Posted by on June 30, 2000 at 05:31:18 PM EDT:
En un seul paragraphe, sur le mensonge, puisqu'il fallut cette calomnie pour nous faire revenir sur cette poubelle, Obertopp, la championne du modedevitisme, nous redémontre comment la diffamation et la déformation intentionnelles se substituent à la compréhension et à l'argumentation quand on est incapable d'assumer une cuisante déroute ; et comment cette minable est contrainte de truquer nos propos lorsque, partie du mépris pour notre Kolossale question (tout a une fin ? ou non ?), qu'elle est tout aussi incapable d'affronter que de contourner, elle est obligée de forcer la dose de malhonnêteté et de mauvaise foi, de sottise et de diffamation, comme tous ceux des siens mis dans le rouge avant elle :
Il est vrai que nous étions, non mal foutus, mais mal partis, puisqu'il nous a fallu expliquer à cette vache en péril ce qu'est la vérité, ce qui en plus et de toute évidence était peine perdue. C'est sa dernière phrase qui nous contraint, une fois encore, à rétablir la vérité : cette déduction, cette extrapolation sur nous est exactement le contraire de ce que nous avons dit dans notre précédent message. Nous avons dit que la vérité pratique n'est pas la même chose que la vérité formelle mais que, en tant que téléologues, nous sommes attachés aux deux, pour des raisons différentes. Nous n'avons jamais même laissé entendre que le fait que l'essence de la vérité soit pratique nous autorise, de quelque manière que ce soit, à mentir formellement. L'Obertopp, dans sa débâcle, est obligée de recourir à des interprétations de plus en plus délirantes pour continuer à soutenir envers et contre tout que nous serions des menteurs, ce que nous avons facilement, quoique sérieusement, réfuté.
La suite est à l'avenant. Nous pourrions répondre à chacun des hallucinants arguments de la modedevitiste à bout, et nous serions tentés de dire aboutiste. Mais c'est désormais sans intérêt : la conne n'a pas le droit de nous donner raison, pas sur le tout, pas sur ceci ou cela, elle est obligée de soutenir, comme un vulgaire Buenogogo ou Weltgogo aux abois (ouah, ouah), que nous avons tort sur chaque chose. Si je dis noir, c'est donc blanc ; et si c'est vraiment noir, c'est que j'ai menti. Et là où ce ne serait pas par bêtise pure, par ignorance incroyable, ce serait pour d'inavouables raisons, arrivisme, lâcheté, traîtrise, estudiantisme, journalisme, religion, mystification, police de la pensée et tout ensemble, panachage fantasmagorique de tout ce qui est le comble de l'horreur dans le petit pois qui sert de siège de la pensée à une modedevitiste de l'an 2000. Du reste, puisque les téléologues sont si mauvais, si fourbes, si menteurs et si abominables en tous sens du terme, est-il besoin de sonder leurs motivations ? Surtout pas, ils risqueraient encore de mentir, d'embobiner, de tromper, d'utiliser, voire de recruter des pions moins avisés que notre brave vache qui combat elle pour des horizons si beaux, grands et bons, qu'il n'y a pas non plus de quoi se demander lesquels. La dernière en date de nos manœuvres, finement démasquée par un autre stalinositu des verts pâturages, est que nous voudrions faire taire tout autre débat que le nôtre, autre débat seulement rêvé par cette pénurie sans imagination. Il est vrai que quatre téléologues masqués et en armes ont le canon de leur kalachnikov pointé jour et nuit sur chaque intervenant de ce site et qu'ils ont ordre de tirer sans sommation au moindre clic de souris, pendant qu'un commando de la propagandastaffel de la rive gauche noie de neuf messages téléos chaque courageuse, mais isolée, intervention antitéléo.
Arrêtons-nous un bref instant sur le profil de cette gourde à vomi, tel qu'il commence à se dessiner à travers ses litanies d'insultes infondées, si bien calquées sur la bassesse des a priori d'une petite coterie décomposée. De la petite vieille, elle a la colère rentrée et pourrie, le ressentiment nietzschéen, les calculs intéressés sur ce que nous voudrions paraître, un terrain sur lequel elle nous traite comme ses concurrents ; de la vache, elle a bien la rumination molle et lourde qui fait qu'en elle les homonymes pense et panse deviennent synonymes ; pour dissimuler le reste, elle qui n'a pas encore osé avouer ce qu'elle fait et panse (nous tenons sa resucée gauchiste de « misère du théorisme » pour en dessous des nobles concepts de faire et penser), à part justement tenter de paraître, se drape de ce prodigue cache-honte fait d'infect et de puéril qui va si bien au vulgaire démasqué de nos contradicteurs débordés. Ça sent la sueur, le revanchisme, le triste, le creux et le chiant. Ça sent ses trente ans d'accoutumance à la défaite dans les dogmes qui l'ont permise. Ça sent sa théorie de la résignation brandie dans les uniformes de l'antépénultième guerre. Ce petit personnage, qui avoue que Voyer doit être sénile sinon nous avons raison, comme si la vérité de notre propos dépendait des élucubrations péteuses de ce pâté de cul, se dévoile seulement, après d'autres, comme essentiellement gêné dans ses petites rêveries théoristes ou simplement égotistes. Cette meuh meuh pleine de grâce, qui croit vraiment que la défaite du gauchisme au Portugal était la fin d'une vague révolutionnaire, veut aussi donner la leçon sur les choses qu'elle connaît encore moins, comme la pensée des choses, le spectacle, la vie, et selon le même principe que dans son hystérique leçon sur le mensonge : rien n'est vrai n'importe quoi est permis. Mais d'exemples, toujours aucun : évidemment, elle n'en a pas encore rencontré dans sa bulle-miroir à prétentions historiques, où l'on se mouche la carotte tous les matins en se demandant si l'enculé Voyer est plus ceci ou si l'incomprise IS est moins cela. En voici un : le 6 juin elle beuglait, au comble de la défaite, que l'évidence prouverait si nous étions menteurs ou non ; nous étions et nous sommes toujours d'accord. C'est pourquoi, trois semaines plus tard, la voilà obligée de prouver l'évidence. Et comme elle croit que les calomnies et diffamations qu'elle est capable d'inventer valent arguments, preuves, évidences, elle n'a pas fini, à l'évidence, de prouver qu'elle n'a pas fini.
Profitons de l'occasion pour remercier l'inventeur d'un jeu récent qui nous fait avancer dans notre abominable novlangue pseudo-théorique. Nous avons en effet la joie et la fierté d'annoncer que nous venons de trouver un synonyme, qui nous paraît plus adapté, pour le mot « roquet ». Il s'agit de « téléogogo ». Téléogogo est celui qui est gaga peut-être de télé mais surtout de téléo. Celui qui fait une fixette sur les téléologues parce que la téléologie lui a démoli sa cohérence. Téléogogo est un peu à l'OT ce que prositu est à l'IS, mais en plus rigolo, car en plus piteux encore. Bravo donc au gogo qui a lancé le jeu du téléogogo dont voici le scoreboardof remis à jour par le deuxième bureau de l'OT, le bureau de l'intelligence, qui ne traite que des questions statistiques, et que pour cela, dans les couloirs, on appelle familièrement le Burin.
Un point à Obergogo (qu'on appelle aussi Gogotopp) à chaque fois qu'elle écrit téléo. Tout téléogogo aura bien sûr la même prime pour le même exploit (le bureau des exploits, qu'ici tout le monde appelle familièrement BE, est en train d'étudier le barème suivant : 0,5 point pour « résidu de la BE », 1,5 pour « téléolo », mais malheureusement 0 pour « téléologue », et -0,5 pour « téléologue moderne » ; quelqu'un qui dira par exemple téléologue n'aurait pas le point attribué à téléo – proposition non encore votée).
Un point éternel au bouffon Buenogogo, parce qu'il est le seul intervenant sur ce site dont nous avons vérifié pratiquement qu'il a menti formellement.
Deux points pour Obtologogo de Téléservatoire pour assumer un travail fastidieux et méritoire que personne ne lit plus depuis longtemps parce que malheureusement il met en valeur ce que dit l'OT (ce qui est le but du jeu du téléogogo), mais d'une manière qui indique trop évidemment l'incompréhension (ce qui ne fait rire que le Burrire).
Deux points et demi à « qui vous savez » pour avoir dit « ce que vous savez » de « qui vous savez ».
Trois points pour chaque message signé observatoire de téléologie (ou OT), mais qui ne figure pas dans la liste des messages de l'OT. Trois points aussi pour chaque imitation de montre Cartier qu'on arrive à faire passer pour une vraie auprès du public des gogos.
30 points à l'inventeur du téléogogo pour s'être si bien décrit, lui et les autres. 30,07 points de prime pour avoir découvert que la falsification de l'ENCULE Voyer n'était pas une falsification parce que falsifier une correspondance privée n'est pas la même chose que falsifier une correspondance publique. Nous n'y avions effectivement pas pensé.
30,007 points à la mossad concierge Bengogo sur sa charrue pour avoir écrit VOYER, alors que les gens honnêtes savent que ce nom s'écrit comme ci-dessus, l'ENCULE Voyer, ou à la rigueur par politesse mondaine le FALSIFICATEUR Voyer. C'est comme pour Petit Gogoiste : l'important n'est pas le nom Voyer, mais ce qu'il est devenu. Creusez bien le mot re-con-naissance.
Un nombre infiniment petit (ou grand, ça vaut pareil dans notre jeu) de points à l'Aristogogo, poodle écouillé qui se fantasme chien de guerre, et qui demeure malheureusement pour l'instant la preuve vivante que son crédo de marchand, tout se paie, n'est vrai que dans la Bible, pour sa pâmoison devant le petit paon Kacem, qui n'a jamais pratiqué de léchouilles complices puisqu'il est tombé dedans quand il était petit. (Camarades du Burjarg, cette phrase n'est pas claire. Qui est tombé dedans : Aristogogo ou Kacemgogo ?)
31,416 points pour Kacemgogo, à partager entre ses préciosités postmodernes, ses justifications de collabo sur la récupération et sa parano égocentrique, tout ça parce qu'il a fait une mauvaise rencontre. Nous tenons ici à jurer solennellement que nous n'avons jamais menacé de mort Kacemgogo ni aucun autre gogo ou rat. Les camarades du Burkill nous interdisent en effet, sous peine de mort, de menacer quiconque sous le prétexte frivole que ce serait beaucoup plus difficile de tuer quelqu'un si on l'a menacé (et si on y arrive pas, je vous raconte pas la honte).
33,33 points à Féléo Coco, qui traite l'OT de sophiste en se gardant bien de dire où serait le sophisme, et parce qu'il n'a jamais encore entendu parler de la différence entre existence et réalité. Il est d'ailleurs condamné à rétrocéder 0,33 point à tout autre téléogogo qui ne fait pas cette différence : c'est-à-dire que son compteur est déjà dans le négatif.
36,15 points au téléocargo Erika pour ses récents dépôts polluants sur les plages de sable fin du Debordofgogo. L'ENCULE Voyer a bien les groupies qu'il mérite. Que fait YBMgogo ? Il n'y a plus de police ici ?
Enfin 0 pointé à Marcel Bouse pour vivre à plat ventre sous le tuyau d'échappement du FALSIFICATEUR Voyer, et au FALSIFICATEUR Voyer pour avoir le tuyau d'échappement bouché par un ou plusieurs Marcel Bouse.