Posted by observatoire de téléologie on December 07, 1999 at 06:06:32 PM EST:
Depuis que nous avons répondu à Judge Death et à Bourtay, qui n'a évidemment pas osé répliquer, en tout cas pas sous ce nom, il n'y a plus de fond sur ce site. Les roquets en profitent donc pour rappeler qu'ils n'aiment pas du tout la téléologie moderne, heureusement.
Sur ce que dit leur aboiement, il n'y a pas grand-chose à ajouter, puisque c'est toujours la même riche et subtile mélopée : quatre pattes oui, deux pattes non. En tout cas, vu par qui et comment l'enculé Voyer, qui appelait à la critique, est applaudi sur ce site, il est quand même plus agréable d'être téléologue et rejeté par tous ces insuffisants. Nous l'avions dit : le falsificateur Voyer commence à avoir les groupies qu'il mérite. 3615 Erika est revenu tailler des pipes à plat ventre dans la poussière. Même les téléologues, qui pourtant y mettent du leur, n'arrivent pas encore à l'insulter autant.
Le chien-bouffon Bueno se fait vieux, son stock de blagues et d'images s'épuise. Chez les roquets aussi, la dure loi de la société impose de rester jeune et de frétiller de la queue. Et Billy Machinchose, qu'il se vantait d'avoir fait fuir à jamais, est revenu, méprisant ses aboiements, pitoyables il est vrai. A force de se lécher l'entre-couilles quand on n'en a plus, le bouffon a perdu la tête (de la course), et nous sommes tous très tristes. Allons, aidons le vieux dindon raplapla : tout a une fin ? ou non ?
Ben Zozo, après avoir montré qu'il avait le profil d'un bon chien policier, a disparu sans doute dans l'une des poubelles de l'Internet où il continue son immense Enquête, anti-OT et CIA. Malgré les moqueries de Papy Ben Schummel, nous sommes sûrs qu'il réapparaîtra avec quelque savoureux indice entre les dents.
Aristoutou, très fier de lui, est retourné dans sa jolie petite niche. Habitué à des rations de pâtée en boîte et aux os en plastique, il trouve que les steaks bien saignants et les concepts en dur des téléologues sont des impostures. De toutes façons, comme ça lui passe très au-dessus de son ruban rose, il peut continuer à faire le beau, il continuera à prendre des pâtées.
Un nouveau venu, qui veut se donner pour fort hargneux, s'est tout de suite installé en falsificateur, vous allez voir de quel bois je me chauffe, en usurpant une signature de téléologue. C'est la mode. Les situationnistes ont connu ça. Lui, c'est un chien de garde, il est dressé à aboyer dès qu'il ne connaît pas, dès qu'un étranger s'approche de la petite cour du voyérisme paisible où il aime japper dès qu'un gentil falsificateur, comme justement l'enculé Voyer, ou un minable calomniateur, comme justement Ben Zozo, passe à proximité de son regard embué d'intelligence. Pour le reste, à la va-vite, il s'est fait une excellente gamelle de quelques boulettes mal chauffées de son paquet « théorie » et de quelques croquettes séchées dans des insultes trop vite lues. Il a pris bien soin de montrer, avec le moins d'humour possible, que quoi que fassent ou disent les étrangers, il n'en tiendrait pas compte : qu'il s'en aillent ou il continuera d'aboyer, et on verra alors si l'infini a de la réalité. Ce qu'il a d'amusant, c'est que les trémolos de ses aboiements trahissent qu'il ne parle que de lui. Voilà un bon chien qui aimerait bien faire carrière dans la théorie révolutionnaire. Il tient un peu du cochon quand il patine dans sa bave. Quelqu'un peut lui expliquer ce que signifie le Kurt, Anna-Lise, qu'il a utilisé ?
Papy Ben Schummel travaille toujours dur à dévier la conversation. Son glapissement ressemble à celui de n'importe quel autre cabot lorsqu'on lui marche sur la queue. Si je ne me trompais pas si souvent dans les prédictions, je dirais qu'il est exactement ce dont Voyer traitait Debord : vieux pédé.
Fermons la ronde avec Terrien, alias Prout-Prout, impassible, tenace, curieux, etc., lui aussi membre éminent de la guilde des enculés. C'est le vrai chien de Boulgakov : fidèle à tout, traître à ce qu'on veut, et totalement exempt de dignité. Tout le monde lui donne des coups de pied et il lèche tout le monde. Il veut toujours savoir ce que les téléologues font demain matin ; s'il avait remarqué combien peu c'est réciproque, il saurait peut-être répondre à son existentielle question.
Nous espérons n'avoir oublié que la groupie F. Ah oui, notre panzerbidon a disparu. Mais ce n'est pas grave, il était vide.
L'un d'entre les susnommés pense que les téléologues pratiquent le marketing américain, ce qui prouve au moins qu'il ne connaît rien au marketing. Notre méthode est la méthode Reyov, grand gourou involontaire de la pub et de la com depuis un quart de siècle, et qui n'est pas américain, quoique goûtant apparemment beaucoup le « In Gode we Frust ». Nous ne savons pas encore, comme il l'enseigne, rendre imaginaire une falsification réelle ; mais nous sommes là pour apprendre. Les mystères infinis du postéconomisme triomphant nous passionnent.
La vérité c'est que tout le petit monde de ce site cul-de-sac, un petit peu épuisé par la téléologie moderne (pfffou, c'est compliqué ! donc ça veut rien dire, je te le dis moi !), n'a plus rien à dire. Nous non plus, en attendant. Disons-le alors.