t u r n   o v e r

 

 
         

 

 

 

   
Notes de lecture 

 
         
La crapulerie d’Henri Simon, confirmée et augmentée
 
 
 
 
         
         
         
           

 

 

Nous avions dû insulter un certain Henri Simon, d’un « réseau » conseilliste appelé Echanges et Mouvement, à cause de son opinion fausse, mal informée, péremptoire et malveillante, exprimée publiquement à l’égard des téléologues.

Mais ces gens-là, eux, n’insultent pas. Et comme ils sont donc privés de ce moyen de riposte, ils se servent des leurs : amalgame, insinuation, hypocrisie, lâcheté intellectuelle. Ces qualificatifs décrivent d’ailleurs, au-delà d’Echanges et Mouvement, le style des résidus « ouvriéristes » et « prolétariens » en général.

Dans le n° 126 de leur revue, qu’ils se sont bien gardés de nous faire parvenir, alors que nos insultes leur avaient été envoyées, et renvoyées sur leur demande, directement, ont ainsi été publiées deux lettres de «  lecteurs ». La première est surtitrée « Un téléologue anglais ». Un « camarade » (on est très camarade chez les fossiles) de Londres affirme ceci à propos de notre lettre d’insultes du 2 mai : « Les propos des téléologues dépassent toutes les bornes. J’ai pas mal d’ennuis avec un téléologue anglais, un certain Steward Home, un rouge-brun qui dit avoir compris son côté brun, voir son site (www.stewardhomesociety.org)... »

Signalons donc, un, que le camarade en question a des bornes très étroites s’il croit que nos propos envers la crapule Henri Simon les dépassent ; au contraire, nous n’avons même pas écrasé ce vieux déchet à la hauteur de ce qu’il mérite, puisqu’il est complice d’une publication comme celle où ce digne camarade s’exprime.

En deux, nous ajouterons que Stewart Home est absolument inconnu des téléologues modernes.

En trois, que son site ne fait apparemment aucune référence, quelle qu’elle soit, à la téléologie (attention : Echanges et Mouvement donne une adresse erronée : c’est Stewart avec t et non avec un d qu’il faut taper, merci au correspondant qui nous a signalé et cette cuvée d’Echanges et Mouvement, et cette faute).

En quatre, qu’il s’agit seulement de faire un amalgame honteux, très typique de la crapule Henri Simon : notre critique de la culture et de l’art moderne empêche de facto d’être téléologue et artiste en une personne, ce qui est aisément vérifiable dans nos textes. Le rouge-brun dénoncé ici chez ce Home est une autre tentative de salir les téléologues par ricochet et rapprochement confusionniste, ce qui est bien de la saloperie intellectuelle en barre.

En cinq, qu’Echanges et Mouvement publie une telle désinformation mensongère et calomnieuse sous le titre « Un téléologue anglais » révèle sinon l’honnêteté, au moins la puissance critique de ce groupuscule pour le moins usé.

Mais deux messages plus loin, on trouve encore plus fort, dans le henrisimonisme : « L’absurde rejet du prolétariat comme sujet ». Là, un certain FM, en effet, s’affirme atterré et dégoûté (chochotte, va !) parce que nous avons dit à la crapule qu’elle en est une. Mais la crapule est de son camp. Donc, c’est de la « calomnie », ce que FM est bien évidemment incapable d’étayer.

Plus loin, cette bouffonnerie ambulante avoue cependant ne pas connaître cette « téléologie ». Elle ne se sent pas pourtant empêchée d’en faire des « branleurs » comme elle en a connu ailleurs, dans quelque squat de punks. Si nous procédions comme FM, nous dirions alors que nous l’avons effectivement croisé, avec ses deux immenses oreilles noires en chou-fleur, sa queue de souris, et son badge Disney où est inscrit en lettres de sang Fuck Minnie.

Quant à son absurde prolétariat, il n’a pas de chance : ce dahu-là n’existe plus que dans le Disneyworld où l’on échange des mouvements côté « monde objectif ». Ailleurs sur la planète Terre, cet enclos à pauvres fabriqué de toutes pièces par des idéologues a disparu depuis fort longtemps, comme le sait très bien la crapule Henri Simon, qui a refusé de se confronter à cette réalité il y a douze ans.

Enfin, par le n° 125, nous avons appris que nous aurions accusé Henri Simon de mensonge, à tort. Dans le texte signé de lui, la phrase qui affirmait que les téléologues ne s’étaient pas exprimés sur l’hiver 2005 serait une « bourde », rajoutée par un « camarade », un de plus, au courrier d’Henri Simon. C’est exactement cela Echanges et Mouvement : des camarades qui rajoutent des mensonges dans des courriers, et qui appellent ça des bourdes. Nous n’avons pas entendu Henri Simon, vous savez, la crapule, se plaindre de ce procédé, si contraire à la vérité, infligé à sa brillante communication sur les téléologues.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         
   
   
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Texte de  2008

     
         

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