L'enculé Voyer tente actuellement de solder au rabais son compte avec les téléologues. Dans un texte intitulé 'Preuves d'une calomnie', il se fait donc, en feignant l'ironie, l'avocat de son complice et co-enculé von Nichts dans la falsification de la correspondance qu'il a eue avec Adreba Solneman, et qu'il a supervisée.
L'enculé Voyer prétend, pour tout argument, tout beau tout neuf, que « l'état du monde » n'aurait pas changé entre la publication du début de correspondance entre Adreba Solneman et Voyer dans 'l'Imbécile de Paris' et la publication du même début de correspondance par les Editions Ânonymes de von Nichts, « honneur de la profession » des éditeurs, qui a endossé la tunique du falsificateur Lebovici, le 6 juin 1998.
Mettons-nous dans la perspective ridicule de ces enculés qui suppose, on ne sait trop pourquoi, que le critère d'une falsification serait que « l'état du monde » ait changé ; la plupart des falsifications sont en effet destinées à empêcher que « l'état du monde » ne change ; mais on peut aussi admettre, dans une acception large, que « l'état du monde » change avec un battement d'aile de papillon. Eh bien, « l'état du monde » avait déjà changé par une seconde lettre d'Adreba Solneman à Voyer, puis par une troisième, puis par une réponse de Voyer, puis par un épilogue d'Adreba Solneman.
La publication à l'identique, en apparence seulement, ne tient pas compte de ce que :
La publication à l'identique de cette correspondance est donc une falsification indiscutable, une saloperie qui tente de ramener en arrière le sens de ce qui s'est passé en vérité, et elle n'a pas d'autre but.
Mais l'enculé arguera que le changement de « l'état du monde » doit nécessairement être public. Nous ne pensons pas que le changement de l'état du monde doive nécessairement être public, surtout quand les papillons s'y mettent, même s'il finit en principe par se manifester en public, ce qui est bien différent. Mais malheureusement pour l'enculé Voyer, dont la mémoire est à peu près aussi poreuse que les arguments, il existait une revue qui s'appelait 'Bulletin de la Bibliothèque des Emeutes'. Le numéro 4 de cette revue est paru en 1992, la totalité de cette correspondance y était rendue publique et, comme nous l'avons déjà signalé dans 'Voyérisation sans FIN', a été envoyée à Voyer dès parution. Même ce qui était public dans le monde avait donc changé entre la publication initiale de 'l'Imbécile de Paris' et la publication à l'identique, devenue falsification par l'identique, des Editions Ânonymes, qui affirment maintenant (après avoir donné 1992 comme date de première publication) que cette première édition de la falsification aurait été mise sur le marché en 1995, donc (si ce n'est pas cette date qui est un mensonge) trois années après la publication de l'intégrale de cette correspondance dans le bulletin n° 4 de la Bibliothèque des Emeutes. Et c'est donc un nouveau mensonge de prétendre que « Ce qui était dissimulé du temps de l'Imbécile de Paris (à la demande exprès de Solneman*, prière exaucée) est toujours dissimulé du temps de la publication des articles par Karl von N. ».
Ce sont les deux phrases suivantes qui révèlent la vérité de cette falsification, perle d'un rêve de résignation, du rêve d'un monde sans histoire : « L'état du monde n'a pas changé. Il ne s'est rien passé, sinon quelques années. » En arriver à ce mensonge est exactement le contenu de cette falsification, son sens. L'enculé Voyer espérait occulter et effacer la suite, la fin et les conséquences de cette correspondance. Et pour cause.
En résumé, ce que ce que nous avons dit se vérifie même selon les critères étatmondistes de Jean-Pierre Voyer : Jean-Pierre Voyer est un falsificateur et un enculé, et son petit singe von Nichts, qui falsifie des citations pour défendre son maître, est également un falsificateur et un enculé.
(Texte de 2003.)
'Fin du voyérisme paisible, première partie'.
'Fin du voyérisme paisible, deuxième partie'.
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