Posted by on December 03, 2000 at 11:40:32 PM EST:
In Reply to: Missa pro defunctis. posted by Doktor Weltfaust on November 26, 2000 at 06:50:47 PM EST:
Le malheureux docteur Weltfaust, à la signature selbstnégative, est un pitre. Quand il reproche aux téléologues de faire les pitres, il ne comprend pas, cet aveuglé du miroir, que ce n'est que de ses propres pitreries, et de celles de son maître, qu'il s'agit ('Après le travail, le plaisir' et 'ATTENTION, l'intéressé va bientôt interdire de lire ce message, sous peine de représailles infinies'). Quand la tarte se transforme en tarte à la crème, ce genre de petit con aigri, triste et sérieux, dégouline seulement.
Ce bonimenteur vient de fêter sa première année à la remorque de la téléologie moderne. Incapable de comprendre de quoi nous parlons, il est contraint de nous prendre par le menu, qui est son élément, c'est-à-dire qu'il a le groin dans sa cuvette de chiottes qu'il prend pour la nôtre, à laper, sucer, gémir et à se montrer finalement un raté d'autant plus ridicule qu'il arrive encore à se pénétrer du contraire (creusez cette nouvelle selbstnégativité). Qu'ont fait à ce suiviste le Cid et don Quijote, dont il se réclame descendant avec des trémolos de plouc ? Peut-être que, jaloux des téléologues, il l'est aussi des personnages du passé, lui dont les rêves de grandeur valent les fantasmes des midinettes qui veulent devenir stars. Toujours tourné vers le passé et ce qui est établi, vers la gloriole et la paillette, ce genre de mégalomane vulgaire a des horizons d'histrion de boulevard, et s'il a du sang espagnol, c'est plutôt celui de Sancho Pança (qui ne se serait peut-être pas dégradé à passer une année à tenter de laver un maître aussi sale).
Il y a ici un petit public pour la baston du mardi soir, que nous ne décevrons pas encore cette fois-ci. Pourtant, nos réponses iront vers la brièveté quand les répliques du verbeux sans argument rallongent : c'est que se moquer d'un pareil pneu crevé, qui ressasse et qui pourtant est essoufflé depuis longtemps, a perdu sa saveur, ne parlons pas de son intérêt, sauf pour la maigre galerie. Si cette digne claque soutient d'ailleurs ce pédant bouffon de la théorie lors de ses pressants appels au secours, c'est bien entendu parce qu'il est le plus faible, et qu'elle veut que la baston dure. Et si nous corrigeons encore cette petite boule de haine vaincue sans honneur, c'est pour montrer comment fonctionne la petite clique des voyéristes, presque tous voyérisateurs, c'est-à-dire menteurs, falsificateurs, tricheurs, calomniateurs au long cours, pour couvrir les intérêts de l'enculé Voyer, leur maître.
Depuis un an donc, le plan de carrière du docteur Mondepoing - pour plagier Céline - a rétréci en s'allongeant. La taille rédhibitoire de sa substansu lui interdit d'être le N° 1 dans le parti de la voyérisation, et même Papy Voyer, qui n'a pourtant que de la communication infinie dans le cul, rit de sa caricature Mondepoing. Du côté des buvettes du 93, la Selbstwelt se contente donc désormais de prétendre à la place de N° 2, provisoire. Mais même pour l'objectif si élevé d'être l'héritier de Voyer (vas-tu enfin crever vieille radoteuse ?), il faut travailler, travailler, travailler. Mondepoing, attaché à l'OT comme le serf à la glèbe et comme le commerçant à l'or, fait la preuve que son rêve de théoricien passe par les téléologues et eux seuls. Les téléologues, dans la même année, comme la glèbe et l'or, se sont collés dans les cervelles et dans les bourses de dizaines de contradicteurs, sur le Net et en dehors.
Pour les téléologues, Mondepoing s'est vite avéré n'être qu'un dialogue avec son miroir, dans lequel il croit que nos maléfiques personnes auraient fait irruption. Mais nous ne soignons pas le petit peuple malade, nous le révélons : prenez n'importe quelle insulte parmi les quelques centaines que le Mondepoing nous adresse, et retournez-la. Vous verrez qu'elle est à sa place là, qu'elle est extraite du miroir de cette Castafiore attardée. Nous l'avons longtemps comparé au menteur Bueno, mais c'est bien de la haine, de la mauvaise foi sans frein, de la bêtise hilarante et de l'infirmité à tous les niveaux d'un Ben Aziz qu'il est le plus proche, jusque dans ces vantardises d'arriviste sur des lectures mal digérées. Messieurs les soigneurs, quand vous aurez fini de torcher Papy Voyer, occupez-vous de ce produit de la peste émotionnelle, comme il dirait lui-même. « Un scribouillard pestiféré préférera écrire 20.000 pages d'insultes et de branlette théorique pour se dissimuler à lui-même qu'il est un imbécile prétentieux et improductif. »
Dans son rêve de vieillard précoce qui s'imagine déjà sous-lieutenant, notre sous-off veut faire la preuve que l'enculé Voyer n'est pas un falsificateur. S'il n'y arrive pas, il est un raté, ce qui pour ce Weltgeist à trottinette ne se conçoit pas, entre autres choses. En effet, il y a déjà longtemps qu'il est vieux : il vit dans le fétichisme d'armes d'il y a cinquante ans, dans des panoplies de science-fiction qu'on hésite déjà à offrir pour Noël à un enfant de dix ans, dans les scénarios de bandes dessinées. Mais même cette dose de bromure concentrée a dû déjà se rendre compte que la falsification de Voyer est le seul point indiscutable, au sens avéré (et non au sens diskutieren verboten que ce petit manipulateur désarmé nous prête du haut de son hypocrite malhonnêteté vertueuse), sur lequel notre maigre public s'est fait, comme on dit, une religion. Il est bien normal, du reste, que même les autres voyérisateurs n'aient pas suivi ce louche allié sur les nouvelles interprétations de cette falsification, qu'il surajoute à chaque nouvelle surenchère, et dont il ne se rend apparemment même pas compte à quel point elles accusent le falsificateur, l'enculé Voyer.
Mais peut-être que si. Pour rire, nous allons imiter ce téléogogo marron dans ses efforts pathétiques de prêter des motivations à son client, qu'il ne connaît pas, et aux accusateurs qu'il accuse, sans les connaître davantage. Rappelons au préalable que contrairement à ce scribouillard plein de haine nous faisons la différence entre polémique et critique, et tous ceux qui sont là pour comprendre comment on s'amuse avec un bouffon savent bien que nous pourrions évidemment faire comme ce bouffon, c'est-à-dire retourner chacune de ses phrases contre lui, peu importe la cohérence d'ensemble, l'essentiel étant alors le mondeping-pong. Mais comme pour nous la polémique est subordonnée, nous nous contenterons donc ici de proposer les motivations qu'on peut prêter, dans son cadre devenu si dérisoire, à l'honorable valet de pied.
En bon vizir Iznogoud il a peut-être intérêt, en effet, à une interminable dispute sur la falsification caractérisée de Voyer, qui avait, lui, d'excellentes raisons de Calife de ne jamais en parler (il avait été à l'école de Debord, qui lui a appris à quoi sert le silence). En apportant à chaque fois de nouvelles et ubuesques défenses à ce maître qu'il rêve de renverser, Iznogoud montre à chaque fois un peu plus qu'aucun de ses pseudo-arguments ne tient, puisqu'il faut les remplacer. A chaque fois, par conséquent, il nous est facile de montrer comment se renforce la falsification autour de Voyer, et Iznogoud se frotte ses petites mains tachées d'encre d'ex-futur théoricien. Peut-être que cette nuisance encyclopédique voudrait seulement nuire à Voyer qu'en petit frimeur de collège il prétend un jour avoir critiqué et dont il assure le lendemain que personne ne l'a encore critiqué. Une autre motivation pourrait être la suivante : si ce sympathique bonimenteur arrive à laver Voyer d'une falsification si nette dans les faits, et même à accuser de falsification ses accusateurs, il arrivera à faire croire n'importe quoi à n'importe qui, ce qui n'est pas sans intérêt compte tenu de l'aperçu qu'il a laissé entrevoir sur sa lessive théoricienne. Il y a beaucoup de ces tordus démunis dont le rêve d'absolu est d'entourlouper aussi bien que Staline, mais sans police. Ça ferait joli dans le Guiness Books of Records : Dr Weltfausseté a réussi à convaincre dix téléogogos voyéristes que le téléogogo Voyer (vous savez, l'autiste qui est le seul à ne pas parler de la téléologie au milieu du forum de téléologie où il vient encore désespérément bafouiller ses « hors sujet » de petit prof dépassé) n'a jamais falsifié, n'a jamais rien eu dans le cul. Sur ma tête, si je mens ! Putain, con ! comme on dit subtilement dans la Mancha.
Plus sérieusement, nous pensons que lorsqu'on met ainsi sa carrière et ses espoirs en jeu sur une falsification, comme cette plume servile, on doit être assez malheureux. A chaque fois, il faut d'abord se convaincre soi-même, et c'est ce qui est le plus difficile (sauf si on est fondamentalement un escroc comme Aristoutou ou FC par exemple). Non seulement il faut se raconter à nouveau tout l'épisode, mais renchérir à chaque fois, aller jusqu'à l'absurde dans l'ignominie, jusqu'à l'ignoble dans l'absurde. Si Mondepoing parle tant, de son unique sujet, c'est d'abord pour se convaincre soi-même, selbstconvaincre, selbstsuggestion, selbst Schuld : qu'il cesse de parler, et le doute et la culpabilité s'installent tout seuls. Mais nous qui sommes visés par ces dégueulis, mais de moins en moins touchés, n'avons plus le temps, ou le goût, de démonter point par point un réquisitoire devenu aussi faible, aussi transparent, aussi outré, aussi répétitif. Coupons les sept dernières pages de calomnies, de sophismes, de bêtises constipées et de chiasses de bile aux hormones publiées par ce valet de parti si mal parti pour n'examiner que sa prétention d'avoir répondu à notre dernière intervention sur le sujet : 'Nous sommes forcés d'admettre que la VOYERISATION continue'. Et nous sommes forcés d'admettre que si nous entrons dans une telle argumentation à propos de quelqu'un qui ne la mérite plus depuis longtemps, c'est uniquement pour faire la publicité de 'Nous sommes forcés d'admettre que la VOYERISATION continue'.
Les voyérisateurs, c'est-à-dire les défenseurs de la falsification consécutive à l'impuissance théoricienne, en sont à se relayer dans la répétition des mêmes arguments qu'ils sont contraints d'outrer jusqu'au délire pour dissimuler qu'ils redisent la même chose. Le dernier en date, le Dr. Weltfaust (dont le nom est si ridicule qu'il est obligé de se donner le ridicule d'affirmer que ce nom n'est pas ridicule, car plein de bon négatif), a besoin de dix pages pour ressasser ce que son prédécesseur torché, Y a Bon la Merde (YBM), avait rotouillé en dix lignes.
La Weltfausseté a confirmé parfaitement cette introduction prémonitoire en rajoutant sept pages de vide. Pour défendre peut-être son pseudonyme de sitcom pour 6-8 ans, il a seulement attaqué une fois de plus l'usage que nous faisons de l'identité individuelle à travers les signatures, confirmant par là qu'il n'a toujours pas compris de quoi il s'agit ; c'est normal, il est vieux.
Nous nous bornerons à rappeler ces quelques points :
1. Qu'est-ce qu'une correspondance falsifiée ? Une correspondance falsifiée est une correspondance publiée amputée, de sorte qu'un tiers impartial ne puisse pas prendre connaissance de ses pièces et juger de son contenu. Lebovici avait ainsi falsifié la correspondance Voyer-Champ Libre. Voyer et von Nichts ont ainsi falsifié la correspondance Voyer-Adreba Solneman. Lebovici, Voyer et von Nichts sont des falsificateurs et des enculés.
Evidemment, sur ce point-clé de tout le message, qui définit la falsification de Voyer, son avocat a prudemment fait l'autiste. Gageons qu'il va maintenant s'y attaquer, on va rire.
2. Les voyérisateurs aux abois prétendent aujourd'hui que la partie censurée de cette correspondance était de la « connerie ». Sur la forme, elle révèle plusieurs ignominies et bassesses de la part de Voyer (lettre antidatée ; publication de la première réponse d'Adreba Solneman à son insu dans le torchon appelé l'Imbécile de Paris ; ajout journalistique d'intertitres à l'intérieur de ce texte ; lâchez-moi ou vous êtes un oppresseur). Sur le fond, le premier texte était une série de questions, sur lesquelles Voyer avait cru qu'il pouvait tranquillement rebondir en livrant un très faible digest de ses théories antérieures ; le second texte, celui qui a été censuré, est une série de réponses, qui mettent en cause non seulement plusieurs pans de la théorie de Voyer, mais la théorie de Voyer en entier. Rappelons que tout ceci est impossible à vérifier dans l'édition des falsificateurs Voyer-von Nichts.
Sur la question de la « connerie » du second texte, censuré, d'Adreba Solneman, la Weltfausseté a maintenant un nouveau raisonnement. Ce second message dirait la même chose que le premier, selon lui. Donc publier le premier suffit. Sans même rentrer dans le détail de ces deux messages, aussi différents qu'une question et sa réponse, rappelons que c'est là exactement l'argument de Lebovici face aux neuf lettres de Voyer dont il n'a publié que les cinq premières en affirmant que les quatre dernières étaient « du même genre ». Nous laissons aux juristes d'occasion la discussion sur le fait de savoir si cette mention de Lebovici qui indique tout de même au tiers impartial que le discours censuré continuait au-delà de la publication est plus honnête, ou moins, que celui de von Nichts-Voyer, qui au moins n'utilisent pas l'argument mensonger repris par la Weltfausseté, à savoir : la suite n'a aucun intérêt.
3. Mondepoing affirme que la prétention à critiquer Voyer aurait eu pour tremplin la dénonciation de cette falsification. Rien n'est plus ridicule ni plus faux. La critique de Voyer est devenue publique à partir de 1991. Dans l'ouvrage d'Adreba Solneman ('Du 9 janvier 1978 au 4 novembre 1979') paru cette année-là, ainsi que dans les quatre bulletins de la Bibliothèque des Emeutes parus après l'échange (dans son délire de négation aux antipodes de la dialectique, Mondepoing va même jusqu'à nier que cinq lettres dans un sens et trois dans l'autre constituent un « échange » !) avec Voyer, la critique du monde que défend Voyer continue. Voyer joue un rôle mineur dans ces publications comme dans le monde. Nous n'avons traité Voyer de falsificateur que depuis que nous avons découvert qu'il en est un, en 1998, et pour l'instant seulement là où il pérore sur l'Internet. Entre-temps, l'ouvrage 'Un assaut contre la société' paru fin 1999 ne mentionne même nulle part cette falsification.
Le malheureux Dr. Mondepoing au contraire n'a jamais rendu public rien d'autre que des dizaines de pages de calomnies et de sophismes uniquement consacrées aux téléologues et à leur dénonciation de la falsification de l'enculé Voyer. Ridiculisé (cf. 3146 et 3199) lors des deux sorties théoriciennes qu'il a hasardées, ce bon vizir Iznogoud semble s'être résigné depuis à attendre la mort du calife Voyer pour devenir calife de la petite coterie des voyérisateurs. Il s'est en effet rabattu sur un plan de carrière plus modeste (les preuves de sa grandeur viennent d'être différées pour dans vingt ans), à la Nixon, dont l'activité publique avait commencé par un rôle de procureur dans le maccarthysme. Ce zélé militant est évidemment le seul à tenter de capitaliser sur la falsification de Voyer : c'est sa clé d'entrée dans le débat public, et depuis un an, il s'y accroche comme si sa carrière en dépendait (cf. 4332, 4365 et 4390). Et c'est l'effet de son miroir qui lui fait construire un scénario débile où de vils téléologues étaient à l'affût de la blanche colombe Voyer, pour se la taper, dans le but de profiter de l'immense notoriété de cette idole inconnue, dont la critique est la propriété privée du seul Mondepoing, qu'on se le dise. Ce scénario n'est au fond que le rêve mouillé du grand vizir Iznogoud. Et c'est uniquement parce qu'il croit qu'ils ont usurpé son fantasme refoulé qu'il traite les téléologues de falsificateurs. La vérité est plus prosaïque : Voyer a eu une certaine importance en tant que théoricien. Il y a dix ans que les limites de son discours lui ont été montrées. Depuis, il est devenu falsificateur et nous le faisons savoir.
La Weltfausseté a usé à ce sujet d'un de ses procédés courants : il a affirmé que les téléologues avaient machiné l'accusation de falsification de Voyer pour capitaliser dessus, nous avons donc signalé que même 'Un assaut contre la société', paru depuis que cette polémique est le fétiche de la Weltfausseté, n'en parle pas. Eh bien, cette réfutation est devenue une preuve supplémentaire : ce serait pour cacher que lui, le gnome Mondepoing, aurait attaqué les téléologues, que nous ne parlerions pas de cet événement capital dans sa carrière. Autant de misérable égocentrisme chez un personnage de troisième ordre peut prêter à sourire. Ses panzer-on-ne-sait-quoi sont dûment répertoriées et exposées sur notre site (teleologie.org) à la petite place qu'elles ont méritée. Résumons le procédé : nous disons une chose, c'est atroce ; nous montrons que c'est le contraire, c'est pire. Même les journaputes sont plus prudentes avec ce genre de truc, parce qu'il accuse davantage ses auteurs que ceux qui en sont la cible.
Pour le reste, le vizir Iznogoud a laissé tomber son accusation comme quoi les téléologues seraient des falsificateurs. Nous savons que c'est provisoire. Son plaidoyer pro-Voyer et anti-OT étant construit sur l'invention des intentions de l'un et des autres, classées et sous-classées pour donner l'illusion que toute cette psycho-fantasmagorie serait logique, reflet vaguement déformé de ses propres intentions, mais développé dans des délires d'adolescent qui ne connaît pas le monde, ou qui pense que le monde ce sont ses trois lectures fièrement exhibées quoique plutôt mal digérées, il n'y a aucune raison pour que de telles élucubrations ne reviennent pas à la surface. D'autant que si les téléologues ne sont pas des falsificateurs, comment penser que Voyer, qu'ils ont montré en être un, n'en serait pas un ?
4. La négation forcenée de la part des voyérisateurs de la falsification commise par Voyer, jusqu'à la délirante accusation de falsification retournée contre les téléologues, qui par ailleurs ont été massivement falsifiés, dans la forme et dans le fond, sur ce site, sert essentiellement à couvrir ceux des voyérisateurs qui sont les auteurs de ces falsifications massives. Il s'agit par l'actuelle surenchère de faire oublier combien la falsification était devenue habituelle et tolérable pour les Voyer, Weltfaust, YBM, et autres complices de cette clique de conservateurs, tant qu'elle ne touchait que leurs adversaires. Il s'agit principalement de faire oublier les deux textes (cf. 'PROGRES DE LA FALSIFICATION' et 'A propos des réponses à PROGRES DE LA FALSIFICATION') des téléologues qui ont montré cette escalade du parti voyériste dans la falsification, et la responsabilité qu'y tient l'enculé Voyer. Depuis, les voyérisateurs non falsificateurs qui ne prennent pas explicitement leurs distances avec les voyérisateurs falsificateurs, et qui par conséquent cherchent à faire oublier leurs trucages massifs, sont donc seulement appliqués à les développer sous une autre forme.
La seule chose que bredouille là-dessus la Weltfausseté, dont on voit combien elle a su répondre au message des téléologues, c'est qu'il n'existe rien comme des voyéristes ou des voyérisateurs. Nous voulions essentiellement dire cela : Voyer a falsifié et a au moins permis des falsifications massives destinées à le soutenir. C'est l'ensemble de cette évolution que nous appelons la voyérisation, et les voyéristes sont ceux qui soutiennent Voyer sans le critiquer. La voyérisation est une logique de la falsification. Nous avons ainsi vu la malhonnêteté de la Weltfausseté (qui n'est pas Welt en soi, mais par dérision) grandir en un an, devenir une malhonnêteté profondément ancrée dans le choix de la défense d'une falsification, et justifier tout ce qui défend cette falsification. Ainsi cette malhonnêteté a empiré ou est devenue visiblement ce qu'elle était essentiellement : plus question de dénoncer des falsifications alliées, plus question de critiquer des alliés lorsqu'ils disent des choses inadmissibles (que ce soit crapulerie ou bêtise), mais au contraire défense et justification de ces procédés dont on devine comment ils auraient été traités si les téléologues les avaient utilisés. L'aveuglement partisan a dépassé toute autre considération chez ce larbin voyérisateur. Alors qu'en novembre 1999 il n'était qu'un cuistre vantard rapidement démasqué, il est devenu, un an plus tard, une crapule ennuyeuse, gouvernée par une malhonnêteté maintenant intégrée, poussée jusqu'à la sottise, et embourbée dans le minuscule.
La téléologue que cet impuissant sous-chef truqueur traite de « falsificatrice en chef », rappelez-vous le miroir, n'ayant pas le temps de s'occuper des fastidieux détails d'un pareil bouffon qui va donc sans doute la poursuivre de ses assiduités puériles et grossières, me demande de rajouter les trois points suivants :
1. Falsification « indiscutable » a le sens d'irréversible, d'avéré, de réel, et par conséquent celui de « il ne sert à rien d'en discuter » et non de « diskutieren verboten » comme le sous-entend le petit truc en l'associant aux culs serrés des staliniens, rappelez-vous le miroir. Quand le petit truc disait : « Pour moi, il y a falsification ou pas falsification », elle entendait exactement le côté vérifié et par conséquent il ne sert à rien d'en discuter que l'on retrouve dans « falsification indiscutable ». Le petit truc lui reproche d'avoir extrapolé à tort, et elle ne voudrait pas le charger plus qu'il ne l'est déjà. Au mieux, elle comprend maintenant qu'il y a falsification avérée ou pas falsification avérée, mais que pour le truqueur, il sert toujours d'en discuter, surtout quand il s'en selbstpersuade.
2. Quoiqu'il ait prétendu répondre à tout, dans une énième fanfaronnade de jobard coincé, il n'a même pas répondu à l'essentiel : si nous sommes des falsificateurs depuis 1998, alors pourquoi la Weltfausseté ne nous a-t-elle pas traités de falsificateurs dès 1999, dès son premier panzerflop ? Pourquoi a-t-elle attendu que nous ayons dénoncé la VOYERISATION, c'est-à-dire la falsification massive à l'appui de l'impuissance théoricienne, pour nous lancer cette grave et grotesque accusation d'une falsification dont il affirme pourtant qu'elle était visible dès le départ ?
3. Ce manipulateur voudrait montrer que Voyer n'a jamais voulu répondre à Adreba Solneman. Lorsque, dans sa vraie lettre du 28 juin 1991, Voyer affirme qu'il va « répondre » à Adreba Solneman, c'est donc un mensonge. Il n'aurait absolument pas l'intention de « répondre », il a seulement l'intention de pérorer en résumé ce qu'on savait déjà. La publication du bout de correspondance dans l'Imbécile, le journal, est donc une mise en scène d'échange, avec, déjà, la ferme intention de ne pas écouter l'autre, de ne pas échanger. Lorsque le futur enculé Voyer échange, formellement, ce serait déjà pour masquer qu'il n'a aucune intention d'échanger, sur le fond. C'est vraiment à croire que le petit Mondepoing essaie de faire passer Voyer pour une ordure.
Lorsque la contradiction vient, on ferme boutique. Lâchez-moi, ou vous êtes un oppresseur. Pour la Weltfausseté c'est là une politesse pour ne pas avoir à dire vous êtes un con. Une fois de plus, si Voyer a toujours su dire une chose, sur tous les tons, c'est bien : vous êtes un con. La conception de la politesse de la Weltfausseté est bien celle d'un cuistre : la politesse ne sert qu'à mentir, à tromper. La politesse, pour les gens d'honneur, dont évidemment la Weltfausseté est à ce point dépourvue qu'elle se vante d'un honneur de roman de gare, est le respect de l'autre. Donc de deux choses l'une : soit Voyer respectait Adreba Solneman, soit il a été, avant de devenir falsificateur, menteur comme le croit son cuistre défenseur. Quant à sa lâcheté, elle est proverbiale.
Depuis que nous avons signalé ce qu'est la VOYERISATION et à quoi elle sert, dans le monde, le petit Mondepoing, qui n'a jamais fait le poids, espère au moins nous salir comme il l'avoue lui-même. Nous avons bien de telles merdes au cul. Et on s'étonnera certainement un jour que nous ayons jugé nécessaire de gifler si longtemps quelqu'un capable de hurler à notre nullité absolue pour ensuite affirmer dans le même message que nous sommes « la tentative la plus crapuleuse de falsifier (…) l'esprit de ce temps ». Mais nous avons choisi de répondre aux plus démunis, parce que nous en faisons partie nous-mêmes (il y aura nécessairement là-dessus quelques faciles et hargneux quolibets), et que si un Mondepoing nous voit dans son miroir, c'est parce qu'il nous ressemble un peu, accablant mais nécessaire constat - la différence la plus apparente étant évidemment l'honnêteté. Nos ennemis les plus proches, les conservateurs d'un monde qui nous a battus dans la rue, comme les voyérisateurs, sont souvent ceux qui ont été aussi battus, parfois même dans la rue. Avant donc que la distance entre ces pauvres et nous soit évidente, il nous faut la montrer, en la déroulant sans y rester piégés parmi cette canaille.