour commencer donner une définition claire et précise de la middle-class. Bien entendu je voudrais entendre là-dessus ceux qui m'ont qualifiée de "communiste middle-class". Je ne suis pas sûre qu'eux-mêmes n'aient pas cédé à la facilité de l'invective, sans trop s'interroger sur la pertinence de ce qualificatif.

Je vais essayer de repêcher le texte que j'avais écrit sur la bourgoisie, pour le continuer en montrant en quoi se distingue de cette dernière la petit-bourgeoisie.

Il a fallu plusieurs semaines à cette Kalhydre, si intéressée par tout, pour découvrir ce que les téléologues appellent middleclass. La première occurrence de middleclass sur le Google pages francophones donne un texte qui introduit à cette réflexion. Cette introduction est largement développée dans Nouvelles de l’assemblée générale du genre humain’.

Les téléologues ont davantage cherché à détourer qu’à définir la middleclass. C’est un début de tentative de comprendre les divisions des humains non pas en fonction du besoin de reproduction, comme à travers les concepts de famille, d’identité nationale, de nation, comme jusqu’à Marx ; ni en fonction du besoin alimentaire, donc selon l’économie, comme depuis Marx, ce qui a donné des bourgeoisies, grandes ou petites, et des prolétariats, plus ou moins lumpen ; mais il s’agissait de comprendre la division des humains selon la communication finie, c’est-à-dire selon le contenu de la communication. C’est dans son attitude par rapport à la communication, non infinie (donc pas la communication du poseur Voyer) que la middleclass peut se définir comme le bubon central ou l’empêchement de contenu. Et j’ajouterai, pour scandaliser notre coco cucul, que la middleclass par conséquent est l’expression moderne de la haine de la démocratie. Sa participation en masse aux présidentielles en France vient de livrer un exemple très détaillé de cette haine.

 

 

 

 

 

 

 
       
    Toto, esclave d’enculé et éditeur falsificateur  
         

 

 

J’ignore si le Front national a quelque notion de l’honneur, mais une des choses que je sais qui le déshonore le mieux, c’est qu’il laisse impunément quelqu’un comme l’esclave Toto paraître militer pour lui. Voilà un cochon dont il a été prouvé qu’il est un éditeur falsificateur, une carpette à son maître, un lâche, un truqueur, un sophiste. Cette lope s’est ralliée au FN pour faire l’intéressant et accessoirement pour se cacher derrière le bâton qu’il craint le plus. C’est de cette excellente pâte, qui signait il n’y a pas si longtemps Ben Schlemoul, qu’on fait les kapos. Le parti du clown Soral et du penseur Dieudonné semble cependant s’être éloigné récemment d’en avoir l’usage.

 

 

 

 

 

 

 
       
    kabouli, esclave complet et imbécile incomplet  
         

 

 

Quote:

j'avais remarqué que la survie occupait plus de temps, d'efforts et d'attention que chez la plupart des pauvres cotisants

 il est sûr chère Kalhydre que les voleurs ont une vie bien plus occupée que celle de la plupart des caves.La "survie" en effet attire toute leur attention, du moins aussi ne font-ils pas semblant de vivre. Les voleurs sont toutefois comme les trèhauriciens, il y en a des bons et des mauvais et j'ai souvent remarqué que les "théorigolos" n'en connaissaient que des mauvais, aussi inauthentiques qu'eux-mêmes...

Comme je l’avais signalé dans mon point précédent, après deux ou trois baffes, généralement, l’esclave Kabouli n’ose même plus se justifier de son indignité et de son idiotie maquillées à l’égard de la basse middleclass dont il est un archétype particulièrement nombriliste.

Cette nullité ambulante n’a cependant pas pu s’empêcher de livrer un exemple caractéristique de ses approximations et extrapolations sans vérité, uniquement destinées à l’esbroufe. En parlant des « théorigolos  » il n’est pas clair de savoir ce qu’ils connaîtraient de mauvais et d’aussi inauthentiques qu’eux-mêmes : des théoriciens ou des voleurs ? Ce ne peut être des voleurs dont parle l’ahuri, car s’il prétend juger des voleurs que les téléologues ont connus, en ayant souvent remarqué qu’ils étaient mauvais ou inauthentiques, l’esclave ferait partie de la police, ce que son maître lui aurait si bien interdit de laisser deviner que même son imbécillité n’aurait pas osé pareille imprudence.

C’est donc sur les théoriciens que cet esclave de théoricien, gribouilleur actuel tombé en troisième division par inauthenticité, prétend porter un jugement critique. C’est un bon exemple de ce confusionnisme grotesque dont les esclaves voyéristes ont inondé le Debord(el). C’est comme si un fan de club de troisième division de football, qui trouve génial le moindre joueur du Stade Lavallois, faisait des moues suffisantes sur ceux du Real de Madrid, morigénant leur technique et leur sens tactique. Mais, bien entendu, l’esclave Kabouli n’en est pas là. Il cherche simplement à insinuer deux choses. La première, c’est que les téléologues ont mal choisi leurs références, ce qu’il serait bien évidemment incapable d’étayer sans ridicule. Et la seconde, encore plus invraisemblable, c’est que lui, imbécile systématique, esclave privé de critique, aurait cette connaissance et cette capacité de jugement.

On remarquera au passage que l’adverbe « souvent » n’est ici que le truc publicitaire pour soutenir la faiblesse ridicule d’une observation que ce con n’a jamais faite. Ou alors qu’il énumère en quoi consiste ce «  souvent ».

Voilà qui est un peu long pour un imbécile aussi complet que la théorie quantique dans l’école de Copenhague, dira-t-on : mais j’en conclus plutôt, une fois de plus, qu’il est parfois plus compliqué de bien expliquer l’imbécillité que l’intelligence.
 

 

 

 

 

 

 
       
    Vladimir Poutine, se mêle en crêpe  
         

 

 

Il est en petite forme le télégogo qui a du pondre cette réaction, plus creux que con, et je préfère encore le télégogo con au télégogo creux (il est plus drôle). Il y a bien plus con dans la fournée de tartines de 2007 :

http://www.teleologie.org/TO/update.htm

la vertu bafouée de la jeune vierge Adreba Solneman, il fallait l'oser.

Sans parler d'une accroche publicitaire pour un opuscule qu'on devine pesant et qui ne déparerait pas chez Grasset :


Quote:

La Matrice téléologique est certainement le texte de fond le plus important de la téléologie moderne à ce jour. Il contient un survol rapide du mouvement de la totalité, un descriptif de la pensée, et une ébauche de la réalité. Jetée vite, opulente et aux contours désordonnés, cette Matrice ressemble à ces pauses haletantes dans la volupté qui, parfois, sont des cris. Ebauche, mais vaste et large, est d'ailleurs le terme qui semble le plus adapté. Dans l'esprit de ses auteurs, cette Matrice apparaît en effet comme une somme de titres : chaque paragraphe pourrait et devrait donner naissance à un chapitre, mérite une analyse et une synthèse, et parfois même un discours.

La haine inextinguible du faux Poutine m’amuse assez, parce que je pense à la forme de ses pieds, que j’imagine écrasés en proportion par le mépris des téléologues : bandés à la chinoise, ou aplatis comme cette galette d’excréments ?

J’invite bien sûr tout un chacun à vérifier ce que ce petit sac de bile répandue appelle la « vertu bafouée de la jeune vierge Adreba Solneman »  : ‘La crapulerie contre la vertu autour de l'an 2000’.

Quant à l’opuscule intitulé ‘Matrice téléologique’, il est bien trop pesant pour Grasset, le faux ou le vrai Poutine. Gare aux pieds.

 

 

 

 

 

 

 
       
    le_public, privé  
         

 

 

la téléologie c'est le discours théorique débarrassé de la théorie.
il faut la lire en buvant un café décaféiné ou une biere sans alcool.
Kalhydre apparait bien plus authentique que ces obscurantistes new age.

Voilà un faux public qui, heureusement, ne ressemble pas au vrai. Car le vrai public mérite au moins d’être crédité de bon sens : comment un « discours » pourrait-il être « théorique » s’il est débarrassé de la théorie ? Il me semble que, s’il y a ici quelque obscurantisme « new age », il est bien davantage dans cette pirouette sophistique pour faire malin, que dans la si terrible « téléologie ».

 

 

 

 

 

 

 
       
    marie, madeleine  
         

 

 

C'est vrai,franchement les télégogols on s'en fout!

J’ai toujours trouvé suspect que quelqu’un fasse l’effort de venir s’exprimer en public en engageant sa parole pour dire, sans que personne ne lui ait rien demandé sur le sujet, que ce sujet ne l’intéresse pas. Quand quelque chose ne m’intéresse pas, justement, je n’en parle pas. La déclaration de Marie, groupie voyériste du troisième âge, qui semble avoir surtout imité du maître de sa secte la fourberie sans bornes, signifie pour moi exactement le contraire de sa lettre, notez la protestation de vérité redoublée, « c’est vrai, franchement », qui prend la moitié du message : par pitié, ne parlez plus des téléologues. Déroutez le sens de ce que disent ces gogols, ces fous. Cessez même de les lire, de les comprendre  ! Au secours !

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte de 2007

   
       

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