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#1 10-09-2024 15:50
- texte de mars 2024
2. pseudopersonnel
un pseudopersonnel est une distinction toute négative ; pour éventuellement en bénéficier, ce dont ne se féliciteront pas forcément les quelques qui auront ce privilège, mais dont ils useront peut-être, il faut s'être frotté à la téléologie ailleurs qu'ici, de manière anonyme, pseudonyme ou patronyme, et que google&cie, le bouche à oreille ou le hasard d'une lecture en rendent compte
comme il s'agit le plus souvent de vider un abcès, aussi promptement que proprement, la logique voudrait qu'un pseudoperso cesse d'émettre aussitôt que le débat qui le justifiait est clôt – le silence étant la forme la moins satisfaisante de conclusion ; on ne peut exclure cependant une forme d'arriération existentielle, un attachement aussi banal que déplacé à ce résidu identitaire et la poursuite des interventions sous cette bannière
je n'imagine pas un pseudoperso connoté positivement, mais on ne peut l’exclure non plus
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lorsqu'on écope d'un pseudoperso on reçoit un mail avec un lien vers son profil et le mot de passe pour y accéder ; on peut ensuite changer ce mot de passe et l'email associé au pseudo, ou pas
disposer d'un pseudoperso ne permet pas de modifier ses messages, ni de changer de pseudonyme – pour ce faire il faudrait avoir mieux à proposer, quant à modifier ses messages c'est triplement inconcevable techniquement
1 quand un discours a été tenu on ne peut plus changer ce qui a été dit 2 cela signifierait que tout le monde peut modifier tous les messages 3 il n'y a qu'un agent technique
#2 10-09-2024 15:52
- texte de mars 2024
Re : 2. pseudopersonnel
comme la téléologie suscite beaucoup de dérobades et encore plus de silence il ne faudrait pas laisser s'y perdre les conclusions qui s'imposent, aussi courtes soient-elles, il ne faudrait pas que ce qui est implicite, sous ses dehors libéraux, soit ignoré : un pseudopersonnel n'est pas une simple possibilité dont on userait ou pas, est moins une invitation qu'une semonce – une piqûre de rappel pour ceux qui pensent qu'il est dans l'ordre de répondre aux questions que soulèvent leurs propos, éventuellement en réfutant ces questions