Très grossière sorte de benazisme (avec le bon texte cette fois)
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Posted by OT on October 16, 1999 at 01:53:12 PM EDT:
In Reply to: Très raffinée sorte de Lyssenkisme posted by Aristote on October 15, 1999 at 08:53:20 AM EDT:
Ben Aziz est en danger : il n'a fallu que 80 mots à « Aristote » pour accumuler toutes les approximations auxquelles nous répondons ici :
1. Notre « Aristote » n'a pas saisi la question centrale de 'Deux découvertes', texte auquel il feint de répondre sans le nommer trois heures à peine après sa publication : la finalité.
2. Il n'y a aucune « épistémologie de la physique » ici. « Aristote » utilise « épistémologie » pour discréditer le propos en le réduisant à une science universitaire ; et il récidive aussitôt avec « sociologie de bas étage ». Donc : soit, dès qu'on prend la connaissance scientifique pour objet, on fait de l'épistémologie ; soit il n'y a pas d'épistémologie dans ce texte, ce qui est évidemment notre opinion jusqu'à preuve du contraire.
3. Il n'y a aucun « glissement » d'une critique de l'information à une épistémologie de la physique. Critiques de l'information et de la physique comme science positive sont ici clairement liées dans leur rapport réciproque.
4. Comment une sorte de lyssenkisme peut-il être raffiné ?
5. Qu'est-ce qu'une surconceptualisation ?
6. Quelle sociologie n'est pas de bas étage ?
7. Il est certainement faux que ceux qui n'ont pas compris le bolchevisme sont condamnés à le reproduire, comme en attestent les victimes non trotskistes de cette police. C'est plutôt parmi ceux qui l'ont compris qu'il est reproduit. Et c'est pourquoi, nous qui avons compris que le bolchevisme est une police, nous sommes insultés par ceux qui nous traitent ainsi, même si nous savons que l'utilisation de l'anathème cherche à masquer leur incapacité à argumenter.
Avec Ben Aziz, le benazisme était une calomnie furieuse et bête de quelqu'un sur la queue duquel nous avons sans doute marché par mégarde ; mais ça sentait encore un peu les voitures qui avaient brûlé. Avec l'Aristote contemporain, le benazisme devient une rancœur de toute une vie ; et maintenant ça sent la naphtaline.
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