Posted by bonne version on June 05, 2000 at 06:57:16 PM EDT:
Sur ce site se pratique depuis longtemps une technique qui est celle de la presse à scandale. Si j'écris suffisamment gros et suffisamment souvent : téléologue = secte ou menteur, SECTE, MENTEUR, il y a suffisamment de croupions pour le croire, sans jamais rien vérifier, et pour le répéter, sans jamais rien en savoir. Comme, une fois de plus, nous venons d'être traités de menteurs au milieu de ceux qui n'ont que la calomnie la plus bruyante pour se faire entendre, nous allons répondre à cette accusation, mais ce sera sans doute l'une des dernières fois ici, tant s'y pratique la malhonnêteté du siècle, selon le mot d'un auteur du précédent. Ici où la falsification est l'ordre du jour, les falsificateurs pensent n'être que drôles, ou pratiquer le « détournement ». Mais toute la vermine qui triche et qui trompe, ici, le fait essentiellement dans le but plus ou moins conscient de rendre illisible le seul discours qui les insulte : la téléologie moderne.
Le mensonge n'est le contraire que de l'acception formelle de la vérité. La vérité pratique, celle qui importe, c'est de rendre les choses vraies, de les réaliser, de les finir. Le contraire de la vérité pratique n'est pas le mensonge, mais simplement tout ce qui tend à ne pas réaliser, à ne pas finir.
Le mensonge est seulement une contravention à la vérité littérale, formelle. Nous qui sommes du parti de la vérité pratique, nous n'en sommes pas moins, pour d'autres raisons, attachés à la vérité formelle. Il nous arrive cependant de mentir, formellement, en tant qu'individus isolés, contraints à l'individualité. Comme tous les pauvres modernes, nous trichons, nous feignons, nous mentons parfois à l'ennemi, puisque après deux grandes vagues de révolte battues nous survivons encore, dans un monde qui s'est fait contre nous. Si l'on est ennemi de ce monde, soit on meurt dans la bataille, soit on y survit et on est alors contraint de composer, c'est-à-dire aussi de mentir à ce monde. Le mensonge est toujours une forme de conservation, même si, comme à la guerre, il peut servir à préparer une offensive. En tant qu'individus isolés, contraints à l'individualité, fondus dans la foule, nous en partageons la malhonnêteté, les vices, la misère. Mais en tant que téléologues, en tant que tentative d'exprimer notre aliénation réciproque, en tant que discours public contre une société qui ne tolère pas seulement mais encourage et même contraint aux indignes petits arrangements avec la vérité, nous ne mentons pas : nous n'y avons aucun intérêt, contrairement aux petits roquets qui pullulent autour de nous.
Obertopp, la « théoricienne » du théorisme (si son mode de vie est essentiel pour sa pensée, alors son mode de vie est plat, grossier et ennuyeux), sait évidemment aussi peu que tous les autres roquets du site ce qu'est un mensonge. Un mensonge, c'est de faire quelque chose qui est contraire à ce qu'on dit, et de dire quelque chose qui est contraire à ce qu'on fait, deux choses qu'un Bueno par exemple a pratiquées jusqu'à la caricature. Citer faux est aussi un mensonge. Mais interpréter, extrapoler, déduire, exposer un avis contraire n'est pas mentir, sauf pour un stalinien quand c'est contre son avis. Si le mensonge est une injure, injurier n'est pas mentir. Les « mensonges » que nous reproche Obertopp sont de laisser penser qu'elle pensait ce qu'elle ne pense pas. Il est vrai qu'à partir de son charabia théoriste nous avons essayé de comprendre comment quelqu'un d'aussi bidon pouvait nous calomnier aussi tranquillement. Et nous avons donc extrapolé. Sur deux points, à savoir que pour elle l'histoire d'une part, la théorie de l'autre, ont continué après 1975 - même si elle se garde bien de dire en quoi -, nous acceptons qu'elle rejette ces extrapolations. Mais cela ne fait en aucun cas de ces extrapolations des mensonges. De même quand nous avons extrapolé à tort sur des signatures, nous n'avons pas menti, nous nous sommes trompés. D'ailleurs, si ce qu'Obertopp appelle mensonge était mensonge, alors elle aurait autant menti que nous, quoique beaucoup plus souvent.
Ce qui indigne en vérité cette petite vieille de vingt-sept ans, ce sont nos choix de vie affirmés, qui lui paraissent contraires aux siens ; du moins c'est ce que nous extrapolons. Elle n'a pas compris pourquoi ni comment nous avons fait ces choix, car elle a la vue un peu courte, l'entendement limité et le jugement hâtif et approximatif ; ce qui est un peu plus qu'une extrapolation. Mais elle en déduit que nous ne pouvons pas être ennemis de ce monde, et nous serions par là même menteurs. Comme les staliniens, ce genre de postsitus considère que le mensonge n'est pas seulement de dire le faux pour dissimuler le vrai, mais de n'être pas de leur avis. N'être pas dans la ligne, ne pas vivre ou survivre comme ils l'entendent, est déjà un mensonge. Pas plus que nous ne la traitons de menteuse (elle est seulement bête) nous ne lui reprochons d'avoir fait un choix de vie différent des nôtres : d'une part nous ne savons pas quels sont les bons choix de vie pour les pauvres modernes, et nous ne sommes nullement satisfaits des nôtres, d'autre part nous pensons qu'il y a très peu de différences possibles entre les modes de survie de ceux qui sont ennemis de ce monde. Par contre, nous lui dénions absolument la ridicule prétention d'avoir un mode de vie radical tant qu'elle ne nous aura pas expliqué comment elle s'acquitte des petits compromis qui permettent de rester en vie pendant vingt-sept ans, et qui font qu'on mange, qu'on se branche sur Internet et qu'on voyageotte prétentieusement. Voyons maintenant dans le détail les sept mensonges que cette Blanche-Neige nous reproche.
1 : Lui avoir imputé « l'échange est l'activité principale des humains » serait un mensonge parce que ce perroquet hâtivement formé pense que l'échange est l'activité principale des choses. Mais si les choses pratiquent l'échange, l'échange n'en reste pas moins une activité humaine, rien qu'humaine. Du reste les humains (leçon de français gratuite d'un sans nationalité revendiquée à une Allemande : l'adjectif humain est aussi un substantif, ce n'est pas un mot qui appartient au PC, et il a l'avantage en français d'éviter le double sens du mot homme et de renvoyer directement à l'idée d'humanité), les humains, donc, échangent également des choses entre eux sans médiation par les choses : la théorie, par exemple, ou l'insurrection, sont quelques-uns de leurs modes d'échange.
Comme la plupart des voyéristes nostalgiques de 1975, Obertopp croit encore qu'il y a quelque chose en dehors de la pensée, puisque pour elle par exemple le spectacle ne serait pas de la pensée. Elle s'est bien gardée évidemment de nous dire ce qu'il y a en dehors de la pensée, et ce que le spectacle, par conséquent, serait d'autre qu'une allégorie. Une « idéologie » ? Mais il paraît qu'à Buda, sur la rive droite, l'idéologie n'est pas de la pensée, contrairement à la rive gauche, où ça empeste.
2 : « Ce qui s'est dit depuis est recette et idéologie dans le but de se trouver un créneau au sein de l'idéologie dominante... » Obertopp se plaint de n'avoir jamais rien dit de tel. Mais nous n'avons pas cité Obertopp. Nous prétendons que c'est ce qu'elle dit, néanmoins, parce que, à notre connaissance (mais nous espérons bien être démentis), « tout ce qui s'est dit depuis » n'est que ce qu'a dit la téléologie moderne, et c'est à l'observatoire de téléologie que cette stalinositue impute « recette » et « idéologie », elle qui ne sait pas, de toute évidence, ce qu'est une idéologie. En tout cas, dans son ennuyeuse branlette sur le « théorisme », aucune nouvelle forme de pensée « depuis » n'est même envisagée. Il s'agit seulement d'écarter par avance toute théorie nouvelle, en particulier celles qui viendraient mettre en cause les modes de vie parfaits et révolutionnaires choisis selon on ne sait quels paradigmes ou Weltanschauung.
3 : De même, lorsque nous moquons les vraies valeurs de 1975-1976 que rumine au kilo cette grosse vache perplexe, elle crie au mensonge, parce qu'elle n'a pas dit « vraies valeurs ». Maintenant elle va nous traiter de menteurs parce qu'elle n'est pas enceinte et qu'elle ne fait pas partie de l'espèce bovine.
4 : Ce serait un mensonge d'avoir pensé que « les Obertopp d'aujourd'hui reprochent aux téléologues de ne s'être pas arrêtés il y a vingt-cinq ans ». Au contraire dit notre penseuse : c'est que les téléologues se seraient arrêtés il y a vingt-cinq ans, du point de vue de la théorie radicale ; malgré sa dernière réponse, nous sommes cependant toujours convaincus que ce qui la scandalise, comme une petite vieille, c'est que nous n'en soyons pas restés à sa « radicalité » à elle, dont rien n'indique encore qu'elle a dépassé 1975. Si notre proposition est un mensonge pour elle, son renversement serait, pour la même raison, un mensonge pour nous. Nous n'avons, de toute évidence, pas la même évaluation de ce que les téléologues ont fait, ou non, depuis vingt-cinq ans. Mais c'est assez logique, puisque cette ignare avoue n'avoir pris la peine de s'informer que partiellement sur ce que nous avons fait.
On peut insulter quelqu'un sur l'ensemble de sa pensée sans l'avoir lu ; mais alors on ne peut pas l'insulter sur le détail. Sur de nombreux points nous concernant, la stalinositue lance des accusations contredites par ce sur quoi elle pouvait facilement s'informer. A l'inverse, nous avons peut-être dit des choses fausses sur elle, mais pas par cette espèce de pose crétine qui voudrait qu'on méprise le discours de l'autre au point de le déduire sans le connaître, car pour cela il faut un talent que nous n'avons pas : nous avons parfaitement lu, et même parfois relu, l'ensemble de ses douze pages.
5 : « Il va bien à une Obertopp de dire que les falsifications de celui des deux qui a été falsifié par l'autre n'ont aucune importance. » Mensonge, beugle notre Oberkuh : « je n'ai jamais dit qu'une falsification ne serait pas importante, mais que celui qui aurait falsifié n'avait plus aucune importance ».
En vérité, cette vache folle disait : « ... tout comme il n'est pas important de savoir s'ils les a falsifiés... ». Là ce qui n'est pas important c'est bien de savoir si, oui ou non, il les a falsifiés. Nous avons hâte d'entendre comment savoir s'il y a eu ou non falsification pourrait ne pas être important si la falsification l'est.
D'ailleurs notre chasseuse de mensonge ne s'est pas du tout émue, à notre connaissance, de cette falsification. L'importance du trucage de l'enculé Voyer ne dépend pas de la débilité de son auteur, qui d'ailleurs a été révélé par ce trucage. D'autre part il faut bien sûr applaudir la subtile affirmation que quelqu'un qui falsifie n'a aucune importance, sans doute sous prétexte que, puisqu'on le sait, on ne se laissera pas prendre. Nous avons beau savoir que les journalistes falsifient, nous ne nous en laissons pas moins prendre, mais nous savons aussi leur accorder l'attention et la haine qu'ils méritent.
6 : « ... pour qui, apparemment, l'histoire s'arrête en 1975, quand Debord prend sa retraite. » Ici, par une mansuétude inouïe, notre interprétation est décrite comme n'étant « pas un mensonge complet », mais seulement une « erreur d'interprétation ». Pardon à cette grosse mère des peuples d'avoir supposé que pour elle l'histoire s'arrête en 1975, car pour les grosses merdes des peuples l'histoire est infinie. Ou non ? Mais la camarade qui transforme des « erreurs d'interprétation » en mensonges pas complets n'a rien dit de l'histoire après 1975. Pourquoi ? Parce que sinon, scritch scritch, nous, vilains téléologues, la copierions : nous voilà revenus au niveau Grundschule de Wiesloch. La seule histoire qui se copie est celle qui se copie en farce pour Marx ou la farce qui se copie en sérieux chez une Obertopp, qui n'a pas même compris en quoi consistait le renversement que nous avions fait de cette formule à ses dépens dans 'Obertopp in Hamburg'.
7 : Enfin, le septième et dernier mensonge est le pompon : « Ce que nous avons dit de la vie de Debord, et de l'exemplarité de la vie (être ennemi de ce monde à tout moment, etc.), si contraire au dogme postsitu, il vaut mieux qu'une Obertopp l'ignore plutôt que le comprenne : ce n'est plus de son temps » serait un mensonge parce qu'Obertopp n'a pas parlé de la vie de Debord. Mais nous n'avons pas dit, comme l'atteste la phrase qu'elle cite elle-même à charge, que cette fétichiste a parlé de la vie de Debord. Ici, pour réfuter une pseudo-extrapolation, elle fait une véritable extrapolation de ce que nous avons dit, et ce serait nous qui mentirions à ses dépens ! Et comment chez les amoureuses de la vérité appelle-t-on une imputation de mensonge frauduleuse ? Quand elle vient après six autres imputations de mensonge frauduleuses ou débiles ?
Si nous acceptions la définition du mensonge d'Obertopp, alors voici quelques exemples des mensonges d'Obertopp à notre propos :
1 : « pour ne pas être un postsitu typique des alentours de 1975-76, il ne faut pas vivre en ennemi de ce monde ». Nous n'avons jamais rien dit ni pensé de tel. C'est évidemment une imputation délirante et stupide.
2 : « Ils voulaient un exemple de mauvaise foi? Le voilà : ce qu'ils veulent dire avec cette belle phrase est que ceux qui ne les comprennent que très bien ont du respect pour ce qui a été écrit avant eux. Il fallait attendre l'arrivée des téléos pour apprendre à ne pas respecter ce qu'on lit. » Nous n'avons jamais rien dit ni pensé de tel. C'est évidemment une imputation délirante et stupide. Comme exemple d'extrapolation doublée de mauvaise foi, en effet, elle fait fort Obertopp.
3 : « ... ils essaient de convaincre les autres que leur propre vie misérable "au centre" (ou "au milieu", que sais-je) serait le vrai exemple. » Nous disons précisément le contraire dans le texte que l'Oberconne cite pourtant. Il n'y a pas aujourd'hui de vie de pauvres exemplaire.
4 : « ... leur fantaisie délirante de grands timoniers des émeutiers ». A de multiples reprises, nos textes préviennent et démentent cette risible diffamation.
5-6-7 : « Leur réalité de militants, idéologues, néo-étudiants... » Ce sont là simplement des fantasmes de quelqu'un qui ne sait pas ce qu'est la réalité, qui ne sait pas ce que sont des idéologues, et qui est aussi militante et néo-étudiante que nous, sauf que nous pensons qu'il n'y a jamais rien eu qui justifie l'imbécile préfixe néo chez les étudiants.
8 : « ... ils n'ont d'autre action que celle des réunions du mardi et de la lecture des classiques. » En contradiction formelle avec les faits.
9 : « Il n'y a aucun lien visible entre leur seule raison sociale visible, la compilation d'émeutes, et leur émeutologisme, et encore moins entre leur émeutologisme et leur "constat" que tout a une fin. » Nous avons fait ce lien dans notre pratique contre ce monde. Nous ne demandons pas à une Obertopp de partager ce point de vue, mais nous pouvons affirmer qu'elle ne sait pas lire, ou qu'elle n'a pas lu.
10 : « leur émeutologisme ». Nous avons très tôt anticipé et critiqué toute forme d'émeutologie comme incompatible avec notre activité d'analyse et notre expérience d'émeutiers.
11 : « ... vivre au centre, comme ils ont dit eux-mêmes [cf. Vie des téléologues modernes]... » Chacun peut aisément vérifier que le mot centre ne figure même pas dans ce texte. Il a évidemment un autre sens (merci Le Manach). Comme elle ne connaît pas les concepts que nous utilisons, elle les reprend à tort et à travers.
12 : « Tous leurs écrits ne font qu'affirmer qu'ils sont, eux (les téléos, ceux qui ont dépassé tout le monde, les Schumacher de la théorie), l'aboutissement de la pensée humaine. Tous leurs écrits ne font que montrer une ligne dont ils seraient le bout. » D'abord l'aboutissement de la pensée humaine serait bien autre chose que nous. Ensuite nous n'avons jamais prétendu à cette idée stalinienne d'être le bout d'une ligne qui englobe tout ce qui précède. Evidemment, pour des taches comme Obertopp, nous devons paraître ainsi. Non seulement nous avons signifié, ici même, que nous avons beaucoup de choses à apprendre, mais nous pensons et espérons que d'autres discours se sont construits et se construisent en ce moment, en particulier là où les plus grandes révoltes des dernières années ont été vaincues. Il n'y a que dans la poubelle où l'on rencontre des Obertopp où notre modestie est prise pour du manque de radicalité et nos prétentions pour de l'insupportable vantardise.
13 : « l'histoire ne s'est évidemment pas arrétée en 1975 (...) ; au contraire, c'est justement Debord, Voyer et d'autres - dont les téléos - qui se sont arrétés en 1975. » L'observatoire de téléologie, essentiellement, n'est rien d'autre qu'un résultat conscient de l'histoire depuis 1975, du point de vue de la révolte, dont nous attendons maintenant avec impatience la version des faits par la rigoureuse et cohérente tendance situstalinienne.
14 : « Après la cosmogonie, le sens de la vie et de la mort et les quanta, OT, CNRS, même combat! » On peut parler de ce dont ont parlé le CNRS, le PS, RTL ou Obertopp en étant fondamentalement ennemis de leurs positions.
15 : « Ils ne sont pas capables de vivre en ennemis du monde, ils ne savent même pas ce que c'est. » Nous savons très bien ce qu'est vivre en ennemis du monde, et nous ne le confondons certainement pas avec nos modes de survie, même si ceux-ci sont essentiellement déterminés par ce vécu-là. Par contre répétons-nous : nous lui dénions absolument la ridicule prétention d'avoir un mode de vie radical tant qu'elle ne nous aura pas expliqué comment elle s'acquitte des petits compromis qui permettent de rester en vie pendant vingt-sept ans, et qui font qu'on mange, qu'on se branche sur Internet et qu'on voyageotte prétentieusement.
Nous pourrions facilement répondre au reste des foutaises de cette stalinositue (en riant par exemple de son indignation par rapport à ce que nous disons de la dialectique, ou de ses incompréhensions manifestes, ou de son indignation devant des mots qui ne sont pas de son vocabulaire, ou de son horreur des exemples que Debord avait bien pointée comme étant l'une des caractéristiques prositue), mais c'est bientôt mardi matin et il y a toujours une réunion à préparer, et même hors de lui ce bifteck en devenir nous ennuie. Même lorsque, reniant son affirmation comme quoi on ne discute pas avec des téléologues, ce nouveau chevalier blanc antitéléologue nous demande maintenant de lui expliquer la différence entre une pensée pratique et une pensée théorique, nous ne prendrons pas la peine de lui répondre. L'ignare n'a qu'à fouiller un peu sur notre site, et elle trouvera les réponses qu'elle aurait dû connaître ; de même pour l'histoire des vingt-cinq dernières années. Elle trouvera là aussi des réponses à la plupart de ses autres petites ignominies, solubles dans le Danube, mais nous doutons que cette vache à œillères voie autre chose que son petit pré vert où il fait si bon brouter.
Si Obertopp est une vache, alors un certain Marcel Beber en est la bouse, vaguement voyériste (beurk). Voici quelqu'un qui arrive en se gobergeant de nous avoir lu une ligne sur deux, et nous acoquine tranquillement à un Luc Jouret ; ensuite, il trafique très maladroitement l'introduction de l'un de nos textes ; depuis, il veut savoir dans l'ordre de quel droit c'est nous qui ferions on ne sait quelles règles du jeu, ce qu'est une question de fond, et ce que nous faisons sur ce site. Il m'est d'avis qu'il aurait mieux fait de lire l'autre ligne sur deux, où figure, outre toutes les réponses à ces intéressantes interrogations, la raison pour laquelle nous ne discutons pas avec les enculés de son espèce.
 
Depuis notre message 'Obertopp in Hamburg', il y a eu 73 messages sur ce site. 9 seulement ne traitent pas de nous. Et 2 seulement (dont 1 confer) sont de nous. Tous ceux qui pensent que nous avons intérêt à tricher avec notre propre liste de messages ouverte et consultable, et à tricher tout court, n'ont rien compris à notre démarche, à nos buts, et à notre haine pour tout ce qui est là.
Rappelons que toutes nos interventions sont répertoriées sur teleologie.org/interventions.html.