t u r n   o v e r

 

 
         

 

 

 

   
Debord(el)

 
         
Debord(el) 2004-2006  
 
 
         
         
         
           

 

 

Les téléologues sont partis du forum appelé Debord(el), parce que le webmaster de ce forum, qui signe Franck Einstein, n’a pas voulu prendre parti formellement et publiquement contre la falsification qui y sévissait. Ne pas prendre parti contre une falsification chez soi, c’est en être complice. Ce faux cul prétend maintenant, en 2006, qu’il ne sait pas pourquoi les téléologues seraient partis : il y a plusieurs échanges entre lui et nous, sur son propre forum, qui expliquent parfaitement notre départ. Un site dont le webmaster cautionne la falsification est un site où le débat est impossible. C’est exactement pour cette raison que les téléologues, qui se flattent d’honnêteté, ne vont pas sur les médias dominants. Tous ceux qui sont restés et qui restent sur ce forum après avoir pris connaissance de ce fait, soutiennent donc la falsification.

Le responsable de la falsification particulière qui a déshonoré aussi Franck Einstein s’appelle Jean-Pierre Voyer.

Depuis notre départ, il ne s’est rien dit quant au contenu. Les sujets de conversation de ce forum sont pauvres, mal développés, et les participants ont continuellement manifesté leur peu d’idées, leur faiblesse d’analyse, leur ignorance de la synthèse. Sans grandeur et sans inspiration, ces bavards ennuyeux ennuient avec une belle constance. L’absence de talent étalée sur ce forum avant le départ des téléologues s’est, depuis, généralisée.

Les thèmes mis en scène se divisent grossièrement en deux familles. La première est la glorification du falsificateur Voyer ; la seconde est un melting pot de sujets hétéroclites issus principalement de l’information dominante et du petit milieu des oppositions intellectuelles aux dogmes intellectuels. Le tout est un plan de coupe inégal et sans intelligence du spectacle, comme aurait dit Debord.

La glorification du falsificateur Voyer est assurée par la permanence de deux de ses esclaves, apostés là dans ce but unique. Le premier est Von Nichts, l’éditeur de Voyer, qui a utilisé plusieurs signatures toujours pour tromper le public : Petit voyériste, Aristote, Ben Schlemoul, il signe maintenant Toto. Cette honte ambulante est un des archétypes de la malhonnêteté dominante de notre temps. Esclave à plein-temps, Toto salirait les crachats dont on devrait gratifier sa misère. Sophiste, petit, truqueur, ce qui le peint le mieux c’est son aveu triomphal de voter Le Pen. Voilà donc l’éditeur de Voyer qui cautionne les élections pseudo-démocratiques, et qui y participe activement. Qu’il choisisse le candidat qu’il croit le plus provocateur à ses yeux ne masque pas cette accablante collaboration.

Le second esclave voyériste signe Kabouli. Celui-là est simplement imbécile ; mais imbécile complet, constant, content. Il est tout à fait remarquable pour ce forum que ce petit pois soit considéré et même parfois flatté par d’autres participants, peut-être eux-mêmes flattés de trouver dans l’idiotie provocatrice de ce Kabouli quelque chose qui les excite, et en même temps se maîtrise sans peine et sans danger. En effet, ce sur quoi il fait illusion est toujours la même ficelle : il exprime la provocation simple, c’est-à-dire triviale, il est toujours dans le contre-pied de l’intellectuel moyen. Pour le reste de son sous-discours-de-forum-de-l’ennui, ce sont des amalgames aberrants, une absence de logique goguenarde, de la bouffonnerie inconsciente, et du polissage de pompes de maître en permanence. Aussi inimaginable que cela puisse paraître, ce chien de Boulgakov est encore plus esclave que l’éditeur.

Adresser la parole à ces esclaves comme s’ils étaient des hommes libres est, je crois, la principale misère des autres participants de ce forum.

Les deux esclaves relancent sans arrêt sur les thèmes que leur propriétaire, le falsificateur Voyer, voudrait faire connaître, sans autre projet apparemment que d’accéder à quelque célébrité. Le résultat est mitigé : d’un côté, ces thèmes sont permanents sur le forum, donc intégrés et incrustés là, ce qui est le but, et les autres miséreux présents participent activement à ces rabachages propagandistes ; de l’autre, ces autres miséreux, en particulier un ex-voyériste qui signe Nemo, finissent par trouver d’eux-mêmes les arguments téléologiques qu’ils n’ont pas lus, et se distancient en relativisant les idées de Voyer dont pourtant ils parlent tant. Ainsi, les esclaves de Voyer installent la pensée de leur maître, mais en la dévaluant : elle a perdu son caractère impératif, qui la rendait justement scandaleuse, elle a perdu l’urgence qui faisait à la fois sa violence répulsive et son occultation profonde, obligatoire, comme une frustration. Ces caractéristiques de la nouveauté sont depuis quelques années revenues à la téléologie moderne, qui n’a d’autres contacts avec les esclaves, rappelons-le, que l’insulte.

Les thèmes voyéristes principaux sont : l’économie n’existe pas ; le dénigrement de Debord ; le soutien au parti qui a commis l’attentat du 11 septembre 2001. Prudemment gardée à l’écart, ou tactiquement stockée en réserve, la principale idée de Voyer, que la communication soit le principe du monde, ne semble qu’évoquée, mais jamais thématisée.

Sur l’économie n’existe pas, rien de neuf n’a été dit depuis trois ans : les deux esclaves et leurs contradicteurs ne sont pas encore parvenus à la position exprimée par Adreba Solneman il y a déjà bien longtemps. Il est en effet assez amusant de constater qu’ils n’ont toujours pas compris cette critique de Voyer ; et si Voyer a compris cette critique, il l’a toujours bien caché.

Répétons donc, de manière synthétique : la formulation « l’économie n’existe pas » est fausse. L’économie est une idéologie, et même une religion, et en tant que telle elle existe. Voyer a simplement repris le mauvais pli situationniste – si développé dans la publicité marchande – qui consiste à présenter une formule choc fausse, mais vous m’avez compris, deuxième degré. La vérité est ici sacrifiée à l’effet publicitaire. « L’économie n’existe pas » est censé être un pendant à « Dieu n’existe pas ». Alors que l’économie est une idéologie, Voyer a passé beaucoup de temps à essayer de prouver le parallèle entre économie et Dieu, toujours pour valider son intenable slogan publicitaire. Pour ce qui est de l’existence en tant que telle, ni Voyer ni ses esclaves n’ont jamais su ce que c’était. Là aussi l’inadéquation du terme avait été largement démontrée par les téléologues.

L’idée qu’a voulu exprimer Voyer avec son slogan faux est juste : l’économie est hypostasiée. Cette idée est intéressante pour deux raisons. La première est que cette hypostase est presque exclusivement implicite, même si l’esclave Toto essaye d’accumuler des preuves de l’explicite. Il est intéressant que tout le monde, encore aujourd’hui, pense que l’économie est réelle, mais que très peu de gens l’affirment. Ce mouvement de pensée, sa constitution et son extension mériteraient d’être mieux compris. Le second intérêt de cette idée est dans le phénomène de l’hypostase, dont l’économie ne fournit qu’un exemple. C’est l’extension de cette critique de l’hypostase qui est l’un des fils directeurs de la critique de la réalité par la téléologie moderne. L’hypostase dénoncée par Voyer n’est qu’un cas de figure isolé, particulièrement frappant, d’un phénomène généralisé, complètement occulté en tant que phénomène généralisé.

Le dénigrement de Debord procède du ressentiment de valet que l’enculé Voyer voue à son ancien maître, qui n’avait pas beaucoup de goût pour les valets. La petitesse de la haine que manifestent les deux esclaves voyéristes sur le Debord(el) est la meilleure illustration de la bassesse des esclaves, et de la honte du ressentiment des valets, surtout quand ils deviennent esclavagistes. La plus misérable assertion de ces sous-hommes, à savoir que Debord aurait dérobé le concept de spectacle chez Anders, et aurait voulu dissimuler ce larcin par une sorte d’arrivisme théoricien, qui est l’arrivisme théoricien si propre à Voyer, est une mesquinerie si stupide qu’il est même navrant que certains défenseurs de Debord aient pu s’abaisser à entrer dans ce type d’argumentation.

Sur le troisième thème fétiche des deux esclaves animateurs du Debord(el), la référence est un texte de Voyer que je n’ai pas lu, où il aurait applaudi l’attentat du 11 septembre 2001 et la tendance à laquelle il prête cet attentat, parce qu’elle serait la véritable opposition à la domination actuelle sur le monde. C’est à peu près comme si en 1950 quelque intellectuel annonçait publiquement son soutien à Staline et au stalinisme, parce que Staline représente la véritable opposition à la domination sur le monde, représentée par le libéralisme américain. Dans la division spectaculaire de l’idéologie dominante entre monde occidental et néo-Islam, Voyer a seulement pris position pour le néo-Islam, cette nouvelle idéologie de l’encadrement des pauvres. C’est l’esclave Kabouli qui est le porte-parole de cet alignement-là. Il est d’ailleurs le porte-parole de toute la galerie fantasmagorique des héros contemporains du voyérisme : Ben Laden, Nabe, Durn, Dieudonné, la galerie des petits provocateurs médiatiques, en majorité franchouilles. Voilà tout le credo de cette secte de sophistes. Il est dans la droite lignée des slogans publicitaires de son gourou.


Sur ce site, la conversation s’alimente des faits divers du jour, comme dans un bistrot. Il y a une inconséquence permanente, et le piochage des thèmes, qui égalise tout et n’importe quoi, contribue encore plus à cette impression d’un relâchement constant de la détermination. Ces gens, qui papotent là avec des accents tour à tour fiers-à-bras, de politesse gauche et surannée (on a parfois l’impression de chimpanzés en costume, quand certains d’entre eux se donnent du « monsieur »), de théoriciens du dimanche, et de cordialité de comptoir, épuisent seulement dans leurs revues de presse qu’ils pratiquent sans queue ni tête, en consommateurs égarés, leur impuissance à agir et à penser dans le monde. Ce forum est devenu un joyeux dépotoir d’insuffisances et de renoncements. Nous savons par exemple que l’esclave Kabouli peut écrire sur le terrorisme parce qu’il ne peut pas le pratiquer, et qu’il ne peut pas le pratiquer parce qu’il l’écrit. C’est en abrégé le sort de tous ceux qui s’expriment sur ce site qui tolère la falsification.


En dehors de cette veille des deux esclaves, seule une revue de signatures suffira pour indiquer les tendances entre lesquelles oscille cette complaisance qui s’institutionnalise. Le personnage qui signe Nemo est un ancien voyériste passé dans l’opposition, je ne sais pas très bien pourquoi. Ce personnage n’est sympathique à personne. Je crois que la raison en est qu’il se croit un talent qu’il n’a pas (aucun des autres n’a de talent, mais chacun d’entre eux se méfie de laisser paraître qu’il pourrait penser en avoir). Pesant, ennuyeux, répétitif, vain, Nemo ne sait ni convaincre, ni faire rire, ni même faire réfléchir alors qu’il s’applique manifestement à tout cela. De toute évidence il lit et entend mal. Il a par exemple prétendu, par rapport au texte ‘La chose de l’enculé Voyer’, paru sur le site Téléologie ouverte, que les téléologues revenaient donc sur leur parole de ne plus s’occuper de Voyer. D’une part, ‘La chose de l’enculé Voyer’ était paru sur le Debord(el) bien avant le départ des téléologues, donc bien avant le moment où Nemo avait commencé à croire qu’ils auraient fait vœu d’abstinence de crachats, mais surtout nous n’avons nulle part ni jamais dit que nous ne nous occuperions plus de Voyer. Bien au contraire, nous nous réjouirons publiquement de sa mort d’avoir été trop enculé, et nous vomirons souvent sur son cadavre de falsificateur tant que nous en aurons le goût ; il y a des chances que ce soit là le meilleur de la postérité de ce théoricien de la résignation.

Un certain « Lukacs », pas très futé, visiblement survivant de la vieille mouvance situ-gauchiste, bredouille souvent des avis pour lesquels la commisération de plus en plus sincère des autres indique l’intérêt et la valeur. Voilà quelqu’un qui est aussi privé d’intelligence que Kabouli. Mais lui au moins poste parfois des rapports sur des événements négatifs dans le monde. Il est malheureusement incapable d’en tirer ne serait-ce que des conclusions. Par contre, il déshonore le nom de Lukacs, au point d’invectiver sous ce nom on ne sait quel fonctionnaire des impôts avec qui il a une dispute particulière. Voilà où conduit l’usurpation de signature : ce Lukacs-là mêle le théoricien de la chosification à ses ennuis privés avec la bureaucratie. Quelle honte !

Une des raisons pour lesquelles je suis revenu, de loin en loin, sur la lecture de ce site, a été l’apparition d’une certaine « Kalhydre ». J’étais d’accord avec l’avis d’un autre intervenant qui disait d’elle qu’elle pensait librement et par là gênait beaucoup les autres, qui sont principalement au niveau des deux esclaves voyéristes, dans des cases à étiquette, et non dans les contenus. Elle donnait raison aux uns, tort aux autres, et posait des questions ; en plus, elle s’exprimait bien. Je n’étais pas d’accord avec la plupart de ses points de vue, mais je voulais voir où voulait en venir une voix indépendante des fractions un peu caricaturales qui roulaient leurs guerres paisibles et quotidiennes dans les sous-entendus convenus. Malheureusement, l’espoir et la curiosité n’ont pas été très loin. Après que Kalhydre eut reconnu et affirmé sa croyance, qui est communiste middleclass, son petit sac était déjà vide : ses interventions sont devenues prévisibles, ses approches ont dégénéré en marottes, sa respectabilité s’est beaucoup affaissée. Est-ce qu’elle comptait faire du prosélytisme ? Si non, ses buts sont encore plus médiocres que ceux des voyéristes, et encore plus vains que ceux de Nemo.

Je voudrais parler d’un dernier personnage, parce qu’il représente aussi une tendance de ce site. Il s’appelle Ciret et signe Bartleby. Il a beaucoup de facilité dans l’écrit, et une incroyable superficialité. Ce Bartleby est une pute. Il vend son opinion et c’est de cela qu’il survit. Il est donc rejeté par tous les autres, qu’il courtise pourtant avec une obséquiosité qu’il pourrait tout à fait faire passer pour être du second degré, ce qu’il doit croire très élégant. Mais si je m’arrête sur cette insignifiance domestique, c’est parce qu’il a posé la seule question intéressante que mon irrégulier survol a détecté sur ce site depuis deux ans. Evidemment, personne n’a osé lui répondre sur ce point qui concernait pourtant tout un chacun.

Bartleby affirme que lui, au moins, ne cotise pas à la sécurité sociale. Lui, au moins, n’a jamais pratiqué ce type de compromission. Lui vit dangereusement. Sa vie semble avoir plus de sel que celle des autres intervenants du site qui cotisent à la sécurité sociale.

La question de la compromission avec la société que je combats me paraît importante. Comme je cotise aussi à la sécurité sociale, je vais expliquer pourquoi. D’abord, j’ai fait ce choix, en connaissance de cause, à l’époque où ma vie commençait, contrairement à la plupart de mes camarades de malheur, qui ne se sont même pas posé la question. J’ai fait ce choix à partir d’un but. Le but était de renverser cette société qui instaure la sécurité sociale. Debord, alors, exigeait implicitement que la lutte contre cette société se fasse en dehors de la sécurité sociale, en vivant déjà pleinement. Mais je n’ai pas cru Debord, sur ce point, ainsi que sur quelques autres. Je n’ai pas cru que la vie de Debord était si pleine qu’il voulait qu’on le croie. Je tiens pour une illusion ou une vantardise le concept de vie pleinement vécue dans cette société. J’ai ainsi pensé que cette société ne se renversait pas sans ceux qui cotisent à la sécurité sociale. Mon parti n’est pas avec ceux qui sont hors de cette couverture et de ce repérage de la très grande majorité des pauvres modernes, mon parti est celui des pauvres modernes. Mon parti n’est pas celui d’une nouvelle élite, d’une pauvreté en marge de la pauvreté, mais de la pauvreté qui est aussi misère et qui, avant même de générer l’insatisfaction des révoltes, étonne longuement ceux qui y sont soumis, sans plus très bien savoir ni comment ni pourquoi. Si j’ai envie de renverser cette société, les miens sont d’abord, dans l’état actuel des choses, ceux qui cotisent à la sécurité sociale. Non seulement sans eux je n’y arriverai pas, mais sans eux je n’ai pas envie d’y arriver.

Ceux qui ne cotisent pas à la sécurité sociale sont les patrons, les putes, et les voleurs. J’ai connu des représentants, assez différents, de ces trois corporations. Mais même parmi celle des voleurs, qui m’a paru la plus estimable, j’avais remarqué que la survie occupait plus de temps, d’efforts et d’attention que chez la plupart des pauvres cotisants ; que, puisque les non-cotisants ne savaient pas séparer leur opinion de leur survie (les cotisants savent le faire, mais très peu d’entre eux le font), ils étaient obligés de soumettre leur opinion à leur survie. Debord n’a pas donné un seul échantillon de difficulté de sa survie, et c’est pourquoi son opinion m’est apparue peu à peu comme suspecte : non qu’il l’ait prostituée, en tout cas avant de retourner chez Gallimard, mais sa prétention à la vie a tellement effacé sa survie dans la société qu’il appelait société du spectacle, ses compromissions nécessaires avec cette société ont été tellement occultées, que je doute de sa sincérité. L’opinion de Bartleby dépend de sa survie et sa survie de son opinion. Or, nous, cotisants – chez qui l’opinion peut s’exprimer en dehors de la survie, parce que la survie dépend de ce qui nous fait cotiser, lâchement, mais sans corrompre les opinions qui ne sont pas nécessaires à cette survie –, nous savons que ce qui dépend de la survie ne nous appartient pas, est constamment manipulé par toutes les instances ennemies, par la bureaucratie, le commerce et l’information dominante, par tous les soi-disant indépendants, qu’ils soient patrons, putes ou voleurs. C’est pourquoi je pense que l’effort d’affranchissement à la sécurité sociale de la pute Bartleby implique une soumission plus grande, une compromission beaucoup plus grave : Bartleby vend son opinion, et elle reflète essentiellement les lois du marché, de la morale dominante, et de l’aliénation refoulée ; et quand ce ne sera plus le cas, il ne pourra plus en survivre.


Pas d’ingratitude : le bon côté de la dernière falsification de Voyer à l’égard des téléologues aura pour nous eu l’avantage de pouvoir dire notre avis sur presque trois ans de forum Debord(el), dans lequel nous étions sans doute un peu englués, en quelques lignes. Comme nous, depuis quelques décennies, la beauté des choses, des gens et des idées s’est déplacée. Et là encore il faut saluer l’obstination de Voyer qui, avec ses certes petits moyens, n’a contribué à rien d’autre qu’à l’augmentation prodigieuse de la laideur du monde.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte de 2006

     
         

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