Contre K.O.

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Posted by Charles Détré on January 19, 2001 at 06:09:25 PM EST:

INTRODUCTION AU "MANUEL DE MODE DE VIE À L'USAGE DES PENSEURS NÉGATIFS"

Voilà l'état de l'extrême petit milieu aujourd'hui : Jean-Pierre Voyer se trouve rajeuni par ses soi disant critiques et particulièrement par la Gretchen du debordoff, Kathrin Oberdada. Née en 1973, dit-elle ! S'il est scientifique de douter de la réalité de ce qui existe, il est en revanche permis de douter de l'existence même de K. Obertopp. Difficile de croire qu'une personne née en 1973 rumine des pensées aussi éculées. De ses textes émane les miasmes infects de ce qui, au mieux, a été.

K.-O. rajeunit Papy

"J'ai dit qu'une vague révolutionnaire est finie vers 1975". Oui, d'une certaine manière, une vague révolutionnaire est finie en 1975 si l'on considère le réajustement théorique de la critique de Voyer. Par contre, si la vague révolutionnaire de K.-O. est cet "assaut prolétarien" dont le modèle serait 68, sa fin ne date pas de 1975 mais de 1978/1979, non pas au Portugal, mais en Angleterre, en Pologne et en France.
Voilà bien où mène le mépris de la Gretchen pour la théorie : à cette impuissance de la pensée de l'histoire dont les modèles sont figés, comme une référence archi rabachée à la Commune de Paris ou/et à 68 à une époque où tout se joue en Iran, par exemple (il boira encore longtemps cette honte de l'avoir ignoré, le petit milieu).
Mais que s'est-il véritablement passé en 1975 au Portugal ? Une révolution ? Non, c'est à Paris que s'est répandue cette illusion ; où l'on a confondu, et où l'on confond encore révolution, insurrection, émeute, contestation, rebellion. Idem en 1968. Relisez la première phrase de "La Guerre sociale au Portugal", comme quoi c'est le nouvel acte du nouvel assaut du prolétariat. Il ne manque que la B.O. avec fanfare et trompettes ! Pff… Relisez la première phrase du n°12 d'I.S.… Le con de Semprun réitère la même bourde triomphante - une grosse connerie soutenue par une "dialectique rigoureuse" : pourquoi et comment notre parti est victorieux en même temps que nous n'avons pas vaincu l'ennemi. Et l'on découvre avec stupéfaction que cette appréciation historique constitue un exemple pour des individus nés en 1973, ainsi que le mouvement si peu apprécié qu'elle "théorise".
Belle jeunesse !

À suivre…

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Ah, bon, ce n'est qu'un compagnon de route Kathrin Obertopp 08:25:51 AM 01/20/01 (0)

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: INTRODUCTION AU "MANUEL DE MODE DE VIE À L'USAGE DES PENSEURS NÉGATIFS" : : Voilà l'état de l'extrême petit milieu aujourd'hui : Jean-Pierre Voyer se trouve rajeuni par ses soi disant critiques et particulièrement par la Gretchen du debordoff, Kathrin Oberdada. Née en 1973, dit-elle ! S'il est scientifique de douter de la réalité de ce qui existe, il est en revanche permis de douter de l'existence même de K. Obertopp. Difficile de croire qu'une personne née en 1973 rumine des pensées aussi éculées. De ses textes émane les miasmes infects de ce qui, au mieux, a été. : : K.-O. rajeunit Papy : : "J'ai dit qu'une vague révolutionnaire est finie vers 1975". Oui, d'une certaine manière, une vague révolutionnaire est finie en 1975 si l'on considère le réajustement théorique de la critique de Voyer. Par contre, si la vague révolutionnaire de K.-O. est cet "assaut prolétarien" dont le modèle serait 68, sa fin ne date pas de 1975 mais de 1978/1979, non pas au Portugal, mais en Angleterre, en Pologne et en France. : Voilà bien où mène le mépris de la Gretchen pour la théorie : à cette impuissance de la pensée de l'histoire dont les modèles sont figés, comme une référence archi rabachée à la Commune de Paris ou/et à 68 à une époque où tout se joue en Iran, par exemple (il boira encore longtemps cette honte de l'avoir ignoré, le petit milieu). : Mais que s'est-il véritablement passé en 1975 au Portugal ? Une révolution ? Non, c'est à Paris que s'est répandue cette illusion ; où l'on a confondu, et où l'on confond encore révolution, insurrection, émeute, contestation, rebellion. Idem en 1968. Relisez la première phrase de "La Guerre sociale au Portugal", comme quoi c'est le nouvel acte du nouvel assaut du prolétariat. Il ne manque que la B.O. avec fanfare et trompettes ! Pff… Relisez la première phrase du n°12 d'I.S.… Le con de Semprun réitère la même bourde triomphante - une grosse connerie soutenue par une "dialectique rigoureuse" : pourquoi et comment notre parti est victorieux en même temps que nous n'avons pas vaincu l'ennemi. Et l'on découvre avec stupéfaction que cette appréciation historique constitue un exemple pour des individus nés en 1973, ainsi que le mouvement si peu apprécié qu'elle "théorise". : Belle jeunesse ! : À suivre… :

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