une demande
09-02-01
J'ai toujours apprécié le ton mesuré, le caractère circonstancié et précis et la ponctualité de vos interventions sur le Debord of Directors.
Je me demande toutefois pourquoi vous n'avez accordé aucune réponse à mes écrits, par exemple 'La cattività del buongoverno' ou 'Il doppio e la sua proprietà' et quelques autres.
J'espère que vous ne me ferez pas le tort de penser que je suis le seul à avoir raison dans le « debordello » (l'expression n'est pas de moi, comme vous le savez, mais je l'ai italianisée, dans le sens que tout le monde peut imaginer et dans celui de bellum omnium contra omnes).
Je n'ose pas non plus penser que vous ne comprenez pas l'italien, la plus vulgaire des langues vulgaires romanes.
D'habitude vos interventions répliquent à des insultes qui vous ont été renvoyées, ou les provoquent ; je ne voudrais pas m'obliger à vous insulter pour que vous me répondiez !
Au contraire, je vous salue cordialement, avec estime et sympathie.
Omar Wisyam et autres noms.
(Traduit de l'italien.)
Texte original :
una richiesta
Ho sempre apprezzato il tono misurato, il carattere circostanziato e preciso, e la puntualità dei vostri interventi sul Debord of Directors.
Tuttavia mi chiedo perché non abbiate dedicato una risposta ai miei scritti, per esempio "La cattività del buongoverno" o "Il doppio e la sua proprietà" o qualsiasi altro.
Spero che non mi facciate il torto di pensare che io sia l'unico ad avere ragione nel "debordello" (l'espressione non è mia, come sapete, ma l'ho italianizzata, nel significato che tutti possono immaginare e in quello ulteriore di bellum omnium contra omnes).
Neppure oso pensare che non comprendiate l'italiano, la più volgare delle lingue volgari romanze.
Di solito i vostri interventi replicano a degli insulti che vi sono stati rivolti o li provocano; non vorrete costringermi a insultarvi perché mi rispondiate!
Al contrario, vi saluto cordialmente, con stima e simpatia.
Omar Wisyam et alia nomina.