Posted by Dennes Mussein-Seufz on April 10, 2001 at 05:11:34 PM EDT:
7] Je ne me suis jamais « lamenté sur les insuffisances théoriques de not' bon maît Voyer ». Les otistes sont de vrais pestiférés et agissent toujours en conséquence : ne jamais reconnaître ce qu'il peut y avoir de valable chez l'adversaire, toujours déformer systématiquement sa position, toujours la souiller, l'avilir, la calomnier [ il en restera toujours quelque chose, n'est-ce pas ? ]. J'ai au contraire toujours signalé les insuffisances de la théorie de Voyer et j'ai commencé à montrer ces insuffisances. Le peu que j'ai dit sur ce forum, relativement à l'abstraction, concept central qui est au carrefour de tout [ l'observation, le phénomène, le paraître dans soi, l'existence en soi et pour soi ] et qui est le fondement pratique de toute individualité vient ruiner le charabia spiritualocentriste pitoyable de l'OT. Ils le savent très bien, car ils ne sont pas stupides - contrairement aux fossiles prodebordistes - mais reconnaître maintenant que Weltfaust ne dit pas que des conneries serait reconnaître qu'ils se sont trompés sur tout depuis le début. Et là aussi ça coince beaucoup, n'est-ce pas ?
C'est de la lettre d'Obertopp que nous avons déduit, à tort, les lamentations de la Weltfausseté sur les insuffisances théoriques de Voyer. Nous pensions qu'il était plus hypocrite que fan aveuglé. Nous nous sommes trompés : il est encore plus fan aveuglé qu'hypocrite. Mais il n'en reste pas moins hypocrite : il promet de publier son échange avec Obertopp, et il en retranche deux lettres qu'il soumet à demande motivée. Nous en faisons donc ici la demande motivée : nous, vrais pestiférés de l'OT, vous demandons, petit con de Weltfausseté, de nous envoyer ces deux lettres. Nous sommes très motivés pour voir si elles ne contiendraient pas quelques souillures, avilissements, mensonges et calomnies, dont vous, petit con de Weltfausseté, êtes un tuyau d'échappement : tetoal@teleologie.org. Il n'y a pas plus motivés que nous, et nous allons bien voir qui a une parole.
Ce bouffon de la théorie a d'abord prétendu montrer les insuffisances théoriques de Voyer. Rentré dans le rang par une petite tape téléologue, il a ensuite affirmé que Voyer n'avait jamais été critiqué.
Nous laissons pour l'instant l'abstraction à cette poubelle à concepts. Avec un pareil paillasse, la malheureuse abstraction ne risque pas grand-chose.
Nous savons « très bien » ceci : c'est que, en théorie, la Welfausseté n'a jamais fait que de l'effet d'annonce. Une théorie est bien LA théorie pour ce pauvre type, c'est-à-dire un fantasme.
8] « Ce personnage, aussi doué et ambitieux soit-il » que je serais devenu aux yeux des néo-téléologues ne pourra cependant jamais proposer quelque chose d'intéressant parce qu'il aurait fait le mauvais choix dans l'affaire de l'édition de « L'Imbécile ». Je pense au contraire avoir su départager le vrai du faux dans cette affaire et, que je sache, c'est bien moi qui ait eu le dernier mot dans l'instruction et la clôture de ce procès en falsification !
La Weltfausseté sache mal, comme d'habitude. Pour la quatrième fois :
« Une correspondance falsifiée est une correspondance publiée amputée, de sorte qu'un tiers impartial ne puisse pas prendre connaissance de ses pièces et juger de son contenu. » C'est ainsi, dans l'édition de 'l'Imbécile', que l'enculé Voyer a falsifié cette correspondance.
De plus, les 61 falsifications de notre nom sur le debord of directors sont validées comme justes et vraies dans les listes de l'enculé Voyer, bien qu'il lui soit tout à fait impossible d'ignorer que ce sont là des falsifications. Enfin, les tripatouillages systématiques de ces listes sur lesquels la basse-cour voyériste, Weltfausseté comprise, garde un silence gêné sont également des falsifications signées Voyer Jean-Cule. Depuis deux ans, ce digne vieillard n'a pas cessé de montrer qu'il est effectivement tel qu'il était apparu à un Adreba Solneman incrédule, il y a dix ans : lâche, magouilleur, sénile, pontifiant, prétentieux, médiocre.
Quant au dernier mot, nous pouvions le laisser sur le plan formel à la Weltfausseté, puisque nous avons le dernier mot sur le fond. Depuis, nous ne répondons plus systématiquement à sa haine, dont le contenu ne se renouvèle pas.
Il n'y a pas de lien direct entre la validité d'une théorie et la pratique de la falsification.
C'est ce que nous disons. Mais quand un auteur est convaincu de malhonnêteté, comme Voyer, on est en droit de se demander quelle est son honnêteté dans sa théorie. Les petits ouistitis, comme Jules G, qui n'ont évidemment pas compris ce que nous pensons de la logique formelle dont ils sont les minables fétichistes, pourraient passer le restant de leur ennuyeuse existence à l'appliquer à leur bon maître, ils n'en auraient pas fini de démonter ses grossièretés et approximations.
Fabriquez votre théorie ( c'est ce que je suis en train de faire ), publiez-la et basta !
C'est aussi ce que nous disons. Sauf que l'OT a « fabriqué » sa théorie et l'a publiée et n'en a pas parlé avant de le faire. La Weltfausseté en bonimenteur n'en est encore qu'à faire « mousser » une fabrication future, depuis maintenant un an et demi.
La multiplicité humaine dont nous sommes les éléments constitutifs transitoires est majeure et vaccinée. Il ne m'avait pas fallu trois minutes - c'était en décembre 1978 - pour comprendre que les correspondances leboviciennes étaient une ignoble tentative de discréditer et de détruire Voyer. Il ne m'a pas fallu trois minutes - c'était en septembre 1999 - pour comprendre que l'accusation néo-téléologique de falsification portée contre Voyer était une ignoble tentative de discréditer à nouveau Voyer et de se mettre en avant à peu de frais.
Il n'a pas fallu trois minutes à notre génie bien compris pour comprendre une chose en 1978, il ne lui a pas fallu trois minutes pour en comprendre une autre en 1999. C'est ce qu'on appelle un effet d'annonce, un pseudo-raisonnement ou une tentative d'embrouille : montrer que c'est si simple de comprendre deux choses aussi ressemblantes, c'est suggérer qu'elles sont identiques : « une ignoble tentative de discréditer ».
Il nous a fallu beaucoup plus longtemps, après 1978, pour comprendre et évaluer ce qui s'était passé entre Lebovici et Voyer et donner raison à ce dernier. Et il nous a fallu encore plus de temps, entre 1991 et 1999, pour apprendre et admettre que Voyer était devenu un falsificateur. Et nous n'en revenions pas ! On peut le vérifier avec la façon dont Adreba Solneman, qui l'avait interpellé en allié, confiant, découvre les tripatouillages qu'on voit maintenant tous les jours sur le site de Replay : c'est d'abord la faute des PTT, ensuite c'est le correcteur, le secrétaire de rédaction qui sont accusés pour décharger Voyer de toutes les petites saloperies dont il avait maculé une correspondance qu'il a fini par falsifier. On peut ensuite relire avec quelle gradation nous avons attaqué Voyer entre 1998 et 1999, toujours dans l'attente qu'il nous détrompe de ce que son enculé d'éditeur avait endossé si facilement hélas plus sur le debord of directors, où ces messages ont été supprimés de l'arborescence, mais dans la section « Principales disputes - Contre Voyer - von Nichts » de l'observatoire.
Il y a donc par contre un lien évident entre la vacuité, la non-validité d'une théorie et le recours à la selbst-suggestion falsificatrice. Quand ce que l'on a à dire ne se soutient pas par lui-même, ne tient pas debout et ne résiste pas 3 minutes à l'examen d'autrui, c'est là que l'on a besoin d'une béquille, c'est là que l'on est prêt à hurler toutes les 3 minutes à la falsification, à faire feu de tout bois, à inventer une redoutable conjuration voyerisatrice et à transformer un « détail de publication » en garant absolu de la validité et de la non-vacuité d'une théorie ridicule.
Voilà donc où cet escroc de la pensée voulait en venir avec ses trois minutes : la téléologie moderne, qu'il prétend avoir compris en moins de trois minutes, « ne résiste pas 3 minutes à l'examen d'autrui ». A partir de sa prise de parti précipitée (nous sommes bien placés pour savoir combien peu il a compris ce qu'il a rejeté), voilà maintenant ce bouffon en train de généraliser pour la galerie. Le rejet en moins de trois minutes est encore une des choses que nous avons en commun avec Voyer, qui l'a subi bien plus souvent que nous, pour des raisons tout aussi méprisables.
Il y a cependant un lien évident entre la non-validité de la théorie de Voyer et sa falsification, au moins sur un point. Voyer a prétendu, il y a fort longtemps, que sa théorie n'était là que pour être critiquée. Quel théoricien, en effet, dit le contraire ? Qui oserait dire « ma théorie est incritiquable » ? Depuis cette pétition de principe, Voyer a tout fait pour taire, éviter, contourner toute forme de critique de cette théorie. Il n'a même pas répondu à l'apostrophe de la Weltfausseté, qui en valet servile a promptement remballé ses divergences sur le principe du monde.
Ce que nous avons appelé la voyérisation n'est pas une conjuration, mais la complicité de fait de pauvres résignés pour protéger une théorie de la résignation à laquelle ils adhèrent parce qu'elle remplit leur vide intellectuel. Et quand on ne peut pas protéger cette théorie avec des arguments, on la protège en falsifiant et en insultant ceux qui la critiquent.
Nous n'avons jamais fait de la falsification de Voyer le « garant absolu de la validité et de la non-vacuité » de la téléologie moderne. Quand il a ses bouffées de haine, notre Weltfausseté devient vraiment pitoyable. Il ne retrouve l'olive de son Martini qu'en barbotant dans la calomnie forcée.
Ne serait-ce que parce que des arrivistes comme la Weltfausseté ont tenté de discréditer notre discours en prétendant que la téléologie moderne n'était qu'un compendium du grand fait d'armes d'avoir été falsifié par l'immense Voyer, nous avions intérêt, depuis longtemps, à abandonner cette dispute. Et même si nous faisions les calculs carriéristes de la Weltfausseté, il y a bien longtemps que le fait de poursuivre Voyer nous aurait nui visiblement. Seulement, il ne s'agit pas de cela. L'exigence minimum pour un véritable débat public, dans le parti de la vérité et de la contradiction, est de ne pas tolérer de telles méthodes, de telles complicités. Il est évidemment de la première importance de constater que Jean-Cule Voyer, la Weltfausseté, tous les voyérisateurs et les menteurs Bueno et Obertopp sont en dessous, certains très en dessous de ce niveau d'exigence minimum.
9] Les otistes « sont un exemple qui incite à la réflexion : pourrait-il arriver que je sois moi-même aveuglé et illusionné à ce point ? » Je suis d'un naturel bienveillant, mais j'avais fini par conclure qu'ils étaient des simulateurs et qu'ils ne croyaient pas un traître mot de leur discours destiné à épater les gogos de l'extérieur.
Ce type de raisonnement est caractéristique du carriériste. Pour notre part, nous n'avons jamais pensé qu'une seule personne sur ce site, pas même les pires truqueurs comme Voyer, FC, ou Faux Aristote, ne croit pas être sincère ; même lorsque la Weltfausseté vient de mentir, et ajoute qu'elle ne ment pas dès la phrase suivante, dans un sens absolu, nous pensons qu'elle y croit. Notre pratique a toujours été de ne pas épater qui que ce soit et de repousser et critiquer qui le serait. D'ailleurs, si nous avions « épaté » quelqu'un, qu'est-ce que nous aurions pu faire d'un suivisme aussi immédiatement médiocre, ne serait-ce que par ce que nous avons toujours dit sur le suivisme ?
Quel est votre but dans la vie et que faites vous pour y parvenir ? Et, ben voilà, ma biche, mon but c'est « tout finir » et pour y parvenir je fais scritch scritch dans la journée avec mes copains de l'OT et le soir - voyez-vous ça - j'explose la tronche des connards middle-class du forum Voyer/Debord. Et ça fait 2 ou 3 ans que ça dure.
La différence déjà énoncée entre la Weltfausseté et l'OT est là aussi : nous avons commencé par énoncer, ici, le but de nos vies.
Je fais une distinction essentielle entre une association d'individus où le débat est ouvert, où la contradiction est interne et où les divergences inévitables sont livrées à la publicité et entre un groupuscule ( ou secte ) entièrement tourné vers un extérieur forcément hostile et affichant une unanimité factice portant généralement sur une notion abstraite stupide et qui en jette ( ici la fin finale qui est la mort de tous les petits êtres humains comme chacun sait, ailleurs l'abolition de l'Etat et de l'économie ou encore la destruction de ceci ou de cela). Je recommande sur ce point aux hispanophones la lecture de la plate-forme du collectif « Maldeojo ». Je recommande la lecture des thèses de la « Véritable scission » où les questions sur l'organisation et sa relation au monde extérieur sont envisagées. Je recommande également le chapitre « L'IS et la véritable scission » contenu dans la Revue de Préhistoire Contemporaine où l'on constate sans peine que ce salopard de Voyer reste à ce jour le meilleur analyste de ce que fut l'organisation IS.
Nous comprenons maintenant d'où viennent les fantasmes de secte et de stalinisme à notre égard : nous parlons d'une voix, après nous être mis d'accord, sans exposer la manière dont nous parvenons à l'accord. Cette unanimité est très gênante pour tous les fouille-merde, mais pour eux seulement. Les potinologues résignés aimeraient bien connaître nos différends ; les autres s'intéressent au contenu de ce que nous disons, ensemble.
Une fois de plus la Weltfausseté sert la calomnie préférée des voyérisateurs : la fin de l'humanité est mise à égalité avec quelque chose qui n'est pas son contenu. Le contenu de la fin, sauf catastrophe, c'est accomplir l'humanité ; la mort de tous les petits êtres humains en est une conséquence, comme elle est aussi une conséquence de l'autre alternative, la catastrophe. Nous soutenons en effet « notion abstraite et stupide » que l'humanité finira, et que si ce n'est pas nous humains qui faisons cette fin, elle se fera contre nous. Le raccourci entre la conséquence, évidente, de la fin de l'humanité, impliquant la mort de tous les petits hommes, et les fantasmes de massacre et apocalypses façon sectes ou science-fiction est un moyen commode et sensationnaliste de souiller, salir, calomnier. Là commence ce qu'on peut appeler la fausse critique.
Voyer a pu penser que lui reprocher son amalgame entre existence et réalité était de la fausse critique, mesquine et vulgaire, puisqu'il utilise le plus souvent exister dans le sens avoir de la réalité. La véritable mesquinerie a consisté à vouloir laisser en l'état cet amalgame, à ne pas vouloir le dépasser. Pour notre part, nous pensons que la lecture mesquine, étroite et vulgaire des sinistres et sordides Weltfausseté, Jules G, Mandosio ou Kacem, qui font de la téléologie moderne quelque chose de sinistre ou de sordide, est l'exemple même de la fausse critique. A l'encontre de l'attitude résignée de Voyer, nous ne laisserons pas en l'état ces amalgames. Nous continuons de soutenir que toute fin n'est pas équivalente, que tout finir n'implique pas forcément une réalisation, loin s'en faut, que lâcher, abandonner, exterminer n'est pas réaliser.
10] Rome ne s'est pas faite en un jour. J'ai affirmé la nécessité de dynamiter l'univers théorique hégéliano-marxo-voyérien comme condition du dépassement de la «théorie » de notre époque. Les néo-téléologues ne me sont sur ce point d'aucune aide, et d'ailleurs aucun individu sur ce forum ne m'a fourni de l'aide. Ce qui n'étonnera personne. Est-il possible qu'un type comme moi puisse en rester là et ne rien faire d'autre ? Doktor Weltfaust.
C'est ce que l'on verra par la suite.
Longue vie au Feld-Maréchal Peter-John Voyer. Sieg heil !
Quel lyrisme de bouffon. Voici comment ça marche : un petit laissé pour compte du postsituationnisme décomposé s'est fantasmé un personnage, au nom de foire ; c'est son personnage qu'il met en scène et qu'il cultive ; il lui prête d'avance des succès retentissants, le monde comme horizon, l'esprit du monde comme matière ; c'est son personnage qui est droit comme un I, et qui n'a qu'une parole. Il ne sait pas à quoi sert une théorie. Il ne veut pas voir l'époque. Son personnage transcende tout cela. Ce rêve de gloire enfantin, le malade passe toute sa vie à l'habiller, à lui trouver les poses adéquates, les expressions choc grâce auxquelles le bon peuple est censé admirer, bouche bée, cet aboutissement complet de ce qui n'est que complexe de n'être pas.
Malheureusement pour notre malade, en dehors du décor et du costume, il manque la substance. A l'intérieur, il est creux, sec et vide. Il passe bien trop de temps devant ce miroir déformant qui renvoie le personnage à sa personne. Il n'arrive pas à produire ce personnage qu'il voudrait grand comme le monde. Il y travaille dur, mais il ignore encore que ce n'est pas dans le travail que se trouve la substance, que se trouve le monde. Il croit bien que la vérité est une catin, et qu'on peut la ramasser dans les livres, et qu'on peut la forcer ; mais la conviction qu'il a de son personnage, comment la transmettre ? Il croit que son personnage peut pallier les insuffisances risibles de sa personne. Et il rêve même que, saisis de la même admiration invincible, on va prendre son personnage pour sa personne, on va fondre dans l'individu ce pauvre moderne et son fantasme de midinette.
Nous l'avons vu venir avec son triomphalisme d'opérette, la guerre sera finie avant Noël, et nous le voyons aujourd'hui creuser des tranchées. LA théorie, il la voudrait dans un palais de conte de fées, au milieu des purs esprits, personnages de fantasme de pauvre arriviste, qui ne répondent qu'avec déférence au point de critique désigné par lui-même, le théoricien. Eh bien non : quand on a une idée nouvelle il faut la confronter au monde concret, au peuple des préjugés et des envies, il faut l'exposer à la récupération et à la répression, à l'intelligentsia et à la police, à la mauvaise foi et à la calomnie, au mensonge et à la falsification ; une vraie théorie de quoi que ce soit ne se mesure que dans l'incompréhension des autres, qui est leur compréhension de l'objet de cette théorie, que dans les mauvaises raisons, qui sont les bonnes raisons des contradicteurs, que dans les passions humaines, cet irrationnel qui fonde le rationnel, que dans le combat, que dans l'imprévu des points de vue qu'on ignorait et des réflexions qui en naissent. Le courage des idées n'est pas de construire de longues lettres à quelque Feldmarschall décrépit, le courage des idées est de les jeter aux chiens ; et d'apprendre à lire dans les aboiements des roquets, dans la course des blattes, dans les pirouettes des ouistitis, sans jamais oublier que là aussi se réfléchit la grandeur du propos.
Liste exhaustive des interventions de l'observatoire de téléologie sur le debord of directors.