Posted by observatoire de téléologie on October 08, 2000 at 12:50:04 PM EDT:
Lorsqu'une réflexion, rendue publique, est aussi rapidement et parfaitement confirmée par ses plus proches ennemis que 'Progrès de la falsification', leurs auteurs devraient se réjouir ; mais dans ce cas, compte tenu du sujet, la falsification, c'est l'inquiétude qui domine le dégoût.
Les falsificateurs et imbéciles complices mis en cause dans ce texte se sont donc manifestés chacun selon son caractère, comme dirait Reich, et tous sur le mode d'écoliers pris la main dans le sac, offrant ici une assez bonne palette de réactions sur la corruption, au moment où elle est en train de s'installer, dans un milieu donné.
Le premier, le vieil éjaculateur précoce Terrien, a été fort clair dans sa petite impudence potachière. Il soutient et revendique la falsification : « les téléologues comprendront ils qu'ils s'enferment dans des raisonnements abradabrants qui sont, pour moi et quelques autres, bien plus désastreux que la plaisanterie potachière de la falsification ». On pourrait bien sûr sourire de l'involontaire formule de cet ennuyeux social-démocrate d'une autre époque qui trouve bien plus désastreux pour lui nos raisonnements sur la falsification que ses petites falsifications elles-mêmes. Mais ce n'est pas ce qu'il a voulu dire. L'enculé veut dire qu'un peu de falsification est moins grave que l'insulte qui la récompense. Rappelons donc que notre position est inverse : aucune falsification n'est potachière, et aucune insulte n'arrivera jamais à effacer aucune falsification. C'est quand ils n'ont plus d'arguments que les impuissants, comme ce prout-prout, falsifient. C'est uniquement pour tromper sur le fond ou pour minimiser l'importance du fond que ce personnage, dépourvu de toute dignité humaine, emprunte celle des autres. Terrien, représentant de la middle class satisfaite de l'être, n'est pas pour rien le personnage le plus méprisé sur ce site (même s'il y a au moins aussi méprisable). Une autre signature, « falsificateur transparent », réaffirme en le renforçant l'engagement dans la malhonnêteté intellectuelle : « les falsifications sont si visibles qu'elles ne le sont pas », vieux sophisme d'escroc destiné à gruger le lecteur approximatif.
« Falsificateur transparent » n'avait qu'à demander à son voisin de cartable, Marcel Web, pour qui les falsifications étaient si visibles qu'il a répondu sérieusement au moins deux ou trois fois à des faux OT qu'il prenait pour des vrais. Et lorsque le vrai OT tente d'éviter au moins ce ridicule, à lui et à tous les autres, en publiant la liste de ses textes, notre Marcel Grosjean-Devant dit qu'il « s'en fout », ce qui traduit exactement le contraire : quand on s'en fout, on ne prend pas la peine d'écrire un message pour ne dire que cela. Mais nous devons nos excuses à ce gros cul du dernier rang, qui s'indigne à juste titre que nous le traitions de « bien comprenant ». Une coquille s'est en effet glissée dans notre raisonnement. Marcel, qui pense que le débat dont nous parlons est magique et que nous pourrions le faire partager à quelqu'un comme lui, est évidemment un « rien comprenant ». Ce maladroit couillon trouve même ennuyeux « de falsifier sans le savoir ». Si, en l'occurrence, il ne parle pas de sa propre aérophagie, c'est donc à notre Papy Voyer, qui a bien mérité de telles groupies, c'est-à-dire dont le QI s'arrête avant le I, et à son oustiti d'éditeur qu'il fait allusion. Car c'est bien dans ce couple seul qu'on a pu prétendre falsifier sans le savoir ; mais il y a deux ans que les deux truqueurs ne peuvent plus l'ignorer, ou alors le théoricien de la communication infinie et sa carpette ont les deux tympans défoncés par les godemichés qui remuent depuis en eux, sans relâche.
Pourtant persuadé d'être un bon élève, parce qu'il croit que personne ne l'a vu en train de copier sur ses petits camarades, c'est FC comme FalsifiCator qui est ensuite venu chialer. Là, on régresse vers un âge plus tendre. FC venait d'être implicitement accusé d'être le faux Voyer, un flic provocateur. Son excellente ligne de défense a été non msieu, c'est pas moi, c'est eux, c'est les téléos les flics provocateurs. Dans tous les Football Clubs du monde on appelle ça un transfert et, chez les plus grands, dans les classes au-dessus de celle de FC « c'estquiquidiqui'yest » ou « la patate chaude ». Le FC est si malhonnête et malheureux qu'on croirait que son antivoyérisme primaire est fabriqué par quelque crapule voyériste, parce qu'avec des opposants de ce genre même notre grabataire Papy finirait par paraître avoir raison et passer pour un fier théoricien, un honnête falsificateur, injustement falsifié à son tour, alors qu'il ne projetait que de se perpétuer à l'infini, en toute tranquillité.
Puis, il y a eu le message d'un certain « Nausée », le fayot masqué qui défend toujours le maître. Si ce n'est pas le publiciste Aristoutou, la crème des merdes, c'est exactement le même procédé. On prend une phrase du texte, ici celle qui rappelle que Voyer schlingue le faux, on la retourne sans preuve, « c'estquiquidiqui'yest », et on l'assaisonne de deux ou trois calomnies, plus stupides qu'abjectes, ici « jésuites fienteux », « simili-émeutiers châtrés ». Ce qui est amusant, c'est le raisonnement de notre « Nausée » : « Parce que vous trouvez que vous sentez la rose ? » Même les voyéristes ne mettent plus en doute que Voyer schlingue le faux. Par contre, pour eux, prouver le « c'estquiquidiqui'yest » n'est pas seulement ober the topp, comme on l'a vu, mais bien évidemment impossible.
Pour fermer la marche, l'Aristoutou, prix d'honneur incontesté de la classe des falsificateurs, est venu signer de son nom. Il nous a gratifiés de la 150e annonce de la fin de la téléologie moderne, et ce n'est pas la dernière. La sortie de la crapule est typique : il annonce notre fin pour signaler la fin de sa signature, il titre bluff théorique pour pratiquer son bluff de signataire. Car le faux Aristote, évidemment, n'a jamais été qu'une signature.
Elle était apparue pile-poil au moment où la signature von Nichts, le noble éditeur-faussaire de Papy Voyer, ne pouvait plus se soutenir par ce qu'elle était devenue : synonyme de grossière falsification voyériste (cf. 'Cours de citation pour falsificateur moderne'). La signature Aristote, qui a pris le relais, a tout fait pour systématiser la falsification sur ce site. Elle est aujourd'hui grillée, cramée dans le four Voyer, usée par la honte et l'ignominie au point qu'elle doit être à son tour abandonnée. Mais qui, ici, peut croire que les crapuleries ne vont pas continuer sous une nouvelle signature, au service du falsificateur Voyer ?
Aucun des personnages qui a répondu à 'Progrès de la falsification' n'a pris position contre les falsifications, ni aucun tiers, ce qui indique clairement quels sont les progrès de l'honnêteté intellectuelle sur ce site, et dans quel sens ils vont, désormais. Voyer, en lâche et en merdeux, comme d'habitude, rase les murs de son cul plombé. Ceux qui pensaient que la falsification de Voyer sur Adreba Solneman était un accident sont comme les bolcheviques ou les debordistes, qui excusent tous les renoncements pour pouvoir rester dans le parti : depuis, toutes les falsifications sur ce site (et la liste téléologue des faux commis sur les téléologues est volontairement minimaliste ; n'y figurent notamment pas les tripatouillages malveillants comme ceux signés Obtologie de téléservatoire, Moulin à parole, 'Mon croire' de l'innocent Weber, et quelques autres) sont fondamentalement voyéristes, sauf les trois faux Voyer récents. Voyer et sa théorie, incapables de contredire les téléologues, ne se soutiennent plus, et essentiellement contre les téléologues, que par la falsification.
En un peu plus d'un an, entre la signature von Nichts et la signature Aristote, la théorie de Voyer s'est transformée en voyérisme, et le voyérisme est devenu le parti du faux, de la falsification massive. Non seulement Voyer est parfaitement informé du fait qu'on falsifie pour défendre ses contradictions et ses marottes de vieil enculé, mais il le cautionne par son silence. La théorie de Voyer, qui n'est qu'une théorie de la résignation qui espère rester le plus longtemps possible à l'abri de toute critique, a donc ainsi rejoint en accéléré (bien plus vite que la théorie situationniste) le vieux monde, le monde où le vrai n'est qu'un moment du faux, dont il est devenu une ligne de défense avancée. Il faudrait être particulièrement crédule pour supposer que les falsifications vont cesser d'un coup. Avec la ou les prochaines signatures du faux Aristote, il y a au contraire fort à parier sur une augmentation du niveau déjà élevé de la voyérisation. On entend désormais par voyérisation le processus de falsification massive par l'impuissance théoricienne. La différence entre la théorie de Voyer et la voyérisation, c'est que dans la seconde, au contraire de la première, la division du travail n'est pas infinie : au maître planqué la théorie, au bétail châtré la montée en première ligne pour calomnier, mentir, falsifier.
Contrairement à ce que semble supposer l'esclave Aristoutou, qui se croit affranchi, quand les téléologues ont parlé de leur silence, il s'agissait de leur silence des deux derniers mois. Pour l'avenir, comme nous l'avons déjà dit, nous ne faisons pas de pronostics. Nous avons facilement montré, depuis deux ans, que la théorie de Voyer n'était plus défendable, et pendant la même période, Voyer lui-même, bredouillant ses pauvres lubies, nous a utilement secondés. Pourquoi les téléologues n'ont-ils pas besoin de falsifier les signatures et les textes des autres pour les critiquer ? Et pourquoi Voyer et les voyéristes ont-ils besoin de falsifier ceux des téléologues pour les faire taire ? Il est remarquable que la falsification contre les téléologues n'est devenue massive que lorsque nous avons explosé les maigres défenses théoriciennes de Voyer chez Hate Company, Dr. Substansu et Petit voyériste. Nous pourrions, chaque fois qu'il l'ouvre encore, aisément et efficacement le contredire, tout simplement parce que notre point de vue est un dépassement du sien, et qu'il suffit de l'appliquer aux bredouillements particuliers du vaniteux vieillard. Mais Voyer n'est qu'un petit. Il n'a plus d'autre importance que d'être la star d'un site, et d'y avoir parrainé, pour la conservation de sa théorie, pour l'interdiction de sa critique, un système de falsification et de suivisme. Nous ne répondrons certainement plus au mot à mot de tout ce qui viendra soutenir ce carriérisme minuscule.
Car contrairement à ce qu'espérait ici un nostalgique du sens ancien de téléologie, la souillure que les téléologues ont fait à ce sens du mot ne s'effacera plus. De même, toute la pensée de Voyer est irrémédiablement souillée par notre rapide passage et la réaction qu'il suscite ; elle n'était faite que pour cela.
La liste des messages authentiques de l'observatoire de téléologie est disponible sur : http://www.teleologie.org/interventions.html.