Un nouvel emprunt russe
« on: 09.06.03 at 23:50:01 »
Le plaidoyer « minute » de l’enculé Voyer pour justifier sa falsification indiscutable de sa correspondance avec Adreba Solneman vient de passer les quatre-vingt-dix jours de raturages publics quasi quotidiens. Karamazov ! La « minute » nécessaire de ce falsificateur empêtré dure déjà depuis cent vingt neuf mille six cents minutes. Kalinka maia ! Entamée avec une promesse de leçon éclatante, cette campagne de Russie erre dans la toundra, geint dans la taïga, à des milliers et des milliers de verstes de la moindre datcha !
La noble activité d’intellectuel raté que pratique le prince russe du voyérisme pénible s’appelle le prouteflitch. Un prouteflitch, qui est l’unité de base de ce grand œuvre, est soit un sophisme (grosse cargaison depuis début juin, ça panique), soit une invention-minute (parfois publique pendant seulement vingt-quatre heures, soit à peine mille quatre cent quarante minutes, mais publique quand même, il en restera bien quelque chose), soit un mensonge, soit une calomnie, soit, le plus souvent, une connerie d’autiste qui fait le fion *, toujours un pet liquide censé estourbir comme un coup de knout les moujiks les moins crédules au moins jusqu’à la prochaine révolution, celle qui abolira enfin l’existence de l’économie et qui nous sortira enfin de la préhistoire en résolvant enfin la contradiction entre communication directe et communication infinie. Le prouteflitch en date du 4 juin 2003 va étonner le monde, et profond et durable : « Ce l'est d'autant plus qu'à l'époque où von Nichts publia son recueil (mars 1992), il ne connaissait pas encore Voyer, et que, par la faute de ces imbéciles, il ne connaissait pas non plus l'existence de la seconde lettre de Solneman. »
Tarass Boulba ! Vladimir Putain ! Nicolas Gogol ! L’honneur de la profession des éditeurs, l’enculé von Nichts, ne connaissait même pas l’enculé Voyer quand il l’a publié ! A première vue c’est là une terrible accusation : l’honneur de la profession des éditeurs serait le premier éditeur à ne pas connaître un auteur qu’il publie. Merdov ! Il a édité opif ! L’honneur de la profession, c’est de faire n’importe quoi, d’ignorer ce qu’on publie, de ne pas connaître. Foutrov !
Ça veut dire quoi que les deux enculés ne se connaissaient même pas, à seconde vue, en jouant sur l’extension maximale du mot « connaître » ? Ça veut dire que l’enculé Voyer n’est pas responsable de l’édition de von Nichts, puisqu’il n’était pas au courant, aussi cocu que Nicolas II, quand von Nichts lui a fait cet enfant dans le dos : innocent parce qu’ignorant, Voyer. Et ça veut dire aussi que l’enculé von Nichts n’est pas responsable d’avoir publié une correspondance archi-tronquée, comme la commune de Cronstadt après que Trotsky s’y est intéressé pratiquement, parce qu’il ne pouvait même pas savoir que la correspondance ne s’est pas arrêtée à la réponse infatuée et creuse de l’enculé Voyer, mais qu’elle avait continué, là où elle avait commencé, c’est-à-dire en privé : innocent parce qu’ignorant, von Nichts. Résumé du scénario de la dernière minute : il y a une grosse falsification de l’échange entre Adreba Solneman et Voyer, la babouchka d’éditeur ne connaissait ni l’auteur ni la suite quand il a publié, et le staretz moisi d’auteur, qui savait qu’il y a une suite et qui pouvait mettre en garde la babouchka, n’était pas au courant de l’excellent bortch qu’elle mitonnait pour les gogos futurs voyéristes. Personne n’est responsable. Et, si personne n’est responsable, bien sûr, il ne peut pas y avoir falsification, n’est-ce pas ? Bolchoï !
Le seul problème c’est que, le 1er juin 1998, alors qu’Ivan Piotr Reyov était sur la route des vacances dans quelque Lada cabriolet ou Zil coupé sans téléphone portable, l’honneur de la profession des éditeurs, le falsificateur von Nitchevo affirmait : « Tous mes ouvrages sont faits avec l'accord et la supervision de M. Voyer. » « Tous » ses ouvrages ! Regardons dans le dictionarov : tout au pluriel suivi d’un déterminant exprime l’ensemble, la totalité sans distinction. Donc le premier ouvrage aussi. Mais, petite mère, comment est-ce possible ? Si l’enculé Voyer supervise tous les ouvrages publiés par l’enculé von Nichts, donc celui-là aussi, comment l’enculé Voyer peut-il affirmer qu’il ne connaissait pas l’enculé von Nichts ? Petit Père, ne fais pas le naïf : c’est que l’un des deux enculés ment ! C’est que chacun des deux tient le même discours digne d’un prince désintéressé lorsque l’émeute arrive à sa porte ou d’un responsable local du parti pris la main dans le sac : c’est pas moi, tovarich, c’est lui. Moi j’y suis pour rien, j’obéis aux ordres moi, je fais ce qu’on me dit. J’ignorais tout, comprenez-vous ? Je tchétchénie formellement toute responsabilité sur toute crapulerie passée, présente et à venir ! Par définition ! Regardez dans saint Dictionnaire, tout y est ! Prouteflitch !
Un nouvel emprunt russe (suite)
« Reply #1 on: 09.06.03 at 23:51:14 »
(…)
Je trouve que ça valait le coup d’attendre plus de cent vingt neuf mille six cents minutes et plein plein plein d’inventions, de nouvelles thèses, de nouvelles tentatives pour faire évoluer une justification impossible, une panique ta mère, pour arriver à ce que cette « plaidoirie-minute » mette à jour un mensonge, un vrai mensonge, un fait prétendu de deux manières incompatibles. Lequel des deux enculés a menti sur ce point-là ? Mais tout le monde s’en foutchki, puisque, depuis, ils sont tombés d’accord pour falsifier tous les deux, ensemble, aussi d’accord que le comité central au moment du vote. Quel que soit le menteur, l’autre s’est rallié au mensonge et l’a endossé, au plus tard en 1998, quand cette saloperie a été découverte pour ce qu’elle est. Von Nitchevo, l’éditeur, ne savait pas, maintenant il sait. Qu’est-ce qu’il fait : il endosse la tunique du falsificateur Lebovitchy. Reyov, l’auteur, ne savait pas qu’il était publié par le falsificateur von Nitchevo, maintenant il sait. Qu’est-ce qu’il fait : il affirme que rien ne s’est passé, dans le monde, dans l’Imbécile, dans Paris et pourquoi pas, tant qu’on y est, sur le Debordov. Et quand une falsification est approuvée par un éditeur et son auteur, c’est l’auteur qui est responsable. Panimayeche ? Si l’auteur n’est pas d’accord avec l’exécutant, il rompt publiquement, gavaritié-li voui pafranzouski ? Sinon, c’est lui le chef, c’est lui qui endosse. L’autre, le von Nitchevo, c’est juste le militant de base, le gardien de goulag, le grouillot de l’agitsale, le suce-pet du prouteflitch.
Le bocal à prouteflitchs est un spectacle que je recommande. D’abord, l’intellectuel raté avait fait dans le pet remptoire, le pet sifflant et rasant ; puis, ayant pris deux ou trois coups de pied téléologues au cul (ce qui était privé est resté privé blablabla…), il avait affiché un malaise intestinal continu et acharné, qui s’exprimait par des petits pets secs et peureux. Maintenant, enfermé dans son travail, petit et borné, il s’est rassuré, péniblement, voyérisant par-là, pas de réponse téléo, voyérisant par-ci, toujours pas de réponse téléo. Kharacho ! Il commence à croire derrière ses œillères d’arriviste de la plume dans le cul, mesquin, rabougri, besogneux, stupide et content de lui, qu’il n’y a pas d’extérieur au bocal, que la postérité entrera dans ses minables combines de falsificateur pathologique, dans ses arguties trafiquées, dans ses poses d’acteur de seconde zone sur le retour.
Mais plusieurs choses ont changé, depuis la nuit des temps, en mars 1992 (soviet : demandez toujours à un falsificateur et menteur avéré de prouver une date dont il veut faire un argument, surtout celle-là, qui a déjà bougé dans le catalogue de l’éditeur qui cite faux et qui truque : con Nichts) : Papy Vovo a beaucoup manipulé et triché, et sa malhonnêteté s’est voyée ; c’est sur le fond, droit comme un i, qu’Adreba Solneman était venu vers Voyer, mais papy Vovo pendouillait déjà en bas de fil comme un vieux yoyo, et son usure définitive s’est voyée : c’est parce qu’il a toujours été incapable de répondre sur le fond, que les téléologues ont poussé bien plus loin qu’Adreba Solneman, que Papy Vovo s’est mis à tricher, à falsifier, à se faire ramoner de fond en comble, et cette impuissance s’est voyée ; comme il n’a ni la force, ni l’intelligence, ni le courage ni l’honnêteté nécessaire pour défendre sa propre théorie de jeunesse définitivement dépassée, Papy Vovo tente maintenant de faire de sa falsification sur le fond et sur la forme une procédure, une pure question de forme, façon cabinet d’avocat new-yorkais, qui espère se racheter une innocence en faisant oublier de quoi il s’agissait, et cette malhonnêteté continue s’est voyée ; et le mépris et le rire ont changé de camp. Si les téléologues au début se défendaient contre une falsification, sérieux comme des papes, c’est aujourd’hui Papy Vovo qui court après le dernier wagon téléo, sérieux comme un pope, pour tenter de paraître, pour se justifier, et ça, c’est Voyer. Papy Vovo pensait pouvoir feindre que rien ne s’était passé et aujourd’hui il est devenu un stakhanoviste de l’intestin et ça c’est envoyé ; et les téléologues s’amusent, quand ils ont le temps, du laborieux combat d’arrière-garde de ce merdeux qui fait, au quotidien, la preuve de sa petitesse en live et de l’autosuggestion de son kipetrovitchi : le prouteflitch qui monte à la tête ne serait pas niet, niet, niet, le vulgaire pet liquide d’un vieil enculé impuissant, Bérézina ! mais le suave et subtil parfum d’un grand écrivain qui travaille, dadada. Na Zdarovje !
PS : Toto, j’ai toujours pas entendu tes réserves par rapport à l’enculé Voyer. Si t’en n’as pas, faut le dire, n’aie pas peur, t’es pas comme Franck Einstein, toi. Qui pourrait t’en vouloir d’être dévote ? Pas Chirac, pas Le Pen, pas Jospin, pas Besancenot, qui y ont tous appelé, juste avant que tu leur donnes ton petit bulletin.
* Je note qu’entre le 1er et le 3 juin 2003 la phrase « Le dictionnaire est l’arme absolue contre les falsificateurs et les calomniateurs » a été supprimée du texte ‘La peste soit des imbéciles malveillants’ ; on ne sait si l’écrit-vieux Voyer (imaginez-le en bonnet de flanelle ; un mélange édenté et pissouillard de Léautaud terminal et du Céline de Meudon ; avec blattes et ouistitis en guise de chiens et de chats ; aux murs, une jolie collection sous verre de becs de théière et de poils de hoplites) a mis là son coup de polissoir quotidien parce que s’est soudain imposée à sa conscience la bêtise grandiloquente d’une pareille proposition, ou si c’est parce que le mot même de falsificateur est finalement un peu trop délicat à manier, quand on est lui.
Prière exaucée
« Reply #2 on: 12.06.03 at 03:50:25 »
« Etant donné que je tiens ce fade journal pour responsable de ces petites libertés (je comprends mieux en quoi consiste l'ambitieux programme de l'éditorialiste : prendre librement la parole), je préférerais n'y plus paraître. C'est pourquoi cette lettre est envoyée après le numéro 3, et en partie pourquoi elle est si longue. » (Seconde lettre de Solneman à Voyer.)
Ils l'ont dans le cul, on vous dit. Mais ils ont le torticolis et l'anus défoncé. Ils ne voyent rien, n'entendent rien, ne sentent rien. Il n'y a pas plus idiots que ceux qui ne veulent pas comprendre.
Dans le cul des voyéristes, profond et durable
« Reply #3 on: 15.06.03 at 08:31:38 »
« Etant donné que je tiens ce fade journal pour responsable de ces petites libertés (je comprends mieux en quoi consiste l'ambitieux programme de l'éditorialiste : prendre librement la parole), je préférerais n'y plus paraître. C'est pourquoi cette lettre est envoyée après le numéro 3, et en partie pourquoi elle est si longue. »
Qu’est-ce à dire ? Est-ce que la lettre d’Adreba Solneman, que Voyer a fait publier dans ‘l’Imbécile de Paris’, ne serait pas conforme à ce qu’Adreba Solneman avait écrit ? Est-ce qu’elle aurait été bidouillée, traficotée à l’insu de l’auteur, qui, dans sa réponse suivante, est contraint de prendre lui-même les mesures pour se prémunir contre de tels procédés honteux ? Est-ce que la rédacpute Voyer se serait permise de toucher l’intégrité d’une lettre d’un correspondant, sans le dire, avant de la publier, également sans le dire à ce correspondant ? Est-ce que la rédacpute Voyer a tenté autre chose que de gruger son correspondant, de magouiller ? Est-ce qu’il y avait une autre recherche, chez l’enculé Voyer, à part se faire mousser à bon compte ?
Vous ne le saurez pas aux Editions des Enculés Anonymes où cette phrase, évidemment, n’existe pas, comme l’économie, parce qu’elle est dans la partie falsifiée par troncature de la correspondance Adreba Solneman-Voyer. Cela démontre que la rédacpute Voyer ne se gênait pas en 1991 pour prouteflitcher à sa sauce comme il avait envie ce qu’il publiait des autres. Quand les Editions des Enculés Anonymes de con Nichts et Voyer ont commis leur falsification, elles ont pris soin, bien sûr, d’écarter toute trace de cette malhonnêteté caractérisée, restant là en dessous de n’importe quelle maison d’édition moyennement honnête, qui aurait au moins signalé les réserves de l’auteur grugé. On peut même supposer que la dissimulation de cette protestation était l’un des arguments formels de cette falsification. Il faut être un militant de base bien maladroit et bien démuni pour rappeler cet élément irréfutable de la malhonnêteté caractérisée de Voyer.
Mais le message au-dessus du mien a surtout l’objectif de faire oublier un mensonge, qui a été mis à jour lors des dernières déjections de l’intellectuel raté Voyer pour se justifier d’une falsification confirmée. L’enculé Voyer dit qu’il ne connaissait pas le faussaire con Nichts au moment de la première édition de la correspondance tronquée ; le faussaire con Nichts affirme que tous ses ouvrages sont supervisés par l’enculé Voyer. Lequel des deux ment ?
Ce que la petite secte voyériste ne sait pas encore, c’est que pour justifier son falsificateur de patron auprès des tiers il faut, paradoxe, convaincre les téléologues, parce que les téléologues sont capables de reconnaître qu’ils se sont trompés, et ça se sait. Pas de pot pour les enculés : ils sont si loin du compte ! Honnêteté intellectuelle et recherche de la vérité n’ont pas de sens pour ces petits margoulins, c’est pourquoi ils ne peuvent absolument pas comprendre le point de départ d’Adreba Solneman. Quatre mois de prouteflitchs fébriles vérifient très bien que le patron n’arrive pas à se justifier d’être un théoricien de la résignation au cul défoncé. Ses arguties, parfois comiques tant il s’étouffe de rage impuissante, l’éloignent de la vérité mieux qu’elles ne l’en rapprochent.
Pourquoi Debord n’a jamais tenté de donner satisfaction ne serait-ce que sur la forme à Voyer ? Parce qu’il était devenu incapable de lui donner satisfaction sur le fond. C’est évidemment la critique de fond, le début de la critique de l’économie, qui a fini Debord, c’est parce que Debord n’avait plus la capacité d’aller sur ce terrain qu’il est devenu malhonnête, et qu’il a soutenu son « ami », le falsificateur Lebovici. C’est la même chose pour Voyer : incapable, impuissant, débiné, menteur, truqueur, puis falsificateur face à Adreba Solneman, et maintenant excité du bocal, il soutient son ouistiti, le cofalsificateur con Nichts. C’est depuis qu’il a fui devant Adreba Solneman que sa malhonnêteté fondamentale se voit, jusque dans ses textes théoriques de jeunesse, truffés de provocs qu’il ne peut pas soutenir. Et le petit peuple voyériste souffre. Regardez la colère foireuse du trouduc ci-dessus : « idiots », c’est la seule argumentation de la petite secte. Un peu court, à la longue, au regard des efforts déployés.
Question d’intérêt général : le cul de Voyer est-il…
1. Une chambre à gaz pour auschwitzer les malveillants malpensants ? 2. Une grotte de la préhistoire défoncée par les intempéries (god !) de l’histoire ? 3. Un tunnel à communication infinie parfois heurté par une communication directe sous forme d’argument téléo sans vaseline ?
PS : Alors Toto, toujours en prière, ma dévote ? T’imites le maître au point de te débiner dès qu’on te pose une question ? Quelles sont tes réserves par rapport à Voyer ? T’oses même pas répondre aux questions que tu poses aux autres ? Allez, petite conne, je vais te souffler. Voici une liste de réserves (www.teleologie.org/deboard/5767.html), vas-y, sers toi, tu peux y aller.
Re: Un nouvel emprunt russe
« Reply #4 on: 15.06.03 at 21:13:23 »
Che bella lista, l'avevo dimenticata! Oh, grazie, grazie ancora! Ma rispondete anche voi, forza: che cos'è questo e che cos'è quello?
ce qu'est Balzac dans un monde qui a changé depuis la révolution en Iran (raccontateci che cosa accade oggi in Iran, cari teleologi, e che cosa c'entra Balzac con i giovani iraniani del 2003?)
ce qu'est le jeu (quali sono i vostri giochetti? a parte quello (noto a tutti ormai) che (leggendo gli ultimi messaggi) sembra che condividiate con Voyer (e cioè: ce qu'est de se faire enculer tous les jours).
Re: Un nouvel emprunt russe
« Reply #5 on: 15.06.03 at 23:27:21 »
Depuis des mois maintenant, le quarteron de téléologues en retraite ne diffuse plus de ces petits plats-minutes "théoriques" qui faisaient la joie et l'hilarité du Debordoff. Tout ce qui les occupe au moins depuis le début 2003, c'est une nouvelle fois Voyer. Sont-ils ingrats, ces quatre ploucs ! Qui sinon Voyer pourrait leur servir de trompe-l'ennui et leur donner l'illusion brève qu'ils n'ont pas que du steack haché entre les oreilles ? Avides de la moindre modification de texte chez Voyer, qu'ils interprètent comme un recul face à leurs assauts ici-même, dont il ignore très probablement le premier bredouillement, ils passent un temps fou à lire, relire, comparer le work-in-progress voyérien, ils s'étouffent de rage et nous resservent une de ces soupes déshydratées dont ils ont le secret, avec force obsessions scatologiques (ah, le stade anal !), phrases ampoulées qui se prennent pour du Chateaubriand, arguments débiles noyés dans la flaque de boue, et apparence d'humour là où il ne s'agit que d'hystérie grinçante en petit comité. Et ils osent parler de secte, après ça ! Totalement coupés de la réalité, ils ont tout de la secte, en particulier par leur façon de tout réinterpréter à leur avantage et comme s'ils en étaient la cause -- cause finale, comme de juste. La suprême loufoquerie de cette histoire est la suivante : imaginez, bande de quatre connards, que Voyer n'ait pas connaissance de vos petites simagrées sur ce forum ; imaginez ensuite qu'il continue son bonhomme de chemin sans même connaître vos présents états d'âme ; vous n'êtes dès lors encore une fois qu'à sa remorque, sans qu'il s'en soucie. Quelle délectable ironie ! De la moindre modification de ses textes il décide, sans le savoir peut-être, de vos prochains emportements grotesques et vulgaires. Votre retraite est paisible et assurée dans le champ de la théorie : désormais vous ne radoterez plus que sur lui, tout le reste est accessoire et ne mérite pas considération. Vous avez fait de Voyer un véritable oracle, et vous l'honorez bizarrement comme une divinité qui vous obsède. Personne, hormis vous quatre, n'a d'obsession aussi pitoyable, servile et sénile à son égard. Si encore vous bavassiez de temps en temps sur autre chose ! Mais désormais vous en êtes rigoureusement incapables. Vive l'euthanasie !
« Si le falsificateur Voyer n'existait pas, il faudrait l'inventer. » (Adreba Solneman)
Comme l'a déjà très bien démontré Kathrin O., leur raisonnement est simple: la pensée est linéaire. Ceux qui pensent après «dépassent» ceux qui ont pensé avant. Voyer a pensé après Debord et donc l'a dépassé. La preuve en est que Debord a été forcé a falsifier sa correspondance avec Voyer, parce-qu'il ne se sentait plus capable d'y répondre et a voulu avoir le dernier mot. Si les téléos ont pensé après Voyer, il fallait que Voyer falsifie leur correspondance pour démontrer que leur «pensée» est superieure à celle de la vieille gourde qui hante les rêves téléos d'être le sommet et la fin de tout et qu'ils ont donc dépassé Voyer et par là Debord, Marx, Hegel, Aristote et Héraclite.
Ergo, «je préférerais n'y plus paraître».
Ils se méritent.
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Tomás Directement de la ville la plus libre du monde Voluntas fatum vincet
Et foutre que plaignez ...
« Reply #9 on: 17.06.03 at 08:12:04 »
Quel est l'intérêt de ces coupages en quatre des rares cheveux subsistants sur le crane du papy Voyer? Rien de plus intéressant que le n-ième règlement de comptes entre les quatre mousquetaires téléos et le comique troupier nazi sur telle ou telle citation plus ou moins tronquée plus ou moins consciemment par le nullissime Von Nichts ? Pourquoi faut-il se laisser engloutir dans le trou noir des pauvres querelles sans fin entre Voyer et la téléologie?
Re: Un nouvel emprunt russe
« Reply #10 on: 17.06.03 at 09:21:27 »
Tiens, tiens, M. Bueno qui se la ramène sur un sujet qui ne l’intéresse plus depuis longtemps. Alors y’a eu falsification ou y’a pas eu falsification ? Faudrait savoir à la fin. Il fut un temps où M. Bueno nous disait qu’il y avait un premier Voyer et un deuxième, que le deuxième Voyer n’est plus à la hauteur du premier (c’est la vieille gourde je suppose). Et que donc, tout ce que le deuxième Voyer avait écrit ne l’intéressait plus, y compris sa « falsification » totalement inutile, sauf pour les téléos. Il y a un point commun flagrant entre M. Bueno et les téléos et que M. Bueno n’a jamais vu passer. Tous les deux ont voulu critiquer Voyer (voir « Réponse à M. Bueno » in Limites de conversation), et comme Voyer n’a pas admis la justesse de leur critique, ils en ont déduit que le vieux schnoque n’avait plus rien dans le cervelet. Le truc s’était grippé avec l’âge et ne fonctionnait plus aussi bien qu’avant. C’était la seule explication possible. Ils ne pouvaient pas avoir faux puisqu’ils savaient bien qu’ils sont excellents, qu’ils sont les meilleurs. L’idée qu’ils pouvaient avoir faux ne pouvaient même pas les effleurer. Vanitas, vanitatum et omnia vanitas ! Envoyez une photo la prochaine fois, M. Bueno. C’est plus joli avec des images. Le spectacle, n’est pas un ensemble d’image, mais un rapport social entre des personnes médiatisé par des images. Vous saisissez la nuance, je suppose.
coma théorique
« Reply #11 on: 17.06.03 at 09:38:57 »
fantomas le fait au type effondré devant tant de petitesse. Qu'y-a-t-il donc, aujourd'hui de plus intéressant monsieur " celui à qui on ne l'a fait pas " que de discuter ou de lire Voyer. Dites nous ce que l'on fait de mieux dans la pensée et dans la défense de celle-ci.mais dites le nous donc...au lieu de faire le malin.Fantomas ne voit pas de différence entre l'Observatoire et Voyer, fantomas est donc comme les téléologues il n'y a pas de grande pensée pour le valet de chambre...D'ailleurs Fantomas comprend-t-il ce qui est en cause. quel et l'intérêtde ce coupage en quatre de cheveux théoriques dit-il ,le malin ; mais cela saute aux yeux...les téléologues et fantomas n'ont rien à dire. Les téléologues servent au moins à ce que Voyer expose de nouveaux développements, ils manifestent plus qu'aucun autre leur néant c'est pourquoi Voyer attendrit pas leur coma théorique, essaie de percer la bêtise - sans y parvenir bien sur...Fantômas lui n'a pas cette constance dans l'idiotie, il n'a rien du tout... c'est un situationniste du juste milieu.